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    Colonia
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    Ciné-13
    Ciné-13

    118 abonnés 1 070 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2020
    Le "Saint-Père" NIQVIST est tellement tordu qu'on pourrait croire à une fiction d'épouvante glauque.
    Pinochet est en toile de fond et cela suffit à suggérer l'ignominie du régime, sachant que même l'ambassadeur allemand est dans le coup. L'admission au camp est quand même un peu trop facile.
    BRUHL et WATSON sont impeccables...
    tixou0
    tixou0

    699 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juin 2016
    "Drame, historique, thriller" ?.... L'aspect fictionnel, "dramatique", est traité de manière très schématique (deux jeunes Allemands se retrouvent coincés à Santiago le 11 septembre-1973, elle hôtesse de l'air, lui photographe engagé - le "drame" étant celui de leur séparation brutale, puis de leurs retrouvailles improbables en milieu très hostile.... et suite-s, probable-s, elle-s). La trame "historique" est esquissée, estompée et orientée (Paul Schäfer, membre des Jeunesses hitlériennes, comme tous les enfants allemands...., puis simple ambulancier, même dans la SS, pendant la guerre - et quelques autres du même tonneau - quittent la RFA d'Adenauer, compromis dans pas mal de choses louches, et trouvent un refuge bienveillant au Chili, en 1961 ; on s'étonne qu'en 3 ans de pouvoir Allende n'ait pas cherché de poux dans la tête des dirigeants de la "Colonia" ("Dignidad"), "association" pseudo-caritative (Schäfer s'était fait pasteur évangélique dans l'Allemagne post-1945, et la "Colonie" chilienne était d'abord une secte "agricole", réservoir de petits garçons dont il était consommateur effréné), dont le film indique - naïvement ? - que dès le premier jour du "coup" de Pinochet, c'est une destination sans retour pour les opposants, et autres gêneurs en tout genre....de là à imaginer que ce lieu redoutable, servait aussi aux basses oeuvres de l'époque du marxiste Allende, et pas qu'aux dictateurs, d'avant et après lui... Quant au "thriller" promis, il est assez pâlot (le dernier quart d'heure excepté).
    Côté casting enfin, seul le "méchant" (le Suédois Michael Nyqvist, alias Paul Schäffer) tient bien sa partie... dans un film réalisé platement par l'Allemand Florian Gallenberger, à 95 % en langue anglaise (bien que mettant en scène, dans un pays hispanophone, des Allemands...).
    tifdel13
    tifdel13

    87 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juillet 2016
    Dès la lecture de ce sypnosis, on comprend que Colonia est majoritairement centré sur le personnage de Lena. Emma Watson, parfaite dans le rôle, est beaucoup mise en avant. On ne va pas s’en plaindre, difficile de ne pas aimer l’ancienne interprète d’Hermione Granger. Mais peut-être aurait-il fallu alors reconsidérer le titre du film ? L’intrigue trop axée sur l’abnégation de la jeune femme et sa belle et dangereuse preuve d’amour, délaisse ce qui constitue le point le plus intéressant du film, la colonie elle-même.
    Colonia est en effet tiré d’une histoire vraie. Pour ceux qui ne connaissent pas Paul Schäfer, ce dernier était un homme de la pire.....

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    cylon86
    cylon86

    2 513 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juillet 2016
    Ce que l'on remarque dans "Colonia", au-delà de la terrifiante histoire vraie qui se cache dans le camp de la Colonia Dignidad, c'est qu'Emma Watson y trouve son premier rôle principal. Après une poignée de seconds rôles dans des films plus ou moins réussis ("Regression", My week with Marilyn" ou encore "Noé"), l'actrice se voit enfin en haut de l'affiche, jouant Lena, une hôtesse de l'air qui, par amour, se rendra elle-même à la Colinia Dignidad pour y retrouver Daniel, photographe engagé dont l'attitude ne plaît guère à Pinochet, venant de renverser le gouvernement d'Allende au Chili. Mais ce qui ne devait durer que quelques jours va s'éterniser sur plusieurs mois où elle apprendra que l'influence qu'exerce le gourou Paul Schäfer (ancien nazi) sur cette secte est impitoyable et que des gens ne cessent d'être torturés et tués dans les tunnels sous la Colonie. Alors que Florian Gallenberger tient là le sujet (méconnu) d'un grand film, il sabote le matériel qu'il a sous la main pour le concentrer sur une histoire d'amour bien trop romanesque pour être crédible, préférant se centrer sur le courage (ou la naïveté) de cette femme venue sauver l'homme qu'elle aime des griffes d'une secte travaillant en coalition avec le gouvernement. Si Emma Watson parvient à tenir le rôle quand elle ne joue pas la belle effarouchée, Daniel Brühl est trop en retrait et c'est l'excellent Michael Nyqvist qui emballe et qui surprend dans le rôle de Schäfer. Pervers manipulateur et charismatique, Schäfer se retrouve interprété dans toute son horreur par un Nyqvist en grande forme et trop rare dans de bons rôles. Si la reconstitution est de qualité, le cinéaste préfère un bon rebondissement plutôt que de nous montrer la véritable horreur et s'attarde sur son couple vedette avec trop de longueurs même s'il parvient à construire quelques scènes réussies. Mais l'ensemble est trop inégal et surtout bien trop scolaire pour vraiment séduire...
    Nico F
    Nico F

