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    Marche à l'ombre
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    Oblomov
    Oblomov

    2 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2020
    Sympatique comédie, très légère sans prétention d'un point de vu artistique. Les scène sont droles, des dialogue croustillant. Exellent Michel Blanc comme toujours en looser victime de maladie imaginaire. Le scénario est simple, il n'y a d'ailleurs pas vraiment d'histoire.
    Le film fut 6 million d'entrée a sa sortie. Le film a bien vieillit... bon premier film de michel blanc.
    DaftCold
    DaftCold

    21 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2020
    Le film s'en sort assez bien ! J'avais un peu peur de tomber un sur un film français qui a mal vieilli, mais finalement ça se regarde assez facilement. (Bien que l'usage d'un téléphone portable aurait changé et arrangé pas mal de leurs situations, mais c'est pas le sujet). Les blagues sont globalement drôles, et au pire on passe à la suivante sans non plus être gêné. Et même si leurs péripéties sont absurdes, on y croit et on s'attache aux personnages. Je trouve la fin ouverte un peu décevante, car le film avait encore le temps de nous montrer ce qu'il advennait des deux protagonistes. Bref de quoi passer une soirée assez sympatique !
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    3 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Film emblématique des années 80, présentant un Paris sombre, délabré, et des personnages évoluant dans un monde de laissés pour compte, de voyous, de squats. Un univers pessimiste où même les jeunes premiers (Gerard Lanvin) n'incarnent plus des héros à la Delon ou la Belmondo. On peut le rapprocher d'Une époque formidable de Jugnot ou de Tchao Pantin. Le film, bien qu'ayant vieilli, conserve également un intérêt pour ses dialogues.
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    On prend vraiment plaisir à suivre les tribulations de ces 2 toccards admirablement bien interprétés et 30 minutes de plus auraient été bienvenues pour clore décemment cette aventure..
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 864 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2019
    Un film social et un buddy réussit. Sans une ride, le duo est toujours aussi percutant et tendre. A voir et à revoir.
    Biertan64
    Biertan64

    51 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Comédie des années 80 devenue culte au fil des ans. Michel Blanc nous sort des dialogues hilarants avec son personnage de loser hypocondriaque. Avec des nombreuses rediffusions à la télévision, tout le monde a vu au moins une fois "Marche à l'ombre".
    OMTR
    OMTR

    19 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 février 2019
    Une comédie à la française des années 80, menée de main de maître par un Michel Blanc en grande forme, qui a également signé les dialogues. Un film qui a du cœur et une âme, ce qui fait actuellement si souvent défaut, qui nous narre les tribulations d’un duo comique et solidaire, parfaitement interprété par Gérard Lanvin et Michel Blanc, qui galère lors de leur retour totalement fauché de Grèce, où ils vont arpenter le pavé, le métro, les squats et bas-fonds parisiens. De fils en aiguilles, à travers des aventures tantôt comiques, douces, amères, tragiques, nos deux compagnons vont finalement se retrouver à New York. Un film qui a conservé tout son charme bon-enfant du milieu des années 1980, et qui procure un plaisir intact et intense lorsqu’on le revoit maintenant. Excellent !
    Stephenballade
    Stephenballade

