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    London House
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    61 critiques spectateurs

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    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    C’est l’histoire d’un couple, Clémence POESY (34 ans) et Stephen CAMPBELL MOORE (37 ans) qui vit avec leur chat au 1er étage d’une maison à Londres. Un autre couple [la blonde Laura BIRN (35 ans) et David MORISSEY (52 ans)] vient emménager au rez-de-chaussée (d’où le titre que l’on peut traduire par « Ceux du dessous » ou « Les voisins du dessous »). Les 2 femmes sympathisent et partagent des activités (piscine), étant toutes les 2 enceintes, respectivement de 18 et 21 semaines. spoiler: Au cours d’un dîner à l’étage, la blonde tombe dans les escaliers à cause du chat, ce qui lui déclenche une fausse couche. Leurs relations se tendent alors et le couple privé d’enfant part pour l’Allemagne avant de revenir…
    Le réalisateur a su créer un thriller prenant [dont l’atmosphère rappelle un peu « La main sur le berceau » (1992) de Curtis Hanson], au scénario inventif et à la belle photographie. 4 performances d’acteurs, d’autant que les 2 femmes sont réellement enceintes ! .
    moket
    moket

    539 abonnés 4 345 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2018
    Un thriller paranoïaque glaçant et angoissant même s'il est un peu prévisible. Du déjà vu, mais plutôt bien fichu et bien interprété.
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2018
    Un bon thriller qui joue au frontière du Home Invasion à ceci près qu’ici la menace vie déjà dans la maison. Le film s’amuse aussi avec le personnage de Theresa qu’on juge dangereux mais que l’on plaint en même temps au vu de ce qui lui est arrivé. En revanche le personnage de son mari est mal écrit, antipathique du départ il n’arrive pas à créer une tension malsaine car on s’en méfie du départ. Le final arrive à bien brouiller les pistes avant une conclusion somme toute classique. Dans l’ensemble c’est un bon moment à passer.
    ffred
    ffred

    1 726 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 avril 2017
    J’aime beaucoup Clémence Poésy. Et ce depuis bien avant qu’elle n'apparaisse dans Harry Potter ou Tunnel (Sans moi a déjà dix ans). Toujours un réel plaisir de la voir sur grand (ou petit écran). Elle fait ce qu’elle peut ici. Pas aidée, malheureusement, par un très mauvais film et des partenaires pas à la hauteur non plus. La mise en scène est faiblarde, tape à l’oeil, trop démonstrative, horriblement datée années 80. Retour direct dans la période La main sur le berceau ou Liaison fatale, le talent des uns et des autres et le suspens en moins. Tout est ici...
    Alou F
    Alou F

    19 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mars 2017
    vraiment très dessus du film scénario banal pas du tout de suspence je me quis ennuyé du debut a la fin je voulai quitté la sale j aurai du il ne vaut vraiment pas la moyenne
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 juillet 2019
    Kate et Justin forment un couple parfait qui vit dans une rèsidence londonienne bon chic bon genre en banlieue! Leur vie va se transformer en cauchemar le jour où ils vont rencontrer leurs nouveaux voisins de palier, Jon et Theresa! Cette dernière est enceinte...comme Kate! Une chute accidentelle dans les escaliers va bouleverser la vie des deux couples [...] Il y avait autrefois le mythique "Vertigo" de Hitchcock ou encore l'effrayant "Rosemary's Baby" de Polanski, et puis d'autres moins connus, pas moins rèussis! En 2015 sort "London House", un thriller psychologique dont le rèsultat est ici au dessous du mèdiocre! On a du mal à s'attacher et à s'intèresser aux personnages! La mayonnaise ne prend pas malgrè sa courte durèe! Clèmence Poèsy peine à convaincre! Pas plus que David Morrissey! Seule Laura Birn tire son èpingle du jeu avec une coupe de cheveux à la Kim Novak! Elle est vèritablement troublante en hèroïne hitchcockienne qui s'habille avec èlègance! A part ça on ne sait que penser du twist final avec un metteur en scène qui ne sait pas où emmener son film! Dommage car "London House" avait du potentiel...
    Sylvain P
    Sylvain P

