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    Elle
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    653 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 juin 2016
    Scénario ridicule incohérent et malsain.
    Acteurs mauvais.
    Film à fuir.

    Je crois que ceux qui ont suivi le match Autriche - Portugal ont du passer une meilleure soirée et pourtant le score était de 0-0.
    Alexandre H.
    Alexandre H.

    10 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2016
    Un très bon film, avec le rythme de suspense. Je crois que les acteurs ont bien joué , ce film me rend l'envie de lire le roman "Oh...".
    mat niro
    mat niro

    352 abonnés 1 815 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2016
    Attendant beaucoup de cefilm, j'ai été quelque peu déçu par ce thriller du sulfureux réalisateur hollandais. Isabelle Huppert (Michéle) est, il faut le dire, très crédible dans son personnage de femme complexe et totalement névrosée. Le début commence par son viol et on sent une atmosphère pesante mais pas assez à mon goût. Les seconds rôles n'apportent pas grand chose au film, comme celui de Virginie Efira ou même le couple que forme le fils de Michéle avec sa jeune ingénue (anecdote ridicule du bébé de couleur). On sent que le réalisateur veut déranger avec des scènes crues mais le suspens sur l'identité de l'agresseur n'est selon moi pas assez entretenu. A voir pour le jeu sublime d'une des plus grandes actrices du cinéma français : Isabelle Huppert.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 juin 2016
    C'est vraiment un film étrange... Déjà pour son casting (Huppert, Verhoeven, Lafitte, ça ressemble à une blague), puis par le ton employé, tour à tour, glauque, violent puis drôle. Mené par une Isabelle Huppert qui joue presque faux, "Elle"m'a un peu rappelé Crime d'Amour.
    Comme le film d'Alain Corneau, Le scénario multiplie les coups de théâtre improbables dans une ambiance très bourgeoise, mais avec la vision voyeuriste et sans empathie de Paul Verhoeven.
    Malgré tout le film reste très léger, comme Huppert, indéchiffrable, qui semble flotter au dessus de tous les drames de son personnage.
    Du coup le film a du mal à trouver son genre. Ni une comédie, ni un film noir, "Elle" est un film étrange qui crée un vrai malaise, mais pas vraiment d'électrochoc en comparaison des œuvres les plus sulfureuses de son réalisateur.
    gastonlebrave
    gastonlebrave

    20 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2016
    Sombre mais efficace. Isabelle Huppert est toujours aussi brillante! J'ai vu ce film avec grand plaisir et le conseille vivement.
    petitbandit
    petitbandit

    89 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2016
    "Elle" ou comment donner le rôle parfait à Isabelle Hupert dans son personnage tordu, barré et maso et qui excelle à merveille. Tout d'abord la réalisation est très maîtrisée, les plans et séquences savamment distribués. Si l'histoire est alambiquée, elle regroupe tout un tas de personnages et leurs histoires propres, le tout servi avec de bonnes touches d'humour noir. Le film perd néanmoins en intérêt sitôt le "violeur" découvert et la durée est un peu trop longue.
    Un bon thriller à ne pas rater toutefois.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 juin 2016
    Les critiques négatives lues avant de voir ce film sont injustes, certes, le film est rude, cynique et malsain, mais très complet et équilibré sur ce thème, certes il est porté à bout de bras par une brillante Isabelle Huppert, certes le coupable n'est pas une surprise, mais ce film ambigu et dérangeant est parfaitement maîtrisé et fort bien construit, certaines séquences risquent même de passer à la postérité... C'est un film réussi
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 juin 2016
    Première critique d'un film sur Allociné, j'active mon compte que pour celui-ci et surtout par volonté de protéger les futurs spectateurs.

    Une bande annonce alléchante, qui laisse entrevoir un Thriller angoissant, avec des critiques presses très élogieuses il y avait toutes les raisons d'aller voir ce film. Ne tomber pas dans ce piège.

    Je n'ai jamais vu un aussi mauvais film au cinéma, moi et ma compagne nous avons même été pris de fou rire à certains moments tellement c'était gros, on voit venir se film à des kilomètres, de la première scène à la dernière. C'est d'un ennui mortel, on rit malgré nous quand le film est sensé nous émouvoir ou nous effrayer. Il ne s'agit pas d'un Thriller, mais d'une pseudo comédie, quasiment romantique, avec comme fil rouge un agresseur. Il n'y a pas de propos, les événements s'enchaînent avec grossièreté et hasard, on attend simplement que s'achèvent le supplice de voir un aussi mauvais film sur un écran qui fait la taille d'un bel appartement.