    208 abonnés 706 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 novembre 2016
    Une découverte.... passé côté .. film terrible de vérité ... interprétation parfaite... film immanquable
    circusstar
    circusstar

    136 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2016
    Un film vraiment très intéressant. Une histoire très originale que l'on suit avec passion. C'est cependant moins l'histoire d'amour qui m'a intéressée mais plus l'histoire de ce gourou pervers, ultra violent et pédophile qui n'a que survolée, c'est dommage. Sinon un bon film à voir.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2017
    Florian Gallenberger a réussi la prouesse de nous initier à une page d'Histoire tout en nous donnant le sentiment d'avoir assisté à un divertissement.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    "Colonia", un film surprenant, de bons acteurs mais une mise en scène et une narration trop académiques pour nous éviter de grincer des dents à de nombreuses reprises.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    38 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Un film choc inspiré de faits réels. C'est très réaliste, malsain et tout le long du film règne une ambiance inquiétante, j'ai été tenu en haleine du début à la fin.
    Raphaël O
    Raphaël O

    146 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2016
    Ce drame historique inspiré de faits réels sur la secte de Colonia Dignidad au Chili est passionnant, fidèlement reconstitué et maintient en haleine jusqu'au bout en prenant la forme du thriller, et est servi par une excellente distribution. Un film à voir !
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    62 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    « Colonia », le dernier thriller historique de Florian Gallenberger marquera à coup sûr tous ses spectateurs. Par son sujet, méconnu et ô combien choquant, mais aussi par la maîtrise dont fait preuve toute l’équipe du film. Haletant, stressant, étonnant, le long-métrage de l’Allemand ne laissera pas indifférent.
    Distribué en France en juillet dernier, « Colonia » n’avait malheureusement pas trouvé sa place dans nos programmations belges. A regret car le film de Gallenberger vaut véritablement la peine d’être vu, notamment pour son casting d’exception mené de main de maître par un Daniel Brühl au sommet de son art.
    L’acteur allemand est un des acteurs contemporains sur lesquels les réalisateurs peuvent s’appuyer en toute confiance. Jamais à côté de son rôle, le comédien excelle quelques soient les difficultés rencontrées. Qu’il incarne un coureur de F1 blessé (Niki Lauda dans « Rush »), un adulescent prévenant à l’égard d’une mère déstabilisée (« Goodbye Lenin ! »), un soldat de Tarantino (« Inglourious Basterds ») ou un avocat investi (« La femme au tableau »), Daniel Brühl n’a jamais déçu, que du contraire ! Il a cette capacité de muer et d’entrer dans la peau de ses personnages avec conviction. Ici encore, il incarne Daniel, un résistant contre le régime de Pinochet, défenseur de la politique d’Allende, en proie de terribles représailles. Son personnage, qui « mute » lui-même dans le fil de l’histoire, laisse la possibilité au comédien de montrer un peu plus l’étendue de son extraordinaire talent.
    Pour lui donner la réplique, Emma Watson. Cantonnée dans son rôle d’Hermione Granger depuis des années, la jeune anglaise sait pourtant tenir des rôles plus denses, la preuve ici encore. Dans « Colonia », la comédienne incarne Lena, une jeune hôtesse de l’air amoureuse de Daniel. Lorsque celui-ci se fait embarquer par les milices de Pinochet, elle n’a qu’une obsession : le retrouver. D’une bravoure admirable, elle entrera dans la secte « Colonia Dignidad » au péril de sa propre vie. Avec ce personnage, elle prouve une fois encore sa capacité d’interpréter des rôles compliqués, nécessitant de marquer son âme pour que cela transparaisse à l’écran. Déjà pleine de promesses dans son rôle d’Angela (abusée sexuellement par son père dans « Regression » d’Amenabar), elle poursuit sur la voie des rôles dramatiques qui la révèlent véritablement.
    Enfin, il y a le glaçant Michael Nyqvist. Le Suédois, connu notamment pour son rôle de Mikael Blomkvist dans la trilogie « Millenium », à la gueule du méchant. Et ça tombe plutôt bien car ici, le comédien incarne le Mal personnifié : Pius. Ce « prédicateur », Paul Schäfer, a véritablement existé, de même que sa condamnable colonie. Durant près de 40 ans, ce lieu bénéficia de la protection du dictateur Pinochet, et servait, entre autres choses, de lieu d'emprisonnement et de torture d'opposants politiques. Incroyablement terrifiant dans son rôle de Pius (surnom de Schäfer), Michael Nyqvist impressionne par son charisme et son jeu plus vrai que nature.
    Si le casting du film est un véritable point fort, il n’est pas le seul. Le scénario de Florian Gallenberger et Torsten Wenzel est bien pensé, l’ambiance angoissante incroyablement plantée (on s’y croit vraiment), le rythme parfaitement étudié au point de ne jamais lâcher notre attention. Et que dire de la réalisation ? Basé sur des faits réels, « Colonia » est un tout grand film, qui instruit (et met en lumière un pan de l’histoire chilienne relativement peu connue) et qui bouleverse. Où sont les limites de la perversité humaine ? Quels choix peut-on faire par amour ? La survie est-elle innée et comment peut-elle être supplantée ? Le film fait réfléchir et montre que les horreurs, qui se pratiquent dans certains coins de la planète, peuvent souvent être étouffée par le jeu des politiques, alors qu’au lieu de fermer les yeux, il serait plus judicieux de les ouvrir…et de combattre pour la juste cause et pour la liberté !
    jenny4485
    jenny4485

