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L'Info Tout Court
416 abonnés
1 025 critiques
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3,0
Publiée le 22 mars 2017
Un thriller dans la veine de Rosemary’s Baby de Polanski. Le scénario est en soi très classique, on retrouve nos bons vieux archétypes du quasi huis-clos avec des gens qui n’ont vraiment pas l’air d’aller bien dans leur tête et qui sont plutôt invasifs. De ce fait, David Farr ne révolutionne rien, mais il réussit à instaurer dans la première partie du long-métrage une ambiance en jouant habilement sur les sons et les cadrages.
4 693 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 26 juillet 2021
London House est un ajout moderne à la vague de films de psycho-thriller qui ont fait fureur à Hollywood à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Ces films mettaient généralement en scène des familles de banlieue confrontées à des menaces urbaines et celui-ci ne fait pas exception. Cette fois-ci Clemence Poesy et Stephen Campbell Moore forment un couple de futurs mariés dont la relation avec leurs nouveaux voisins se dégrade rapidement. Ce thriller comporte un rebondissement précoce qui sort de nulle part et qui est extrêmement choquant et puissant. Mais malheureusement le reste n'arrive pas à égaler ces premiers moments et c'est en fait un film qui devient de plus en plus prévisible au fur et à mesure qu'il avance. Comme d'habitude les personnages principaux ont dix longueurs d'avance sur le spectateur et cela devient très vite plus qu'un peu familier et plus qu'un peu fatigant. Poesy fait une héroïne détestable mais Moore est bon même si son personnage est typiquement faible et inconscient de ce qui se passe autour de lui. L'utilisation intensive de flashbacks inutiles a l'histoire est également médiocre. En fin de compte il s'agit d'un film déjà vu qui a besoin de plus de dynamisme et d'originalité pour fonctionner et vraiment intéresser le spectateur...
Un thriller relativement classique avec une atmosphère oppressante (les personnages de Jon et Theresa sont particulièrement flippants) mais qui pêche par une intrigue et un final relativement prévisibles. Malgré tout, la tension est bien présente et même si l'ensemble ne laissera pas forcément un grand souvenir, on reste accroché jusqu'à la fin.
Au début je me suis dis et si c était comme rosemary'baby , et bien non ! en fait le film se détache complètement de tout ce que l'on peut penser et on est saisi de curiosité tout le long du film. Une bonne intrigue, un malaise apparent lors du diner , des personnages présent , d excellents jeux de regards angoissant, une note de 3/3 pas mal du tout .
Un film dont on ne sort pas indemne. La réalisation de David Farr est très réussie ! Il nous offre de belles images pleines de sens, un étalonnage fidèle aux thèmes et à l’ambiance générale du film qui vient colorer l’univers oppressant dans lequel évoluent ces personnages tourmentés et énigmatiques. Dès le début l’ambiance est angoissante cela est notamment créée par l’omniprésence de la mort qui vient s’opposer à la vie que portent en elles les deux femmes. Cette tension permanente est souligné par le très fort jeu d’actrices: Clémence Poésy et Laura Birn nous transportent complètement dans les émotions et la psychologie complexe des personnages de Kate et Teresa.
En bref une oeuvre cinématographique, qui mérite d’être regardée et même revue pour analyse. En effet elle est riche en symbolique, chaque mot des personnages compte, chaque détails a son importance, sert à enrichir le thème ou à guider l’esprit du spectateur sur ce qui va se produire. Si vous aimez le cinéma, celui qui nous fait découvrir des personnages avec une caractérisation et une psychologie développée, celui qui vous fait un minimum réfléchir et vous transporte dans son univers, vous ne perdrez pas votre temps.
Pour son premier long métrage, David Farr s’illustre par la réalisation d’un thriller angoissant particulièrement soigné. London House n’a de charmant que son titre : derrière les apparences coquette et bourgeoise de la maison et de ses habitants se joue un huis-clos troublant, à coup de miroir déformant, de manipulation sournoise, de mystère et de folie. L’étau se resserre autour de Kate et de Justin, l’atmosphère oppressante livre peu de répit, et bien que l’on devine très vite l’issue fatale de l’histoire, ce petit théâtre de l’intime de l’horreur exerce une étrange fascination. Servi par un quator inspiré (Clémence Poésy en tête) et une mise en scène tenue – malgré un scénario attendu -, London House dérange et intrigue. Un premier film prometteur.
Téléfilm assez court. Des personnages imparfaits, sinon méchants, rendent ce film énervant. Cela ressemble à de la paranoïa jusqu'à ce que de vraies choses se produisent. spoiler: Alerte gâcheur, le seul meurtre pourrait être commis avec l'aide du mari ou le riche le manipulant par ses employeurs.
Anecdotique, London House ne brille pas par un scénario somme toute assez attendu et digne d'un téléfilm. En revanche, la photographie est remarquable, bien qu'un peu trop aseptisée pour un sujet si glauque.
bon film mais je le trouve (beaucoup?)trop copié sur "la main sur le berceau", c'est en gros la même histoire sauf les relations entre les couples(voisins ici et pas dans la main sur le berceau)
Dommage. Il y avait tout pour et je n'avais rien contre. Le lieu, la photos, les acteurs : c'était bien parti pour me plaire. Mais le souci avec ce film c'est qu'on devine tout à l'avance, ce qui n'est pas vraiment l'idéal quand on regarde un thriller...
Le film est un peu court. Le scénario n'est pas inintéressant mais la mise en scène est très moyenne. Idem pour certaines scènes qui sont vraiment mal tournées.
Un film assez décevant déjà par le sujet amplement repris et rien de novateur dans ce scenario assez bancale. On prévoit assez rapidement les intentions de chacun et le final est sans surprise. Avec une intrigue fade, des acteurs mal à l'aise dans leur rôle, le résultat n'est pas à la hauter d'un thriller digne de ce nom.
Un film dont la violence gratuite n'est pas rattrapé par le récit ni la psychologie des personnages. Une pale copie du merveilleux Rosemary's baby de Polanski. Plat et sans saveur.
Pas besoin d’être médium pour connaitre le fin mot de l’histoire , le scenario est très prévisible………et de plus, vous avez déjà vu un bébé jeté dans un petit fleuve , et pas d’aquanaute pour vérifier si le bébé est au fond de l’eau, une fin invraisemblable.