Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
À la manière d'un Paolo Sorrentino, inscrivant sa réflexion politique et métaphysique dans une forme virtuose, Samuel Maoz stylise ce qui ressemble à un mirage dans lequel il n'y a rien à faire que de tuer le temps qui s'étire à l'infini.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Tour à tour déstabilisant, hypnotique et émouvant, "Foxtrot" se donne comme une méditation ironique et désenchantée sur le destin.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Dix ans après Lebanon, le cinéaste israélien revient sur la tragédie qui creuse des tombes avec un film captivant sur le fond comme sur la forme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
L'image, sophistiquée, ajoute à la force de ce film aussi dérangeant qu'hallucinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec une mise en scène très travaillée (plans fixes, cadres serrés) qui privilégie l’esthétique à la démonstration, joue du mystère et de l’humour parfois aux limites du non-sens, Samuel Maoz tend un terrible miroir à son peuple.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Original, intelligent, métaphorique, audacieux: les adjectifs se bousculent sous la plume. Dans ce film, même les larmes sont belles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec ce film de guerre souterraine métaphorique jusque dans son titre – le fox-trot est une danse où l’on revient toujours au point de départ –, Samuel Maoz ausculte avec une intelligence et une maîtrise formelle incontestables les tourments d’une société israélienne qui tourne en rond.
Les Fiches du Cinéma
par N.Z.
Un film magistral qui, construit comme un triptyque, n’en finit pas de creuser le traumatisme de la Shoah et la culpabilité israélienne face à l’occupation militaire. Cette œuvre exigeante, qui explore le deuil et les non-dits délétères, a secoué la société israélienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Derrière l’humour à froid, le mélange des styles et des tonalités, le goût pour les embardées poétiques ou musicales, l’inclusion de séquences animées (autant d’éléments qui témoignent de l’influence du génial Valse avec Bachir), Samuel Maoz raconte une société malade, cernée par une violence qu’elle semble d’abord s’infliger à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
Samuel Maoz a tenté de concentrer en à peine deux heures des décennies d’interrogations sur l’identité et le devenir de l’Etat juif. Le cinéaste le fait en déployant un arsenal impressionnant (...). Cette virtuosité est souvent irritante, elle est peut-être nécessaire pour tenir en respect la force de la tragédie qui menace sans cesse d’engloutir le monde absurde dans lequel se débattent les personnages de Foxtrot.
Libération
par Jérémy Piette
Malgré un démarrage alambiqué, le film de l’Israélien Samuel Maoz, réalisateur de «Lebanon», gagne en atmosphère et en poésie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Thomas Choury
Le film bariolé et baroque laisse tomber le masque : derrière, se dissimule une démonstration de force pas si éloignée de celle de Lebanon.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Foxtrot laisse l’impression d’un film qui, à vouloir paraître stylé, démontre surtout qu’il est maniéré – avoir du style et faire des manières n’étant pas du tout la même chose.
Positif
À la manière d'un Paolo Sorrentino, inscrivant sa réflexion politique et métaphysique dans une forme virtuose, Samuel Maoz stylise ce qui ressemble à un mirage dans lequel il n'y a rien à faire que de tuer le temps qui s'étire à l'infini.
Transfuge
Tour à tour déstabilisant, hypnotique et émouvant, "Foxtrot" se donne comme une méditation ironique et désenchantée sur le destin.
L'Humanité
Dix ans après Lebanon, le cinéaste israélien revient sur la tragédie qui creuse des tombes avec un film captivant sur le fond comme sur la forme.
L'Obs
L'image, sophistiquée, ajoute à la force de ce film aussi dérangeant qu'hallucinant.
La Croix
Avec une mise en scène très travaillée (plans fixes, cadres serrés) qui privilégie l’esthétique à la démonstration, joue du mystère et de l’humour parfois aux limites du non-sens, Samuel Maoz tend un terrible miroir à son peuple.
Le Figaro
Original, intelligent, métaphorique, audacieux: les adjectifs se bousculent sous la plume. Dans ce film, même les larmes sont belles.
Le Journal du Dimanche
Avec ce film de guerre souterraine métaphorique jusque dans son titre – le fox-trot est une danse où l’on revient toujours au point de départ –, Samuel Maoz ausculte avec une intelligence et une maîtrise formelle incontestables les tourments d’une société israélienne qui tourne en rond.
Les Fiches du Cinéma
Un film magistral qui, construit comme un triptyque, n’en finit pas de creuser le traumatisme de la Shoah et la culpabilité israélienne face à l’occupation militaire. Cette œuvre exigeante, qui explore le deuil et les non-dits délétères, a secoué la société israélienne.
Première
Derrière l’humour à froid, le mélange des styles et des tonalités, le goût pour les embardées poétiques ou musicales, l’inclusion de séquences animées (autant d’éléments qui témoignent de l’influence du génial Valse avec Bachir), Samuel Maoz raconte une société malade, cernée par une violence qu’elle semble d’abord s’infliger à elle-même.
Le Monde
Samuel Maoz a tenté de concentrer en à peine deux heures des décennies d’interrogations sur l’identité et le devenir de l’Etat juif. Le cinéaste le fait en déployant un arsenal impressionnant (...). Cette virtuosité est souvent irritante, elle est peut-être nécessaire pour tenir en respect la force de la tragédie qui menace sans cesse d’engloutir le monde absurde dans lequel se débattent les personnages de Foxtrot.
Libération
Malgré un démarrage alambiqué, le film de l’Israélien Samuel Maoz, réalisateur de «Lebanon», gagne en atmosphère et en poésie.
Critikat.com
Le film bariolé et baroque laisse tomber le masque : derrière, se dissimule une démonstration de force pas si éloignée de celle de Lebanon.
Cahiers du Cinéma
Foxtrot laisse l’impression d’un film qui, à vouloir paraître stylé, démontre surtout qu’il est maniéré – avoir du style et faire des manières n’étant pas du tout la même chose.