    402 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2019
    "Marche à l’ombre" est le premier film de Michel Blanc en tant que réalisateur, accueilli par un peu plus de 6 millions de spectateurs. Quel succès ! Et pourtant… qui aurait cru retrouver ce comédien à la baguette, et en même temps le personnage le plus looser du cinéma français devenu l'étiquette de Michel Blanc ? Je vais peut-être vous l’apprendre, mais souvenez-vous : celui-ci avait marqué certains désaccords avec le reste de la troupe du Splendid à la veille de "Les bronzés font du ski". Ça remonte donc à la fin des années 70. Si je me fie aux dires d’un reportage récent sur la troupe, au départ il ne voulait pas apparaître dans le film. Pourquoi ? D’abord parce qu’il ne voyait pas l’utilité de tourner une suite à "Les bronzés", et ensuite parce qu’il ne la voyait pas aussi bonne. De plus, jouer l’éternel looser le fatiguait, d’autant qu’il vivait mal de se voir interpellé sans arrêt dans la rue en se faisant appeler Jean-Claude. Et donc contre toute attente, voilà "Marche à l’ombre". Sans aucun autre de ses compères du Splendid. Etonnant quand les premières répliques hument à plein nez le « made in Splendid ». Ah bah oui, vous apprendrez qu’une entorse peut s’infecter ou… gonfler à l’intérieur et non à l’extérieur. Admettons-le, il n’y a que Michel Blanc pour tenir de tels propos. Bingo ! C’est bien lui, de retour dans la peau du looser qui l’a rendu célèbre. A la différence près qu’il ne s’appelle plus Jean-Claude mais Denis… et qu’il n’est plus si looser que ça parce que contrairement à Jean-Claude, Denis parvient à conclure ! Ce qui ne change pas, c’est qu’il faut quand même se le farcir, et pour cela il fallait un bon ami. Un ami de bonne composition, parce qu’il faut se le fader à ce boulet et ce n'est rien de le dire. L’ami en question est incarné par un Gérard Lanvin volontaire, avec un côté un peu sans gêne pour échapper aux perpétuelles jérémiades de Denis. Le fait est que les deux acteurs forment un très bon duo en campant deux personnages unis dans la même galère malgré leurs différences. Bien entendu, je ne parle pas des différences physiques hein. Là-dessus il n’y a aucune comparaison possible, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais disons que l’un pense davantage à lui qu’à son pote tandis que c’est l’inverse pour l’autre : il pense plus à son copain et à leur avenir. La preuve, c’est toujours le même qui se coltine les tâches les plus ingrates (aller voir Monsieur Christian, les montres…), toujours le même qui laisse la place quand son acolyte n’est pas seul, toujours le même qui se montre toujours prêt à écouter son compagnon de route, et j’en oublie sûrement. Bien qu’unis, ils forment un contraste (et qui semble confirmer que les opposés s’attirent) car l’autre tape bien l’incruste quand il ne peut pas passer la nuit au chaud et dans le plus grand des conforts, y compris dans les moments les plus embarrassants. Pauvre Michel Blanc… quand il parvient à conclure, il ne peut pas être tranquille ! Et quand il arrive à l’être, c’est pour calculer des conneries et se faire attaquer par des renards, épisode que lui-même a un peu de mal à raconter parce que… parce que… ben je ne dirai rien parce que c’est une réplique culte. Des répliques cultes, il y en a quelques-unes, effectivement. Et pour tous ceux qui connaissent ce film depuis sa sortie en 1984, c’est un amusement de s’en souvenir et de les placer en même temps que les personnages. Un peu comme pour les films de la troupe du Splendid, me direz-vous. Au-delà de ça, c’est un vrai plaisir de redécouvrir ce film, d’autant que vous pouvez toujours vous adonner à quelques petits défis supplémentaires tels que reconnaître Sophie Duez (ce n’est pas très difficile, elle n’a guère changé depuis ce qui est en fait son tout premier rôle) ou d’autres petits rôles comme Jean-François Derec et même encore d’autres qui font une apparition au prix d’un caméo : Patrick Bruel (facile aussi), Bernard Farcy (toujours la même coupe qu’on lui connait dans la saga "Taxi") et enfin François Berléand (là, ça va être plus dur). "Marche à l’ombre" se démarque aussi par sa musique, pour le moins très éclectique. Tout y passe, sauf peut-être l’opéra et la musique classique. Ainsi vous aurez droit au rock (par le groupe Téléphone), à la musique de cabaret en passant par les musiques africaines (avec en prime un super solo au saxo !) et irlandaises sans oublier, bien entendu, le titre de Renaud qui a d’abord servi à nommer l’album dont il a été extrait. Et avec ses titres, vous voyagerez de Marseille aux Etats-Unis, avec une grosse pause à Paris, tout ça sans ennui parce que tout est imprimé sur un bon rythme. Seule ombre véritable au tableau : comment arrivent-ils à changer d’horizon alors qu’ils n’ont pas le sou pour se payer l’hôtel ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2019
    Super film culte. A ne rien louper. A voir et à revoir. Les deux acteurs sont formidables. Histoire trop courte. Lidia, N.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2021
    Un très bon film sur deux marginaux de la société. Une très bonne comédie marrante. On s'attache aux personnages auxquels on peut s'identifier.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2019
    « Marche à l’Ombre » porte un regard tendre sur les déboires de deux sans domicile fixe dans un climat social morose. La drôlerie des dialogues et des situations dans lesquels sont embourbés Gérard Lanvin et Michel Blanc, dont c’est là la première réalisation, ont fait le succès de cette irrésistible comédie qui squatta la plus haute marche du box-office français en 1984.
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 524 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    Ma foi, ce film est vraiment pas mal du tout. Bien sur à l'heure où j'écris ces quelques lignes je n'en suis pas à mon premier visionnage. Après donc, plusieurs visionnages répartis sur plus ou moins 25 ans, je trouve toujours ce film très frais, vivant et attachant. Pour un premier film Michel Blanc assure à 100%. Le scénario est pas mal, les dialogues sont biens, et collent aux personnages. Ces 2 là sont d'ailleurs très bien travaillés. Les choses n'ont d'ailleurs pas beaucoup changé depuis un peu plus de 30 ans je suppose. Et c'est sympa d'avoir tous ces 2nds rôles, Derec, Berleand (qu'on reconnait à peine), Farcy, Besnehard, et la belle Duez.
    bladgik
    bladgik

