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Un visiteur
3,0
Publiée le 27 février 2017
Pendant 1h30, le film est à la fois, mystique, glauque, ce qui nous embarque dans un univers spécial, et c'est ce que j'ai aimé, mais la fin du film une vraie daube, déçue du choix du réalisateur, ça m'a donné l'impression qu'il n'avait plus d'idées et qu'il avait juste envie de passer à autre chose, donc pour moi une fin bâclée, mal ficelée, c'est dommage, car ça m'a, un peu fait penser au film avec Leonardo Di Caprio dans Shelter Island, sauf qu'ici, la fin était bien mieux, même si chacun en a fait sa propre interprétation.
film de genre aux beaux effets visuels, très esthétique avec une atmosphère anxiogène qui maintient le spectateur. le scénario est vite dévoilé et la fin devinėe aussi vite ,dommage cela provoque un manque d intérêt à l histoire .
Gore Verbinski redéfinit ici les codes du cinéma d'épouvante: avec une intrigue mêlant mystère et angoisse, folie et paranoïa, on retient son souffle en suivant la descente aux enfers de Lockart, merveilleusement interprété par Dane DeHaan. De plus, la musique de Benjamin Wallfisch sublime merveilleusement ce projet audacieux, quant-aux décors, ils renforcent cette ambiance grandiose, ténébreuse et terrifiante. Cependant, l'intrigue se perd dans des méandres difficilement compréhensibles, ce qui mécontentera certains spectateurs.
La bande annonce était plus alléchante que le film lui-même. On ne peut pas dire que l'on s'ennuie mais il faut aimer le film du genre. Un mélange de la piel que habito, de franckeistein, ....la tension est présente durant tout le film avec une intrigue qui tient en haleine même s'il y a des invraisemblances. Quant à la fin, elle nous laisse songeur. ...Bon il vaut mieux être détenteur de la carte pour aller voir ce film.
Classé dans la catégorie épouvante, la seule chose qui peut porter cet attribut est la bande annonce. Quant au film, je ne peux lui attribuer comme points positifs que la qualité des prises de vues et l'interprétation de Jason Isaacs. Le reste est d'une déception sans nom. La seule chose pouvant être épouvantable fait sourire, voire rire lorsque doc Volmer tombe le masque. C'est bien le cas de le dire. Que de longueurs, quel manque de scénario palpitant dans une histoire attendue après la diffusion d'une bande annonce alléchante. On attend, on attend péniblement que quelque chose surprenne ou fasse sursauter. De ceci ? Rien ! 2 h 30 de cure….. de sommeil sans stress ! Le générique de fin est un soulagement, on est délivré d'une histoire incompréhensible qui laisse un goût d'amertume. Avis aux amateurs d'anguilles : allez y, vous ne serez pas déçus, il y en a partout !
Dans un film, qu'est-ce qui est le plus important? Le fond ou la forme? C'est, bien entendu, mieux quand on a les deux.. mais à choisir? Dans "A Cure of Life", l'accent est mis sur la forme plus que sur le fond. Mais est-ce que cela en fait un mauvais film pour autant?
Nous suivons un jeune businessman, venu chercher son boss dans un institut de soins au coeur des Alpes suisses. Commence alors une enquête dans ce sanatorium trop propre pour être honnête (car oui, il y a anguilles sous roche, forcément), nous entraînant dans les profondeurs horrifiques de l'établissement. Mais notre jeune homme d'affaires, n'aurait il pas perdu la raison??
Mais comme je le disais, le plus interessant du film n'est pas son scénario (non qu'il soit inintéressant, mais trop peu fouillé et un peu bâclé, il reste au second plan). L'intérêt premier de "A Cure of Life" c'est son esthétisme. Le film est BEAU. Beau dans ses décors, beau dans sa mise en scène, beau dans sa photographie, beau dans ses cadrages. Et il va pousser sa beauté jusqu'au mal(à l')aise de certaines scènes hyper réalistes et qui jouent avec nos phobies (phobiques du dentistes, attention à vous).
Ajouter à ça un rythme ddes plus lent, avec des longueurs assumées par le réalisateur (pour contempler la beauté du film, ou laisser toute sa place à l'angoisse) et vous vous retrouverez bien avec un film qui mise plus sur la forme que sur le fond.
