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Votre avis sur A Cure for Life ?
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Un très bon film rehaussé par la brillante interprétation de Dane DeHaan, authentique acteur s'il en est. Le premier quart d'heure est génial (la lettre de Pembroke est plus digne d'un écrivain que d'un scénariste), le dernier sombre hélas dans le grand-guignol et rompt irrémédiablement la magie d'un ensemble que n'aurait pas désavoué Thomas Mann. J'apprécie pour ma part la culture littéraire de Verbinski qui, dans une scène, montre un infirmier en train de lire la "Montagne magique" du génie allemand - un monument de la littérature européenne auquel le film rend hommage et fait explicitement référence.
Une ambiance glauque qui prend sa source d'un décor paradisiaque. N'écoutez pas ceux qui ont une dent contre le centre, l'eau c'est la vie.
Lockhart, jeune cadre ambitieux travaille dans une entreprise qui a vu disparaître son patron parti se soigner dans une étrange clinique suisse. Lockhart va se retrouver dans cet établissement étrange, pour tenter d'obtenir que son patron reparte avec lui. Mais il se rend vite compte qu'il n'est pas possible de quitter le si bon établissement. Une bonne distribution pour un film étrange et plein de mystères très étranges.
Fêtons le cinéma
Qu’il est attristant de voir un cinéaste aussi talentueux que Gore Verbinski se fourvoyer à ce point au sein d’une production médiocre, dépourvue de rythme et d’enjeux narratifs véritables – sinon cette abracadabrante histoire de baron et de lignée. Nous retrouvions pourtant les deux fils directeurs de la filmographie de l’artiste : le blockbuster disposant d’une réalisation soignée, le regard désabusé sur une société qui consomme les individus en les piégeant dans des modes de vie dégradants et situés hors de la vie, à l’instar de The Weather Man (2005) et les divers projectiles que le présentateur météo reçoit dans la rue. Ces deux fils ne parviennent jamais à converger et semblent sans cesse se concurrencer, à l’origine d’une boiterie qui endommage la lisibilité d’un long métrage tout à la fois balourd et inaudible. Les symboles se multiplient avec la légèreté d’un pachyderme : des anguilles partout, des scènes d’hystérie collective, du sexe mécanique… tout cela sur fond de roman gothique avec une relecture croisée de Faust et de Frankenstein…
A Cure for Life est un pot-pourri d’idées hétérogènes que dessert un rythme mollasson. Son cinéaste paraît fasciné par les images qu’il compose, persuadé de tenir là un cauchemar clinique et mental ; il ne réussit qu’à nous confronter à notre ennui, occasionnant une réflexion plus profonde sur le temps de vie passé devant ce genre de grosses productions sans vision artistique ni regard original porté sur la condition humaine. Quelques scènes de tension et la partition musicale signée Benjamin Wallfisch rehaussent, un temps, l’attention.
A Cure for Life est un pot-pourri d’idées hétérogènes que dessert un rythme mollasson. Son cinéaste paraît fasciné par les images qu’il compose, persuadé de tenir là un cauchemar clinique et mental ; il ne réussit qu’à nous confronter à notre ennui, occasionnant une réflexion plus profonde sur le temps de vie passé devant ce genre de grosses productions sans vision artistique ni regard original porté sur la condition humaine. Quelques scènes de tension et la partition musicale signée Benjamin Wallfisch rehaussent, un temps, l’attention.
Dans "A cure for Life", on suit Lockart, un jeune trader, qui doit se rendre en Suisse pour convaincre Pembroke, le patron de sa société en cure dans un institut d’hydrothérapie situé dans un château isolé en montagne. Lockart aura des difficultés à accomplir sa mission et va se retrouver lui-même piégé dans cet institut où se déroulent d’étranges expériences. Même si l’intrigue est assez classique, j’avais envie de voir ce film au regard d’une bande annonce alléchante. Avec "A cure for Life", Gore Verbinski reste dans le domaine du fantastique auquel il est habitué mais moins dans le divertissement comme Le pirate des Caraïbes et Lone ranger, mais plutôt comme dans son remake de The Ring, le frisson en moins. A cure for life est surtout un film d’ambiance, pas mal réussi sur ce plan là avec les couloirs mystérieux de l’institut, l’équipement désuet, etc. Cependant, je suis a assez mitigé. Autant formellement "A cure for life" est réussi, c’est visuellement bien filmé et la mise en scène est bonne. Certaines scènes peu nombreuses sont particulièrement réussies dans la tension qu’elles suscitent (comme l’accident de voiture, la crise cardiaque). Malheureusement, le scénario souffre d’incohérences et de scènes manquant de subtilité (
spoiler:
celle dans le bar, le gamin dans le train, le refrain fredonné par Hannah est tellement cliché, etc
.).
