Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Closer
par La rédaction
Des acteurs magistraux !
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène de Philippe Le Guay, discrète, circule avec grâce entre ces deux pôles, l’instabilité, l’imaginaire d’une part, le principe de réalité, la logique d’autre part. Il est l’un des rares cinéastes français à savoir faire du décor dans lequel évoluent ses personnages un environnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Quoique le scénario prenne sur la fin un audacieux raccourci, ce film inspiré de la pièce de Florian Zeller "le Père" se faufile de manière très touchante entre le drame et l'humour. Sandrine Kiberlain y est impeccable et c'est du Jean Rochefort pur jus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un sujet grave traité sur un mode pathétique et léger à la fois.
Positif
par Adrien Gombeaud
Sans doute Le Guay emmêle-t-il un peu trop son scénario dans des sous-intrigues complexes (...) Mais il parvient à ciseler à l'écran le passage du temps, ce sentiment terrible d'inexorable délitement... et la force d'un amour qui malgré tout survit.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Difficile d'évoquer la maladie d'Alzheimer sans verser dans le pesant. C'est pourtant ce que réussit Philippe Le Guay. Grâce au formidable Jean Rochefort, l'émotion est double puisqu'il est impossible de ne pas faire le lien avec ses possibles adieux au cinéma.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une comédie douce-amère magnifiquement servie par Jean-Rochefort et Sandrine Kiberlain.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Philippe Le Guay ("Les Femmes du 6e étage", "Alceste à bicyclette") a tiré une comédie qu’il a eu le tort d’augmenter de scènes appuyées et de flash-back inutiles, mais dont il a eu bien raison de confier le rôle principal à Jean Rochefort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’adaptation un peu convenue du “Père” de Florian Zeller, dans la lumière du lac d’Annecy, avec un Jean Rochefort qui reprend avec brio le rôle tenu au théâtre par Robert Hirsch.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Face à Sandrine Kiberlain, impeccable en fille courage rudoyée en permanence, l’immense Jean Rochefort joue les funambules inspirés entre fantaisie malicieuse et cruauté mal embouchée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Voici
par La rédaction
Une adaptation sympathique d'une pièce de Florian Zeller, qui joue sur la complicité du duo Rochefort / Kiberlain.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) Floride est une thérapie touchante pour nous accompagner dans nos angoisses contemporaines (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Les séquences s’enchaînent, les péripéties s’accumulent, mais rien à faire, le dispositif ne prend pas et ne parvient pas à faire oublier les faiblesses de l’ensemble (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Christophe Narbonne
La mise en scène pantouflarde se trouvant comme à l’étroit entre les quatre décors sans âme du film. (...) Le film s’aventure sur le terrain sensible de la maladie dégénérative avec un minimum d’effets larmoyants qui auraient été critiquables si la qualité du texte et du numéro de Rochefort n’emportaient finalement l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Franchement, on est gêné. On aurait préféré retrouver Jean Rochefort, toujours bon pied, bon oeil, ailleurs que dans cette adaptation (pas terrible) de la pièce de Florian Zeller. (...) Sandrine Kiberlain, toute en émotion contenue, tente de faire contrepoint. En vain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Il n'y a finalement aucun enjeu dramatique, aucun personnage intéressant, aucune scène passionnante, et les deux comédiens donnent l'impression de s'en être aperçus. Décevant, oui. Raté, surtout.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Philippe Le Guay imagine Jean Rochefort en misanthrope souffrant d'Alzheimer qui prend les airs. Comédie ? Drame ? Le mélange de ton ne prend pas. Dommage.
Closer
Des acteurs magistraux !
Le Monde
La mise en scène de Philippe Le Guay, discrète, circule avec grâce entre ces deux pôles, l’instabilité, l’imaginaire d’une part, le principe de réalité, la logique d’autre part. Il est l’un des rares cinéastes français à savoir faire du décor dans lequel évoluent ses personnages un environnement.
Le Parisien
Quoique le scénario prenne sur la fin un audacieux raccourci, ce film inspiré de la pièce de Florian Zeller "le Père" se faufile de manière très touchante entre le drame et l'humour. Sandrine Kiberlain y est impeccable et c'est du Jean Rochefort pur jus.
Ouest France
Un sujet grave traité sur un mode pathétique et léger à la fois.
Positif
Sans doute Le Guay emmêle-t-il un peu trop son scénario dans des sous-intrigues complexes (...) Mais il parvient à ciseler à l'écran le passage du temps, ce sentiment terrible d'inexorable délitement... et la force d'un amour qui malgré tout survit.
Télé 7 Jours
Difficile d'évoquer la maladie d'Alzheimer sans verser dans le pesant. C'est pourtant ce que réussit Philippe Le Guay. Grâce au formidable Jean Rochefort, l'émotion est double puisqu'il est impossible de ne pas faire le lien avec ses possibles adieux au cinéma.
Femme Actuelle
Une comédie douce-amère magnifiquement servie par Jean-Rochefort et Sandrine Kiberlain.
L'Obs
Philippe Le Guay ("Les Femmes du 6e étage", "Alceste à bicyclette") a tiré une comédie qu’il a eu le tort d’augmenter de scènes appuyées et de flash-back inutiles, mais dont il a eu bien raison de confier le rôle principal à Jean Rochefort.
Le Dauphiné Libéré
L’adaptation un peu convenue du “Père” de Florian Zeller, dans la lumière du lac d’Annecy, avec un Jean Rochefort qui reprend avec brio le rôle tenu au théâtre par Robert Hirsch.
Le Journal du Dimanche
Face à Sandrine Kiberlain, impeccable en fille courage rudoyée en permanence, l’immense Jean Rochefort joue les funambules inspirés entre fantaisie malicieuse et cruauté mal embouchée.
Voici
Une adaptation sympathique d'une pièce de Florian Zeller, qui joue sur la complicité du duo Rochefort / Kiberlain.
aVoir-aLire.com
(...) Floride est une thérapie touchante pour nous accompagner dans nos angoisses contemporaines (...).
Critikat.com
Les séquences s’enchaînent, les péripéties s’accumulent, mais rien à faire, le dispositif ne prend pas et ne parvient pas à faire oublier les faiblesses de l’ensemble (...).
Première
La mise en scène pantouflarde se trouvant comme à l’étroit entre les quatre décors sans âme du film. (...) Le film s’aventure sur le terrain sensible de la maladie dégénérative avec un minimum d’effets larmoyants qui auraient été critiquables si la qualité du texte et du numéro de Rochefort n’emportaient finalement l’adhésion.
Télérama
Franchement, on est gêné. On aurait préféré retrouver Jean Rochefort, toujours bon pied, bon oeil, ailleurs que dans cette adaptation (pas terrible) de la pièce de Florian Zeller. (...) Sandrine Kiberlain, toute en émotion contenue, tente de faire contrepoint. En vain.
L'Express
Il n'y a finalement aucun enjeu dramatique, aucun personnage intéressant, aucune scène passionnante, et les deux comédiens donnent l'impression de s'en être aperçus. Décevant, oui. Raté, surtout.
Studio Ciné Live
Philippe Le Guay imagine Jean Rochefort en misanthrope souffrant d'Alzheimer qui prend les airs. Comédie ? Drame ? Le mélange de ton ne prend pas. Dommage.