Au final, "A Cure for Life" ne vous laissera pas indifférent, loin de là, par son esthétisme et sa forme, mais vous laissera sur votre faim avec son histoire (pourtant intéressante) sous exploitée. Un beau film, plus qu'un bon film.
Après l'échec cuisant de son "Lone Ranger", Gore Verbinski n'a plus fait parler de lui depuis maintenant 4 ans. Il revient sur la pointe des pieds avec un thriller d'épouvante mi-figue mi-raisin qui s'apparente plus à un feu d'artifice d'idées visuelles et scénaristiques qu'à un réel film fantastique digne de ce nom. "A Cure for Life", c'est l'histoire d'un jeune trader parti à la recherche de son boss dans une lugubre clinique pour vieux riches qui semble cacher un terrible secret. Bon, on peut d'ores et déjà dire que, dans tout les cas, le fait de revoir un film de genre doté d'un budget conséquent au cinéma est un réel plaisir à une époque où le cinéma fantastico-horrifique est bradé à travers des séries bousifiantes ou des séries Z en manque totale d'inspiration. Les gens ne veulent plus avoir peur et veulent de la baise pseudo-osé ou du teenage-movie puant l'eau de rose. On peut donc se réjouir de voir un réalisateur qui parvient à imposer une ambiance glauque parsemée de scènes bien malsaines voir quasi-insoutenables (le perçage de dent...). Le rythme est lent, le film est tout de même assez long mais Verbinski semble prendre un malin plaisir à nous emmener dans des recoins scénaristiques surprenants jusqu'à ce que l'on commence à s'épuiser de ne rien comprendre. Non pas que le film manque d'intérêt mais, à trop multiplier les pistes, "A Cure For Life" finit par s'emmêler les pinceaux jusqu'à un final où tout les éléments angoissants et pervers du film se réunissent dans une bouillie assez invraisemblable de non-sens. Film ambitieux mais maladroitement écrit, la dernière oeuvre de Verbinski mérite qu'on y jette un oeil, ne serait-ce que pour l'énergie dépensée par un homme qui reste l'un des meilleurs faiseurs en termes de films à gros budget.
Voilà encore un film survendu. Soi-disant le « nouveau Shutter Island ». On en est loin. Dès les premières minutes on devine comment cela va se terminer tellement les ficelles sont grossières. C’est du déjà vu, et en mieux bien sûr. Et puis Gore Verbinski n’est pas Martin Scorsese. Malgré tout, la mise en scène n’est pas désagréable, les images sont splendides, la direction artistique est soignée et l’interprétation est de qualité. Il y règne une certaine ambiance mais pas aussi paranoïaque et angoissante que l’on espérait. Un petit suspens et quelques scènes fortes, à défaut d’être dérangeantes, ne suffisent pas à nous tenir en haleine pendant 2h27 ! Surtout que la dernière partie vire un peu au n’importe quoi. Au final, assez décevant donc...
Un film visuellement intéressant, gâché par un scénario plutôt prévisible et sans grand suspens, même si la même mise en scène est très au point et des longueurs assez présente. Pas essentiel!
Un film à la mise en scène élégante mais à l'intrigue peu convaincante. Gore Verbinski compose une atmosphère constamment dans la frontière entre réalité et simulacre cauchemardesque mais ne construit jamais vraiment une base de normalité pour rendre le tout crédible, tangible ou logique, tout simplement. Reste que sa composition des plans et son montage, les deux jouant sur des effets de reflets, de révélation, et de choc sensitif, gardent le spectateur intrigué pendant 2 heures et 30 minutes, enfin au moins avant un espèce de final à la limite du grotesque. En gros, je félicite le travail d'ambiance et je félicite les studios pour avoir laissé Verbinski, cinéaste dont j'apprécie souvent la démesure atypique, s'attaquer à un projet tout de même plutôt barjo et osé, mais il faut admettre que le résultat final, dans sa progression narrative ainsi que dans ses zones de non-sens, est un peu trop bancal pour remporter l'audience. Dommage, parce que pendant pas mal de temps j'étais plutôt pris dans l'expérience et, pire que ça, j'y ai cru.
La bande annonce donnait plutôt envie... cependant le scénario est vite poussif avec un certain nombre de clichés accumulés gâchant le plaisir qui aurait pu être suscité. qui plus est 1h30 aurait été amplement suffisant...