.).
Lorsque nous regardons la bande annonce de "A cure for life", on s'attend à un Shtter Island 2. Est-ce le cas? Oui et non. Le film a sa propre identité et sa propre âme.
Ne voulant pas m'éterniser sur l'histoire (assez compliquer à raconter), l'ambiance est très bien faite, le film est tourné avec la volonté de perdre un peu le spectateur. Gore y arrive très bien... Malheureusement, il n'exploite pas toutes les choses qu'il nous présente dans son film. Pire, on est même amené à se demander l'intérêt de certaines scènes...
Comme dit plus haut, l'ambiance est très bonne, la musique est très bonne également, et les acteurs principaux sont également très bien. Mention spéciale à Dane Dehaan, que j'avais découvert dans le très bon "The place beyond the pines".
Ce qui pèchent du coup? Le scénario malheureusement. Le film avait un énorme potentiel, mais comme souvent Gore gâche tout ce potentiel. L'histoire peine à démarrer rapidement mais on arrive tout de même à plonger dans ce thriller psychologique (grace à l'ambiance et la musique). Mais tout rouler bien jusqu'à la découverte de la fin. Si dans "Shutter Island" (si je devais ne citer que lui), la fin est parfaite, dans "A cure for life", ba.... C'est la fin qui gâche tout le film... Si certains éléments étaient prévisibles (et pas choquants), je me suis dit à un moment donné "Heuuuuu, d'accord..." puis "Mais pourquoi? Pour-quoi?".
Ca reste cependant un bon film divertissant.
Ne voulant pas m'éterniser sur l'histoire (assez compliquer à raconter), l'ambiance est très bien faite, le film est tourné avec la volonté de perdre un peu le spectateur. Gore y arrive très bien... Malheureusement, il n'exploite pas toutes les choses qu'il nous présente dans son film. Pire, on est même amené à se demander l'intérêt de certaines scènes...
Comme dit plus haut, l'ambiance est très bonne, la musique est très bonne également, et les acteurs principaux sont également très bien. Mention spéciale à Dane Dehaan, que j'avais découvert dans le très bon "The place beyond the pines".
Ce qui pèchent du coup? Le scénario malheureusement. Le film avait un énorme potentiel, mais comme souvent Gore gâche tout ce potentiel. L'histoire peine à démarrer rapidement mais on arrive tout de même à plonger dans ce thriller psychologique (grace à l'ambiance et la musique). Mais tout rouler bien jusqu'à la découverte de la fin. Si dans "Shutter Island" (si je devais ne citer que lui), la fin est parfaite, dans "A cure for life", ba.... C'est la fin qui gâche tout le film... Si certains éléments étaient prévisibles (et pas choquants), je me suis dit à un moment donné "Heuuuuu, d'accord..." puis "Mais pourquoi? Pour-quoi?".
Ca reste cependant un bon film divertissant.
Film d'exception mais très compliqué à décortiquer.
Je ne m'attendais pas du tout à ça mais tout y est. Scénario, réalisation, acteurs, photos, intrigue et univers bien glauque et pesant.
Le film est une belle surprise on ne s'ennuie pas une seconde et on veut surtt comprendre la fin mot de l'histoire. L'univers est bien angoissant et on n'arrive pas à y échapper. L'intrigue nous porte loin et est parfaitement emmenée par Dehaan, bravo à lui il n'est vraiment bon et pas que dans ce film (Chronicle je is ça j ne dis rien)
Fin exceptionnelle qui sera interprétée de différentes façons selon les personnes et ça j'adore !
Si vous cherchez un film simple qui retourne pas le cerveau passé votre chemin vous n'allez pas aimer sinon foncer !
Je ne m'attendais pas du tout à ça mais tout y est. Scénario, réalisation, acteurs, photos, intrigue et univers bien glauque et pesant.
Le film est une belle surprise on ne s'ennuie pas une seconde et on veut surtt comprendre la fin mot de l'histoire. L'univers est bien angoissant et on n'arrive pas à y échapper. L'intrigue nous porte loin et est parfaitement emmenée par Dehaan, bravo à lui il n'est vraiment bon et pas que dans ce film (Chronicle je is ça j ne dis rien)
Fin exceptionnelle qui sera interprétée de différentes façons selon les personnes et ça j'adore !
Si vous cherchez un film simple qui retourne pas le cerveau passé votre chemin vous n'allez pas aimer sinon foncer !
GyzmoCA
Gore Verbinski, Monsieur Pirates de Caraïbes, signe un thriller hyper stylisé. Le décor du chateau en suisse (qui en réalité est en Allemagne) est splendide et donne un ton spécial au film. Le suspense est bien présent et on pense immédiatement à Scorsese et son Shutter Island. Dane de Haan est habité par ce rôle à la manière d'un Leonardo di Caprio et donne l'impression d'être à l'aube d'une grande carrière. Au final, un bon thriller hitchcockien très soigné dans les décors et les costumes. A voir.