    N'allez pas le voir.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    200 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juin 2016
    Paul VERHOEVEN revient certes en grande forme avec ce scénario sulfureux, adapté du roman écrit par Philippe DJIAN. Mais "Elle" reste un drame bourgeois conventionnel, qui ne parvient pas à tirer le meilleur parti de situations extrêmes. Le réalisateur néerlandais signe ainsi un thriller en panne de rythme. Dans le rôle principal, Isabelle HUPPERT livre toutefois une de ses meilleures performances. A ses côtés, on appréciera le casting 100%, avec la participation de Judith MAGRE notamment.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2016
    Julieta, Elle. Deux œuvres présentées cette année au festival de Cannes, deux portraits de femme. La comparaison ne peut pas aller beaucoup plus loin, tant les deux films sont différents (le premier est un mélodrame, le second un thriller). Pourtant, on peut mettre en parallèle les deux manières de représenter le personnage principal. Almodóvar raconte la vie de Julieta de manière chronologique et montre comment un enchainement d'événements malheureux a pu assombrir sa vie, tandis que Verhoeven présente immédiatement Michèle comme une femme normale victime de viol, avant de fissurer de son portrait en explorant son passé, toujours plus loin, toujours plus sombre. Le réalisateur met donc en scène un personnage étrange, avec lequel on ne sait pas trop quoi faire. Michèle fait preuve d'un comportement odieux et n'hésite pas à s'engager dans plusieurs magouilles (sexuelles ou juridiques), mais elle possède quelque chose de profondément fascinant. Déjà, Isabelle Huppert met à contribution son jeu particulier et ses intonations souvent qualifiées de bourgeoises pour renforcer la fausseté de son personnage. En plus de cela, Michèle agit toujours avec désinvolture et ne fait preuve d'aucun tact quand elle est confrontée à la souffrance, la sienne comme celle des autres. Cette attitude contraste beaucoup avec ce que l'on sait d'elle, ce qu'elle a vécu, et (Dieu merci) le réalisateur ne fait jamais de la psychologie de comptoir pour expliquer ses actes. Michèle est juste comme cela, froide, presque détachée du réel. Elle conserve tout le long du film une assurance, comme si elle avant le contrôle sur tout. Verhoeven a su contenir la folie manifeste de cette femme pour la rendre cohérente et hypnotisante. Et ce paradoxe, cette opposition entre deux pôles, ne se limite pas à l'héroïne. Le film présente un milieu bourgeois malsain, où évoluent des personnages antipathiques qui se situent tous quelque part entre la méchanceté pure et la stupidité profonde. En partant de ce microcosme, il y a quelque chose qui monte, un mélange de malaise et de tension, qui fait que le spectateur est pendu aux lèvres des acteurs, qu'il attend la fin de chaque réplique en ayant l'impression que tout va voler en éclats dès qu'elle sera terminée (le réalisateur rythmant parfaitement chaque phrase). Et à côté de cela, le long-métrage propose un humour insolent, à la fois noir et cynique, qui m'a personnellement désorienté. Il semble que le film demande au public s'il doit rire de ce qu'il voit, si c'est approprié de se moquer de la même manière des accidents farfelus (le bébé) et des malheurs plus profonds (ce que dit Huppert au chat). La qualité de l'écriture permet de soulever cette question avec finesse dans un film qui en manque un peu. C'est un peu le problème avec la démarche de Verhoeven : il y va à fond, quitte à érafler les murs en passant. Plusieurs choses passent plus ou moins bien selon le contexte, notamment les dialogues. Si je loue leur capacité à susciter un je-ne-sais-quoi tout en approfondissant les personnages, il est vrai qu'ils doivent sonner particulièrement faux pour quelqu'un qui a du mal à rentrer dans le film, en particulier les répliques à la limite du one-liner. De plus, la représentation du milieu professionnel de Michèle (le jeu vidéo) est loin d'être un exemple de subtilité. J'apprécie le moment où on explique que l'entreprise vise un public qui se fout de la qualité, et je pense que l'aspect pulsionnel de ce média, bien que caricatural, fait sens dans le monde décadent du film. En revanche, montrer une cinématique de PS2 représentant un viol avec des tentacules et en faire un enjeu de l'histoire, c'est trop. Toutefois, cela n'enlève pas grand chose à la qualité du film, qui reprend le thème du viol pour proposer une histoire différente, où ce n'est pas l'identité de l'agresseur qui compte (heureusement car il n'est pas difficile à démasquer) mais la relation glauque que la victime cherche à établir par la suite. C'est violent et dérangeant, bref c'est un sacré retour pour Verhoeven.
    overlook2
    overlook2