    341 abonnés 1 358 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2017
    Anecdotique, London House ne brille pas par un scénario somme toute assez attendu et digne d'un téléfilm. En revanche, la photographie est remarquable, bien qu'un peu trop aseptisée pour un sujet si glauque.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2017
    London House se regarde sans déplaisir mais ne fera certainement pas date dans le genre du thriller. La mise en scène assez fauchée de David Farr se rapproche plus d’un épisode de série anglaise ou même parfois à du théâtre filmé qu’à un véritable film de cinéma. En ne cachant pas son inspiration de Rosemary’s Baby, le film souffre forcement de la comparaison. Le suspense est assez conventionnel et ne devrait pas vraiment surprendre les habitués du genre même si la fin est tout de même bien pensée. [lire la critique complète sur le site]
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2017
    Le cinéaste anglais David Farr signe avec « London House » un thriller très ramassé, immédiatement anxiogène et qui, s’il a le défaut d’avoir un scénario ultra convenu, remplit néanmoins son office en nous collant une angoisse qui va crescendo. Le film ne dure même pas 90 mn, du coup il ne perd pas de temps en digressions, il pose d’emblée les données du problème et ne fait pas « de gras ». Aller à l’essentiel, ne pas perdre de temps avec des personnages ou des intrigues secondaires (alors qu’il y aurait peut-être eu des choses à dire sur la relation entre Kate et sa mère), et installer d’emblée une atmosphère, voilà le grand mérite du travail de David Farr. Plutôt bien filmé, en utilisant les décors et les couleurs pour marquer les différences entres les deux couples, pour installer aussi le malaise, Farr cherche là encore à être efficace, quitte parfois à tomber dans le travers du « vu et revu » dans le genre. Un exemple, la musique du film, une musique qui fait penser à une comptine pour enfant et qui cherche à installer paradoxalement une angoisse. Ca marche sauf que c’est tout sauf original et que cela a du être utilisé un bon millier de fois dans des films assez similaires. Propre, efficace mais sans imagination, sans audace, sans vraie créativité, c’est ainsi que je qualifierais la réalisation de David Farrr. Le vrai plus de « London House », ce n’est pas tellement son scénario (j’y reviendrai) mais son casting à 4 : Clémence Poésie est très juste dans le rôle d’une femme fragile, en proie à une forme de dépression post-partum et dont on se demande jusqu’à la fin si elle n’est pas en train de sombrer dans une paranoïa qui finira mal. Stephen Campbell Moore, qui incarne son mari, est un peu en retrait mais très convainquant. Quand au couple de voisin, psychorigides, très angoissants (un poil trop peut-être ? Un tout petit peu de subtilité aurait été la bienvenue), il est très bien tenu par Laura Birn et David Morrisey (oui, oui, le « gouverneur » de « The Walking Dead » !) qui, sans jamais sourire, sans jamais avoir un geste tendre ou altruiste, met tout le monde mal à l’aise dés les premières secondes, jusqu’à sa propre femme. Le scénario est ultra convenu et quand même, on sent arriver les rebondissements d’assez loin : spoiler: on a vu « la main sur le berceau » ou « Rosemary’s Baby » ? On a lu l’excellent « Après la haine » de Barbara Abel (qui pourrait être à deux doigt de demander des droits d’auteur sur le film !), alors on devine vite comment les choses vont (mal) tourner
    . Le scénario tourne essentiellement autour d’une ambigüité toute simple : Kate a-t-elle raison de trouver l’attitude de ses voisins anormale ou bien son esprit est-il en train de sombrer dans la paranoïa. D’après ce qui est suggéré (mais jamais clairement expliqué) par le scénario, son frère est mort (suicide ?) et ses rapports avec sa mère sont exécrables, quant à son père, il n’existe pas. Cette façon d’insuffler chez le personnage de Kate une sorte de fragilité originelle n’est pas très subtile mais fait quand même en sorte qu’on se pose des questions sur son psychisme à plusieurs reprises, surtout qu’elle a une manie de dévisager les gens qui semble un peu étrange. Le twist final choisit son camp (paranoïaque ou pas ?) et boucle la boucle sans que l’on soit vraiment surpris, à vraie dire. Et comme le scénario ne recule devant aucun artifice en matière de suspens spoiler: (« Je ne m’absente que deux petites heures ma chérie, il ne va rien t’arriver en deux heures ! », La bonne blague…),
    on se sent même un chouïa déçue par le manque de subtilité de la fin du film. Des thrillers, j’en vois beaucoup, j’en lis encore plus alors pour me scotcher à mon siège, il en aurait fallu nettement plus que cela ! Mais j’imagine que pour quelqu’un qui accepte de se laisser mener par le bout du nez (et comme le film est efficace ça peut le faire), le thriller remplit son contrat et amène ce spectateur bon public à flipper, à s’interroger, et à se laisser surprendre par la cruauté d’une fin assez noire et pour le coup assez crédible. C’est peut-être ça aussi la qualité n°1 de « London House », c’est qu’en y réfléchissant bien, la trame est suffisamment crédible pour embarquer le spectateur et lui coller (un peu) les miquettes !
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2017
    Si le scénario, très balisé, est ultra-prévisible, l’intérêt de ce petit film réside dans sa mise en scène d’inspiration hitchcockienne. (...) Un exercice honnête qui, à défaut d’un grand film, offre un agréable divertissement.