Malgré 1 ressemblance avec Shutter island ce film est très surprenant et surtout dérangeant,on sort de là avec 1 certain malaise et mal être . Le héros met du temps à comprendre certains signes tel l'eau qu'on donne à boire aux patients et qui les rend malade ,(les médecins ne boivent que du vin) mais il reste après 1 fin grandiloquente 1 atmosphere malsaine et c'est le but recherché par le réalisateur,là j'ai fait ma cure
Cinéphiles 44
Passé un peu inaperçu en France, A Cure For Life a pourtant été réalisé par Gore Verbinski qui a fait le remake américain de The Ring, ainsi que les trois premiers Pirates des Caraïbes. A travers ce film d’horreur, il dresse une critique sur le système capitalisme de notre société qui vise à nous aliéner pour mieux gouverner. A la fois classe et glauque, classique et innovant, fantastique et baroque, A Cure For Life parvient à imposer sa propre identité. Bien meilleur ici que dans le futur Valérian, Dane DeHaan maîtrise son rôle à la perfection malgré un scénario un peu fouillis. Car en deux heures trente, le très long-métrage s’avère somptueux visuellement, pleins d’idées dans les plans et les actions, mais certaines péripéties semblent aléatoires, comme si elles étaient surtout là pour rendre hommage à un cinéma d’antan. Quoi qu’il en soit, A Cure For Life reste une surprise évidente du fait qu’elle ne soit pas formatée dans un cocon hollywoodien.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
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Malgré un final fourre tout qui part dans tous les sens et ne répond pas à toutes les interrogations la mise en scène élégante de Verbinski et le sujet passionnant font de A Cure for Life un thriller paranoïaque séduisant. L'esthétique est renversante, le cinéaste trouve des idées photographiques renversantes et des symboles attrayants, les interprétations sont précises, malheureusement l'histoire demeure quelque peu brouillon.
https://m.facebook.com/la7emecritique/
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7eme critique
Dans de nombreux aspects (mise en scène, environnement, acteur principal, décors, costumes), "A cure for life" ressemble de près à un certain "Shutter island", et même à la limite du copié/collé sur certaines scènes. On patiente donc pour savoir si cette histoire à tendance psychologique nous réserve un sort similaire. Au vu de l'atmosphère pesante du film et de son côté mystérieux, on commencera donc instinctivement à analyser les scènes, à commencer par l'eau que l'on donne à boire à notre héros Lockhart, et qui cache certainement quelque chose, du moins c'est ce que la mise en scène nous laissera croire d'après ses plans, à moins que le cinéaste use de subterfuges pour détourner notre attention afin de mieux nous surprendre. L'intrigue et le suspense sont donc de la partie, de quoi s'approcher encore plus de son modèle "Shutter island", et on se demande donc si le cinéaste va réussir à nous bluffer comme a su le faire Martin Scorsese, et tel est le paris que s'est fixé Gore Verbinski en nous proposant ce mélange de réalités et d'hallucinations. Cependant, une fois confronté à son final bien barré, le film, et malgré ses qualités certaines, ne surprendra nullement et ira jusqu'à nous laisser un fade ressenti que l'on résumera par : "tout ça pour ça". En effet, après cette longue mise en bouche alléchante, on s'attendait forcément à quelque chose de plus impressionnant dans sa révélation, où celle-ci viendra ravager les deux précédentes heures à elle tout seule. L'acteur est bon, la mise en scène également, on ne peut pas dire non plus que l'écriture soit mauvaise, certains détails sont bien pensés, mais ça ne fonctionnera pas pour autant, notamment dans sa partie finale où tout viendra à s'écrouler comme un château de cartes. On ressent bien l'intention du cinéaste avec ce film, celle de faire un pseudo chef d’œuvre aux airs intelligents et finement étudiés, mais malheureusement pour Gore Verbinski, n'est pas Scorsese qui veut !
Nicothrash
Voilà un petit thriller parano tout à fait honorable à découvrir, Gore Verbinski soigne son atmosphère des plus malsaine et oppressante et assure à la réalisation. On se laisse surprendre assez facilement à la faveur d'un scénario plutôt malin et les questions fusent nous faisant par moment oublier la longueur du métrage. La photographie est très propre un peu à l'image du monde aseptisé que Lockhart découvre à son entrée au château et les différents rebondissements tiennent en haleine malgré le faux rythme imposé. Si l'on passe sur les quelques incohérences et ce final un rien grand-guignolesque il y a moyen de passer un bon moment devant ce "Cure For Life" dont le parallèle avec "Shutter Island" s'arrêtera à la bande annonce. Au passage Dane De Haan commence à s'imposer de fort belle manière dans le cinéma et c'est tant mieux !