    92 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2017
    Une vrai réussite une comédie que j'adore . Dialogues excellents- Duo Lanvin-Blanc d'enfer- Musique excellente- Humour a gogo . C'est vraiment Bien. Je Vois pas le temps passé à chaque visionnage. Un Duo De potes faisant la manche, on les suit dans leurs péripéties tout au long du film . Je l'apprécie encore plus aujourd'hui que Pendant mon enfance.
    Santu2b
    Santu2b

    255 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2017
    De toute l'équipe du Splendid, celui qui a la meilleure carrière est incontestablement Michel Blanc. En 1984, le voici qui réalise son premier long-métrage "Marche à l'ombre", reprenant la chanson de Renaud. Avec Gérard Lanvin, il forme un tandem d'amis inséparables faisant la manche à Marseille. Sorti cinq ans après 'Les Bronzés font du ski", le film permet à l'acteur de recycler intelligemment son fameux personnage de Jean-Claude Dusse. On y retrouve donc Blanc dans la peau de Denis, peureux comme pas deux, hypocondriaque, et malchanceux de surcroît avec les femmes ne parvenant désespérément pas à conclure. Avec son exact opposé Lanvin dans le rôle du beau gosse bagarreur, le cinéaste orchestre un bon duo, réservant de belles situations et tirades. Bien écrit et sympathique, un passage réussi derrière la caméra.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 440 abonnés 4 462 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 décembre 2016
    Une petite comédie sociale, très années 80 que Marche à l’ombre, film qui rappelle qu’à cette époque on s’intéressait beaucoup plus aux marginaux, aux gens de la rue, et qui sans atteindre le niveau d’Une époque formidable, est un film porté par le dynamisme de ses comédiens, et quelques moments de réalisme lucide sous l’humour.
    Le casting est attrayant. Le duo Lanvin-Blanc fonctionne bien, les deux interprètes s’avérant complices. Ok, ils ne trouvent pas des rôles spécialement originaux, Blanc jouant le petit râleur et un peu boulet et Lanvin le camarade débrouillard, séducteur et bagarreur, mais ce sont des rôles qu’ils prennent avec application, et ils parviennent à maintenir l’intérêt, entourer de seconds rôles parfois caricaturaux, mais assez représentatif en fait de la « faune » urbaine du temps ! Très belle Sophie Duez, et quelques guest de prestige, à l’instar de Patrick Bruel. Marche à l’ombre dispose de bons interprètes.
    Visuellement on évolue sur une comédie un peu grise, à l’ambiance urbaine froide et plutôt angoissante, ce qui rappelle aussi qu’on n’est pas uniquement dans une comédie mais aussi sur un film qui montre les ghettos, les hôtels miteux, et le quotidien quasi-clochard des héros (sans sombrer dans le misérabilisme pur et dur). La bande son, colorée nerveuse, mais sur laquelle on retrouve bien sûr le tube de Renaud apporte de la vigueur, tout en renforçant le propos du métrage. Blanc derrière la caméra signe aussi une mise en scène alerte et plaisant.
    Le scénario cherche donc à nous faire partager les mésaventures de deux comparses musiciens débarquant en ville. Entre tripot minable et ghettos noirs, jusque dans les couloirs du métro, le film se veut une aventure urbaine et une sorte d’ode à la débrouillardise. Parfois un peu vain et pas toujours aussi subtil qu’on aurait pu l’attendre, il n’en reste pas moins que Marche à l’ombre est un film vigoureux, qui va vite, très vite, et parvient à offrir des moments drôles et des moments plus graves avec une réelle efficacité. Ça manque un peu de volume en quelque sorte, mais ça a la fraicheur d’un premier film, et on sent que Blanc voulait dire quelque chose.
    En somme, je donnerai 3.5 à ce métrage, qui pour ma part a des mérites certains. Un de ces bons moments du cinéma français des années 80, et le genre de métrage qui manque aujourd’hui trop souvent, au profit de films sociaux-documentaires, pour ne pas dire docu-fiction, au propos souvent bourratif et d’un didactisme affligeant.
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