A Cure for Life bénéficie certes d'une esthétique et d'une photographie quasi parfaite,mais enfin 2h30 pour nous mener à une conclusion finale qu'on avez deviné 1h avant et qui en plus je trouve décevante pour ma part c'est frustrant!le film est beaucoup trop étiré sur la longueur et on a du mal à adhérer à sa logique par moment où à sa cohérence comme par exemple le fait que Lockhart insiste pour retrouver Pembroke alors qu'il s'aperçoit très bien qu'il y a quelque chose de très malsain dans cet établissement et donc ne cherche pas à fuir...mais aussi par rapport à un manque d'explication qui nous laisse sur notre fin,notamment sur les expériences.Enfin tout n'est pas jeter non plus mais je n'ai clairement pas accroché.2/5
Un bon film qui se situe dans un centre de remise en forme en suisse et un jeune cadre dynamique envoyé par son employeur pour revenir avec un des leurs et la les ennuis commencent et le directeur de cet établissement est plus que curieux par son comportement et plus tard ses expériences. Vous êtes emporté par ce jeune cadre qui se lie avec une très jeune fille qui est soigné dans ce centre et ils vont devoir se soutenir pour sortir de cet enfer.
Waaaooooo! Je ne m’attendais pas à une telle claque… Ce film est parfait à proprement parler, rien à y redire.
Mon évaluation habituelle se base sûr de simple critère de point, mais pour ce film il mérite bien plus que ça. Pour commencer ce film c’est vraiment destiné à un public averti, il faut avoir conscience des codes du cinéma d’horreur, et de thriller et du fantastique pour en faire un mix parfait que seul Shutter Island (avec lequel la comparaison est facile) avait réussi à faire à la perfection. Le plus difficile pour moi est de faire une critique sans aucun spoil pour que vous puissiez profiter au maximum de ce film, je vais donc reprendre point par point. (Scénario – Musique – Jeu d’acteur –– Réalisation).
Scénario: Un scénario qui vous mènera au centre d’une pure intrigue, pleine de doute et sans faute. Pas le moindre écart n’est pas calculé à l’avance. Chacun des détails que vous remarquerez y est pour quelque chose dans l’intrigue. Un scénario qui vous-même dans les méandres de l’horreur-Fantastique malsaine où se rejoigne peut-être vos pires phobies. Je mettrais un point d’honneur sur l’événement qui passe le film de l’horreur – Thriller au fantastique qui est tellement bien maitrisé grâce à des rappels de nombreux éléments dissimulés dans l’ensemble du film.
La musique : Pareil, rien à redire (je vais arrêter de le répéter sinon je vais devoir le redire à chaque étape), une musique très adapter. On aurait dit du Danny Hofman avec une omniprésence d’un style Burton qui s’applique au film. La musique joue vraiment sur l’ambiance globale oppressante. Et particulièrement le titre Hannah and Volmer qui donne toute une dimension à certaines scènes.
Jeu d’acteur : On ne peut que dire du bien de Dane DeHaan qui nous montre un jeu sans faute. Qui nous donne toujours plusieurs stades d’évolution de son personnage pendant le film. Jason Isaacs qui joue encore une fois le rôle du grand méchant fou que l’on retrouve dans OA, un rôle qui va sans doute garder vue son interprétation et qui donne vraiment la dimension du côté malsain du film. Mia Goth qui est a vraiment un personnage très important, son rôle est excellemment interprété et je ne peux trop m’attarder sur elle s'en spoil. Il y a après un sacre nombre d'acteurs mêmes au petit rôle mais qui joue merveilleusement bien la noirceur et le décalage absolu que représente cet institue face à notre monde.
Et pour finir la réalisation : PARFAIT ! Cela résume tellement bien mes pensées… On ne peut que saluer le travail de composition de chaque scène. Le jeu de profondeur sur couloirs, la colorimétrie encore une fois travaillée aux moindres détails, avec un changement dans chaque sentiment que Lockhart perçoit. Les détails pour faire avancer l’intrigue sont minutieusement cachés dans les compositions à l’image. Un travail grandiose sur l'image gros boulot de la direction photo et du chef décorateur.
VOILA pour en conclure A CURE FOR LIFE est le passer en tête des films de cette année 2017 avec un gros et mériter 20/20