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philmon2
37 abonnés
234 critiques
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2,5
Publiée le 15 août 2017
Très bon jeu d'acteurs, qui relève un peu le niveau d'un scénario éculé et totalement prévisible, que le réalisateur peine à dérouler. Dommage, il y avait de l'idée, et de vrais efforts de la part des acteurs.
Les rebondissements nous envoi difficilement de gauche a droite, on se fait assez rapidement une idée du scénario, et de son dénouement, sans être trop chambouler dans notre vision de son déroulement... C'est un point faible pour un thriller, par contre, l'ambiance et l'angoisse portée par clémence Poésy sont extrêmement réussies, on vit avec attention les tourments de cette mère, et je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler ! Un thriller angoissant mais qui ne surprend que très peu, la moitié du taf est fait, 3/5. Par contre une énorme incohérence m'a un peu gâchée la fin du film : [Spoiler] A la fin elle fait semblant de jeter le bébé a l'eau, alors qu'en réalité elle le garde, sachant qu'elle le jette dans un lac, la police n'a pas eu la décence de draguer le lac pour récupérer le bébé ??? Ou ne serait ce que vérifier qu'il y est vraiment... Et ca semble ne poser aucun problème au mari, qui ne cherche ni à être certain que son bébé est bien mort, ni a vouloir lui apporter un repos plus salutaire que le fond d'un lac... Mais bon apparemment y'a que moi que ca choc ><
un thriller dramatique et psychologique où il ne passe guère grand chose jusqu'à son dénouement prévisible. de ce fait, une machination machiavélique qui ne prend pas et ne tient pas vraiment le spectateur en haleine. des dialogues sans grande conviction et un jeu d'acteurs un peu pâle, tel C. Poésy assez décevante!
Un bien agréable moment. Superbe photographie, interprétations dans le ton, suspens grandissant et mise en scène soignée. Le point de faiblesse est que l'on "embrouille" pas le spectateur, dévoilant de fait les scènes à venir. Toutefois, un bon film ! 3.5/5 !!!
Au début je me suis dis et si c était comme rosemary'baby , et bien non ! en fait le film se détache complètement de tout ce que l'on peut penser et on est saisi de curiosité tout le long du film. Une bonne intrigue, un malaise apparent lors du diner , des personnages présent , d excellents jeux de regards angoissant, une note de 3/3 pas mal du tout .
Une maison. Deux couples attendant un heureux événement. Celui du rez-de-chaussée, un riche financier et une épouse beaucoup plus jeune, a mis sept longues années à espérer la venue d'un enfant. Celui du premier étage, trentenaire et plus traditionnel, a longtemps hésité avant de franchir le pas pour être parents. Un drame va bientôt avoir lieu...
D'emblée, le principal défaut de "London House" est son intrigue principale dont les amateurs de thrillers tortueux devineront tout de la finalité une fois les fondations posées et ce, même si une hypothèse trompeuse ressurgira de temps à autre pour distiller le doute. Mais il y a l'art et la manière de conduire ce genre de récit et David Farr est loin d'être le premier manchot venu pour cet exercice. Dans une ambiance hitchcocko-polanskienne qui ne faiblira pas, le réalisateur installe une forme de malaise entre les deux couples ne cessant de monter en puissance dans l'angoisse alors que les premiers instants sont déjà pourtant éprouvants avec un dîner particulièrement anxiogène. Par la suite, le film continuera de construire deux espèces de bulles formelles antagonistes entre les deux couples (la différenciation des tons de couleurs et de décors notamment) pour mieux créer le trouble lorsque celles-ci intéragissent entre elles, la croisée de deux mondes aux intentions bien différentes en somme. Il en résultera une sorte de climat à la fois froid et évanescent qui réussira parfaitement à maintenir le spectateur dans le trouble, un sentiment aussi provoqué par les nombreuses ellipses utilisées qui le force ainsi à rester attentif et à la recherche du moindre indice ou faux-pas sur les intentions des protagonistes à travers les instants de vie racontés et sciemment choisis. Évidemment, le quatuor d'excellents acteurs y est aussi pour beaucoup dans cette ambiance très réussie, surtout ceux d'en bas ("The Ones Below", le titre original), Laura Birn et David Morrissey marquant les esprits dès leurs premières apparitions face à l'héroïne Clémence Poesy et son compagnon Stephen Campbell Moore de plus en plus méfiants. Mineur mais efficace en allant à l'essentiel du fait de sa courte durée, "London House" va sans doute vous faire passer l'envie de connaître vos voisins pendant un petit moment...
Bon film de suspense un peu inspiré à mon avis d'Hitchcock mais on se laisse prendre par l'histoire très bien servie par les acteurs et surtout Clémence Poésy spécialement glaçante dans sa façon de se protéger.