    LA SUITE :
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    135 abonnés 2 235 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juillet 2018
    LA MAIN SUR LE BERCEAU. Que va t'il surgir de la complexité cosmique? Comme une évidence, vos voisins vous en veulent, donc pour assouvir une pulsion on leur confie notre enfant. J'ai le baby blues. Demain tout recommence. L'obstination est le parent pauvre de la volonté. Le bon public sera prit au jeu du chaton et de la souris. Quelle énigme, quel traitement bancal! Et après on dira que la natalité est en baisse.
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2016
    Un très bon premier film pour David Farr qui malgré une idée simpliste, et à première vue prévisible, parvient à nous tenir en haleine jusqu'au bout grâce à un bon mélange des genres entre le thriller pur et dur et le drame personnel. L'intrigue est vraiment bien menée, car à chaque fois que l'histoire prend la direction que l'on attend, il se passe quelque chose qui nous fait douter. Les "soupçons" vont un coup sur l'un et un coup sur l'autre, ça ne cesse d'évoluer peut-être un peu trop d'ailleurs, je pense au twist final qui est bon et surement cohérent par rapport à ce que l'on pense au début, mais c'est quand même gros, ça ne m'aurait pas dérangé d'avoir quelque chose de plus orienté vers le drame. J'ai beaucoup aimé l'histoire, la tension psychologique qui s'installe, l'ambiance bien glauque et pensante puis surtout le casting bien mené par une très bonne Clémence Poésy. J'ai été agréablement surpris par ce film qui ne révolutionne pas le genre, mais qui est vraiment captivant.
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2017
    Comme son titre français l'indique, London House (lointaine traduction de The ones below) se passe en très grande partie dans une maison londonienne occupée par deux couples. L'angoisse, puisque le film est basé sur un stress post-partum, sera donc domestique avec un voisinage inquiétant. Le film ne s'éloigne quasiment pas de sa principale intrigue et, ma foi, cela suscite un certain malaise tant que ce thriller ne révèle pas sa vraie nature. Quoique, et c'est l'un de ses problèmes, la prévisibilité de son scénario est aussi gênante que la crédibilité de l'histoire est faible. Pour sa première réalisation, David Farr ne parvient que difficilement à créer un climat anxiogène négligeant finalement un élément qui aurait pu être approfondi : l'entente au sein du couple. Le suspense passe par un twist final, évidemment, assez lourdement asséné, qui se veut pourtant sans concession mais ce petit jeu avec les nerfs du spectateur laisse finalement de marbre. Farr est assez à l'aise dans des espaces confinés mais il a en revanche beaucoup à progresser pour approfondir ses sujets. L'interprétation est correcte bien que les personnages soient quelque peu stéréotypés. Notre Clémence Poésy nationale est en tous cas très juste et déstabilisante.
    Pascal I
    Pascal I

    774 abonnés 4 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 août 2017
    Un bien agréable moment. Superbe photographie, interprétations dans le ton, suspens grandissant et mise en scène soignée.
    Le point de faiblesse est que l'on "embrouille" pas le spectateur, dévoilant de fait les scènes à venir.
    Toutefois, un bon film ! 3.5/5 !!!
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2018
    Un thriller honnête avec une ambiance malsaine et angoissante comme toile de fond la névrose. Même si l'on s'attend à quelque chose dés le début du film, le réalisateur à réussi à brouiller les pistes.
    Les actrices sont impeccables
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