Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Avec son quatrième long-métrage, la réalisatrice Alexandra Leclère signe une comédie audacieuse sur la solidarité, portée par une troupe d’acteurs en grande forme, dont l’excellente Valérie Bonneton.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Sans aucun doute, la parfaite contre-programmation de l'hiver face à la déferlante "Star Wars", pour familles en demande de rires avant la dinde.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On rit beaucoup du couple bobo, tiraillé entre ses valeurs de gauche et son refus de cohabiter avec un inconnu dans un appartement volontairement sans cloisons, et des horreurs proférées par la concierge facho. On est moins convaincu par le bourgeois réac qui se laisse attendrir par sa locataire SDF. Mais nous, serions-nous plus exemplaires ?
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Dans son tableau des clichés, la réalisatrice semble absolument tenir à cocher toutes les cases, pour certainement mieux les dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie sur fond social, plus proche du gros boulevard que de Capra…
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une fois troussé cet album de faux-culs réunis, le scénario fait du surplace, reprenant quelques vannes éprouvées. Tout ça pour se condamner à finir sur une chute bien artificielle.
Sud Ouest
par Sophie Avon
En attendant, on ne s'amuse pas beaucoup. Même si, dans cette époque morose, les injustices sont si flagrantes que, forcément, la comédie percute ici et là. C'est déjà ça. Ce n'est pas suffisant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par Jérôme Saunier
Exception faite des "Soeurs fâchées", Alexandra Leclère persiste et signe dans le genre thème société traité de façon poussive (avec toujours, curieusement, un casting de "stars").
Critikat.com
par Josué Morel
Que l’immeuble soit quasiment le seul lieu de l’intrigue pointe autant l’inspiration lourdement boulevardière que la conception verticale du petit microcosme ausculté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
Quant à la concierge (Josiane Balasko), bien évidemment militante FN féroce, son portrait est exécuté à la truelle. Comme le reste, d’ailleurs, qui slalome entre les codes rabâchés de la comédie à la française, en vertu desquels les personnages se révèlent différents de ce qu’ils étaient.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Madame ne désire plus monsieur ("Les Soeurs Fâchées", "Le Prix à payer"), monsieur ne désire plus madame (Bourdon dans "Le Grand Partage"). Mais ce motif n'inspire à son auteur que des railleries aigrelettes, des grivoiseries rances.
Première
par Eric Vernay
Armée de ce pitch censé révéler les travers de la société française, Alexandra Leclère gribouille une galerie de clichés sur pattes, carburant à la vanne vaseuse. Et si on oubliait ce sinistre (télé)film ?
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une comédie pataude qui nous ressert pour Noël la sempiternelle soupe à la grimace, lors d’un grand bal populaire où se mélangent clichés et caricatures dans une orgie de stéréotypes franchouillards.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
Avec son quatrième long-métrage, la réalisatrice Alexandra Leclère signe une comédie audacieuse sur la solidarité, portée par une troupe d’acteurs en grande forme, dont l’excellente Valérie Bonneton.
Studio Ciné Live
Sans aucun doute, la parfaite contre-programmation de l'hiver face à la déferlante "Star Wars", pour familles en demande de rires avant la dinde.
Le Journal du Dimanche
On rit beaucoup du couple bobo, tiraillé entre ses valeurs de gauche et son refus de cohabiter avec un inconnu dans un appartement volontairement sans cloisons, et des horreurs proférées par la concierge facho. On est moins convaincu par le bourgeois réac qui se laisse attendrir par sa locataire SDF. Mais nous, serions-nous plus exemplaires ?
Franceinfo Culture
Dans son tableau des clichés, la réalisatrice semble absolument tenir à cocher toutes les cases, pour certainement mieux les dénoncer.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie sur fond social, plus proche du gros boulevard que de Capra…
Ouest France
Une fois troussé cet album de faux-culs réunis, le scénario fait du surplace, reprenant quelques vannes éprouvées. Tout ça pour se condamner à finir sur une chute bien artificielle.
Sud Ouest
En attendant, on ne s'amuse pas beaucoup. Même si, dans cette époque morose, les injustices sont si flagrantes que, forcément, la comédie percute ici et là. C'est déjà ça. Ce n'est pas suffisant.
Voici
Exception faite des "Soeurs fâchées", Alexandra Leclère persiste et signe dans le genre thème société traité de façon poussive (avec toujours, curieusement, un casting de "stars").
Critikat.com
Que l’immeuble soit quasiment le seul lieu de l’intrigue pointe autant l’inspiration lourdement boulevardière que la conception verticale du petit microcosme ausculté.
L'Obs
Quant à la concierge (Josiane Balasko), bien évidemment militante FN féroce, son portrait est exécuté à la truelle. Comme le reste, d’ailleurs, qui slalome entre les codes rabâchés de la comédie à la française, en vertu desquels les personnages se révèlent différents de ce qu’ils étaient.
Les Inrockuptibles
Madame ne désire plus monsieur ("Les Soeurs Fâchées", "Le Prix à payer"), monsieur ne désire plus madame (Bourdon dans "Le Grand Partage"). Mais ce motif n'inspire à son auteur que des railleries aigrelettes, des grivoiseries rances.
Première
Armée de ce pitch censé révéler les travers de la société française, Alexandra Leclère gribouille une galerie de clichés sur pattes, carburant à la vanne vaseuse. Et si on oubliait ce sinistre (télé)film ?
aVoir-aLire.com
Une comédie pataude qui nous ressert pour Noël la sempiternelle soupe à la grimace, lors d’un grand bal populaire où se mélangent clichés et caricatures dans une orgie de stéréotypes franchouillards.