    13 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    Superbe! Un film poignant sur une partie sombre de l'Histoire du Chili méconnue par beaucoup (je m'inclus dedans)
    Très belle performance d'Emma Watson, crédible et incarnant son rôle à la perfection.
    A voir et partager absolument, pour que ces faits ne tombent pas dans l'oubli
    Requiemovies
    Requiemovies

    206 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2016
    Trop centré sur son aspect mélo, la dramaturgie de « Colonia » perd en route le côté historique de ce qu’aurait pu être le film à la base. Dommage, une mise en scène honorable est présente mais qui se perd entre deux sujets ; à ce petit jeu, c’est le pendant historique qui en pâti le plus pour laisser le spectateur sur un goût d’inachevé. Il y avait pourtant matière à dénoncer de manière plus subtile le gouvernement chilien de l’époque qui était au courant de ce qui se passait derrière les murs de cette colonie. Co-produit hors des terres de l’Oncle Sam, le film a pourtant le mauvais goût de certains films hollywoodien…dommage.
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2016
    Florian Gallenberger mêle la petite histoire et la grande avec « Colonia ». Le film nous raconte une page méconnue de l’histoire, celle d’une secte au fin fond du Chili que la dictature de Pinochet utilisait pour emprisonner les opposants au régime. Un camp de travail qui cachait également des locaux de torture. Pour les besoins du film, une histoire d’amour se greffe à cette immersion, une jeune fille s’y enrôlant volontairement pour sauver l’homme qu’elle aime, emprisonné pour son allégeance à la démocratie de Salvatore Allende.

    L’idée n’est pas mauvaise en soi, mais le long-métrage dose mal le mélange, la romance et le thriller prenant trop le pas sur les tenants et les aboutissants de cette Colonia Dignidad. On sort de la salle avec la désagréable impression d’en savoir trop peu. Le sujet s’avérait pourtant passionnant mais le scénario est trop frileux en informations (les rapports entre la secte et la dictature sont traités de manière trop générique) et le fond se révèle trop synthétique pour prétendre à devenir le film référence sur le sujet. Manque de documentation ou manque de temps, on aurait préféré que le scénario élude l’histoire de ce couple pour se focaliser sur la colonie.

    Cependant, « Colonia » est loin d’être raté et l’ensemble constitue un divertissement plaisant et loin d’être inintéressant. On regrette néanmoins une trop grosse flopée d’invraisemblances et de raccourcis de scénarios qui finissent par plomber la crédibilité du long-métrage. De plus Emma Watson ne semble pas avoir la carrure pour supporter un tel rôle, elle manque terriblement de nuances dans son jeu. Les enjeux et la tension s’en trouvent considérablement amoindris et la mise en scène anodine accentue la tiédeur d’un film que l’on aurait souhaité beaucoup plus brûlant avec un sujet comme celui-là.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 septembre 2016
    Lena (Emma Watson) est anglaise et hôtesse de l’air ; Daniel est allemand et photographe. Ils se rencontrent au Chili, à la veille de l’assassinat de Salvador Allende et sont emportés dans le coup de filet de la junte d’Augusto Pinochet. Lena est rapidement libérée ; mais Daniel, membre des jeunesses socialistes, est transporté à Colonia Dignidad, une colonie agricole sectaire fondée par un gourou allemand pédophile qui y fait régner un ordre de fer et qui abrite une prison secrète de la junte. Pour libérer Daniel, Lena décide de s’y enrôler.

    « Basée sur des faits réels », « Colonia » utilise les recettes éculés du drame. Deux héros incarnent le Bien : beaux, jeunes, animés de valeurs humanistes et prêts à mourir l’un pour l’autre. Face à eux le Mal est incarné par Paul Schäfer (Michael Nyqvist) qui fut en effet, après sa participation à la Seconde guerre mondial dans les rangs de la SS et ses démêlés judiciaires en RFA, le fondateur de cette colonie en 1961.

    Entre le Bien et le Mal une lutte à mort s’engage. Daniel est passé à la gégenne, Léna à tabac. Le statut de stars des deux protagonistes nuit à la crédibilité de leurs personnages : on a du mal à oublier « Harry Potter » en regardant Emma Watson et « Good Bye Lenin! » Daniel Brühl. L’histoire pourrait être bouleversante ; mais l’issue en est trop prévisible pour rendre le suspense haletant. Et si même la dernière scène nous tient en suspens, elle n’atteint pas le niveau d’intensité de l’épilogue de « Argo » qui lui ressemble beaucoup.
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