Kate (Clemence Poesy) et Justin (Stephen Campbelle Moore) attendent un enfant. Ils occupent le premier étage d’une maison bourgeoise de Londres. Theresa (Laura Birn) et Jon (David Morrissey) s’installent au rez-de-jardin de la même demeure. Ils ont quelques années de plus et attendent eux aussi un enfant. Les couples sympathisent avant qu’un événement dramatique ne les éloigne.
"London House" voudrait volontiers loucher vers Hitchcock ou Polanski. Hitchock pour la blondeur de ses héroïnes : la vulnérable blondeur vénitienne de Clémence Poesy, la provocante blondeur platine de Laura Birn. Polanski pour l’ambiance de paranoïa et l’enfermement dans un lieu clos : on pense à la lente chute dans la folie du héros du "Locataire" ou, plus encore, à l’angoisse qui gagne Mia Farrow dans "Rosemary’s Baby" à l’approche de la naissance de son enfant.
Hélas, "London House" n’a pas la stature de ces illustres prédécesseurs. La comparaison la plus appropriée serait plutôt "La Main sur le berceau" ou "La Fille du train", le best-seller de Paula Hawkins récemment porté à l’écran. J’avais eu la dent dure en ne mettant à ce film sorti l’an passé qu’une seule étoile. Je voulais m’inscrire en faux contre un succès mondial à mes yeux usurpé.
Il est difficile d’être beaucoup plus généreux avec "London House". Sans doute sa fin glaciale devrait-elle m’encourager à plus d’indulgence. Mais ce refus des conventions ne suffit pas à racheter ce thriller trop prévisible.
J’aime beaucoup Clémence Poésy. Et ce depuis bien avant qu’elle n'apparaisse dans Harry Potter ou Tunnel (Sans moi a déjà dix ans). Toujours un réel plaisir de la voir sur grand (ou petit écran). Elle fait ce qu’elle peut ici. Pas aidée, malheureusement, par un très mauvais film et des partenaires pas à la hauteur non plus. La mise en scène est faiblarde, tape à l’oeil, trop démonstrative, horriblement datée années 80. Retour direct dans la période La main sur le berceau ou Liaison fatale, le talent des uns et des autres et le suspens en moins. Tout est ici...
Un film dont la violence gratuite n'est pas rattrapé par le récit ni la psychologie des personnages. Une pale copie du merveilleux Rosemary's baby de Polanski. Plat et sans saveur.
London House se regarde sans déplaisir mais ne fera certainement pas date dans le genre du thriller. La mise en scène assez fauchée de David Farr se rapproche plus d’un épisode de série anglaise ou même parfois à du théâtre filmé qu’à un véritable film de cinéma. En ne cachant pas son inspiration de Rosemary’s Baby, le film souffre forcement de la comparaison. Le suspense est assez conventionnel et ne devrait pas vraiment surprendre les habitués du genre même si la fin est tout de même bien pensée. [lire la critique complète sur le site]
Un thriller angoissant avec une intensité dramatique qui monte crescendo. Malheureusement, le dénouement est beaucoup trop prévisible et le film manque parfois de rythme. Pas mal tout de même.
Si le scénario, très balisé, est ultra-prévisible, l’intérêt de ce petit film réside dans sa mise en scène d’inspiration hitchcockienne. (...) Un exercice honnête qui, à défaut d’un grand film, offre un agréable divertissement.
Comme son titre français l'indique, London House (lointaine traduction de The ones below) se passe en très grande partie dans une maison londonienne occupée par deux couples. L'angoisse, puisque le film est basé sur un stress post-partum, sera donc domestique avec un voisinage inquiétant. Le film ne s'éloigne quasiment pas de sa principale intrigue et, ma foi, cela suscite un certain malaise tant que ce thriller ne révèle pas sa vraie nature. Quoique, et c'est l'un de ses problèmes, la prévisibilité de son scénario est aussi gênante que la crédibilité de l'histoire est faible. Pour sa première réalisation, David Farr ne parvient que difficilement à créer un climat anxiogène négligeant finalement un élément qui aurait pu être approfondi : l'entente au sein du couple. Le suspense passe par un twist final, évidemment, assez lourdement asséné, qui se veut pourtant sans concession mais ce petit jeu avec les nerfs du spectateur laisse finalement de marbre. Farr est assez à l'aise dans des espaces confinés mais il a en revanche beaucoup à progresser pour approfondir ses sujets. L'interprétation est correcte bien que les personnages soient quelque peu stéréotypés. Notre Clémence Poésy nationale est en tous cas très juste et déstabilisante.
vraiment très dessus du film scénario banal pas du tout de suspence je me quis ennuyé du debut a la fin je voulai quitté la sale j aurai du il ne vaut vraiment pas la moyenne