Lockart, jeune cadre dynamique américain, est envoyé par son patron récupérer un de ses collègues qui séjourne en Suisse pour une cure thermale. On ne peut s'empêcher dans ce thriller fantastique de voir une comparaison avec "Shutter Island" tant le jeune Dane DeHaan nous fait penser à Di Caprio par son physique et surtout son rôle. Le gros problème de ce film, c'est sa durée (2h27) car sinon ça tient la route et c'est même carrément flippant par moment. Sans en dire plus, le personnage du héros devient légèrement agaçant à sans cesse accepter puis remettre en cause sa condition de patient. Une oeuvre assez clivante pour laquelle un deuxième visionnage s'impose!
Thriller à tendance horrifique réalisé par le talentueux Gore Verbinski (Le Cercle, la trilogie Pirates des Caraïbes), A cure for life traite de la valeur de la vie à travers des sujets comme la médecine, et d’autres plus sensibles comme l’enfantement et l’inceste. Lockhart, le personnage principal joué par Dane DeHaan (The Amazing Spider-Man, Valérian la cité des mille planètes), est un jeune cadre lancé sur les traces de son patron qui n’est pas revenu d’un étrange centre de bien-être situé en Suisse. Il découvre peu à peu la nature des soins appliqués aux patients par le docteur Volmer, joué par Jason Isaacs (Armageddon, Harry Potter et la chambre des secrets, Peter Pan), et le spectateur est invité pendant toute la trame à comprendre ce qu’il en découle. A la manière d’un Shutter Island, on se pose la question de savoir si Lockhart est réellement malade ou si l’Institut se sert de lui comme il semble s’être déjà servi des autres personnages, qui ne repartent jamais d’ici et se comportent souvent de manière stéréotypée. La jeune Hannah interprétée par l’étonnante Mia Goth donne une touche de féminité au film et sert de clé de voûte à l’intrigue, Lockhart s’intéressant de près à elle pour comprendre ce qui se passe.
L’esthétique est très réussie grâce à la colorisation glauque des images et aux musiques souvent sinistres (ou envoûtante concernant la piste « Hannah and Volmer »), donnant au sanatorium un cachet vraiment fort et mystérieux qui donne envie de connaître ses secrets. Difficile à interpréter à cause de tous les sujets qu’il traite, le scénario semble faire comprendre que la cure incite les gens à rester où ils sont spoiler: car ça les maintient en vie bien plus longtemps (avec la fameuse espérance de vie des anguilles utilisées)
, l’eau étant au centre de l’intrigue avec des plans très bien choisis comme clins d’œil (le robinet qui goutte, l’approche de la grille des égouts ou encore la baignoire avec la main qui dépasse, non sans rappelé le puits de Samara dans Le Cercle). Les plans de Volmer se voient plus ou moins venir quand on apprend que sa femme était stérile et étant donné son comportement spoiler: avec sa fille, qui fait plus femme que son âge réel et qui obtient ses premières règles lors d’une séquence aquatique.
La bravade de l’interdit est également bien rendue lorsqu’ils se permettent d’aller en ville. Si l’on voit clairement Lockhart spoiler: devenir comme les autres, il reprend néanmoins ses esprits et son
sourire final spoiler: remet bellement en cause sa santé mentale
. Un thriller intéressant très réussi !
L’esthétique est très réussie grâce à la colorisation glauque des images et aux musiques souvent sinistres (ou envoûtante concernant la piste « Hannah and Volmer »), donnant au sanatorium un cachet vraiment fort et mystérieux qui donne envie de connaître ses secrets. Difficile à interpréter à cause de tous les sujets qu’il traite, le scénario semble faire comprendre que la cure incite les gens à rester où ils sont spoiler: car ça les maintient en vie bien plus longtemps (avec la fameuse espérance de vie des anguilles utilisées)
, l’eau étant au centre de l’intrigue avec des plans très bien choisis comme clins d’œil (le robinet qui goutte, l’approche de la grille des égouts ou encore la baignoire avec la main qui dépasse, non sans rappelé le puits de Samara dans Le Cercle). Les plans de Volmer se voient plus ou moins venir quand on apprend que sa femme était stérile et étant donné son comportement spoiler: avec sa fille, qui fait plus femme que son âge réel et qui obtient ses premières règles lors d’une séquence aquatique.
La bravade de l’interdit est également bien rendue lorsqu’ils se permettent d’aller en ville. Si l’on voit clairement Lockhart spoiler: devenir comme les autres, il reprend néanmoins ses esprits et son
sourire final spoiler: remet bellement en cause sa santé mentale
. Un thriller intéressant très réussi !
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