    23 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Décidément, Verhoeven se régénère merveilleusement bien loin d’Hollywood ! Après l’enthousiasmant « Black Book », le cinéaste nous livre ici une œuvre d’une incroyable complexité et d’une grande tenue formelle, sans se départir d’un esprit frondeur et de réjouissantes mauvaises manières qui dynamitent de fond en comble ce thriller psychologique à tendance chabrolienne. Porté par une Isabelle Huppert hallucinante, au sommet de son art de la distanciation brechtienne, Verhoeven vogue au large des berges ternes de la psychologie et du rationalisme, plongeant dans la pénombre de l’âme humaine avec une jubilation de sale gosse. S’il rejoue ici l’éternel ballet entre l’Eros et le Thatanos, qu’il parvient toujours avec autant de brio à faire muter les genres (on navigue entre le thriller, le drame social et la comédie absurde), quelque chose de nouveau se passe dans « Elle » : jamais le cinéma de Verhoeven n’aura été si loin dans l’ambivalence, le trouble narratif. Impossible en effet de savoir qui est vraiment ce personnage féminin en abime ni ce qui l’anime : accomplissement d’une sexualité « monstrueuse » qui trouve enfin son épanouissement (l’assimilation du père monstrueux) ou au contraire la reprise en main d’un existence dont elle s’était détachée pour se préserver ? Car c’est bien une prise de pouvoir à laquelle on assiste au cours du récit : peu à peu, Michelle impose sa volonté à son entourage et semble renaître de sa chrysalide. Peu à peu, tous les mâles défaillants qui l’entourent et la polluent vont être éliminés (jusqu’à son père), et cette tabula rasa - qui se termine par un pacte fortement sexualisé avec sa meilleure amie - ressemble à une vengeance accomplie inconsciemment. Michelle a-t-elle subit les outrages de son violeur pour mieux s’en venger (et à travers lui se venger de ce père qui a violé son enfance) ou le plaisir qu’elle y a réellement trouvé (l’hallucinante séquence de l’orgasme à rallonge dans la cave) a-t-il été déclencheur à son émancipation ? Certainement un peu des deux. Tel ce chat dont les apparitions parsèment astucieusement le récit, elle demeure impénétrable. On mesure la complexité abyssale d’un film à la fois totalement jouissif dans sa forme et sa tonalité transgressive que d’une stupéfiante ampleur thématique. Veroheven signe un grand film et fait preuve d’une vitalité et d’une intelligence cinématographique à faire pâlir la plupart des cinéastes contemporains.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 juin 2016
    Alors oui Isabelle Huppert est une fois encore excellente et véneneuse à souhait!
    Le reste des acteurs fait tout pour la mettre sur orbite et lui pardonne les bizareries malalaisante de son personnage. Séance d'hypnose générale...
    Le film explore les bas fonds de l'ame humaine, OK. Mais il me semble absurde que son amie lui pardonne l'infidélité commise avec son mari, que son ex mari lui passe tout comme d'abimer son véhicule, que les séances avec son voisin ne laisse aucune trace sur son visage. Pour moi c'est là que pêche le scénario.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Entre son Showgirls mal aimé et Basic Instinct, ce n’est pas la première fois que Paul Veroheven réalise un drame érotique. Isabelle Huppert n’est pas non plus vierge dans le domaine. Cette dernière a su nous choquer dans bon nombre d’œuvres, comme La Pianiste pour n’en citer qu’une. Elle est un thriller psychologique qui cherche perpétuellement à nous déranger. Huppert joue une chef d’entreprise de jeux vidéo. Alors qu’elle semble stable et sûr d’elle, son passé la rattrape continuellement. Quand elle était petite son père a sauvagement massacré tout le voisinage. Aujourd’hui Michèle se fait violer. Inconsciemment, elle trouve ça normal, comme si elle méritait ces choses-là. La voici alors à se complaire dans une attitude malsaine et agressive. Paul Verhoeven installe une atmosphère effrayante et érotique à sa mise en scène, si bien que l’histoire pose un regard lucide sur l’incompréhensible. Elle nous réconcilie aussi avec des acteurs hauts de gamme qui n’avaient pas toujours eu notre estime. Monsieur Lafitte de la Comédie Française agit dans une impavide posture pour un rôle chargé de commotions. Les quelques apparitions de Virginie Efira sont une force indiscutable à ce long-métrage, de par ce rôle de godiche catholique déroutant. Jonas Bloquet lui, nous déconcerte dans son rôle de nouveau papa aveugle face à une parfaite peste jouée par Alice Isaaz. Bref, chaque personnage, chaque situation, chaque tournure de mot, possède une allusion qui controverse les codes de la palabre. Elle saura stimuler vos nerfs en n’épargnant personne.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Jeff Gernigon
    Jeff Gernigon

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 juin 2016
    Je ne comprends pas pourquoi ce film était cité dans les favoris pour la Palme...
    C'est ennuyeux, personnages caricaturaux, au début du film on a l'impression qu'Isabelle Huppert est passée chez le dentiste juste avant de tourner tellement sa prononciation est pâteuse...

    Bref un sacré casting (comédiens et réalisateurs) qui n'accouchent même pas d'une souris...
    Heidi75013
    Heidi75013

    8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Comment apprécier un film dans lequel tous les personnages offrent des performances psychiatriques dans une course à la perversion ? La fin a fait basculer le film dans l'absurde en ce qui me concerne.
    Seul l'excellent jeu des acteurs a sauvé ma soirée.
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