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Votre avis sur Life On The Line ?
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Réparer des lignes électriques ne fait pas rêver. Et en y réfléchissant d'un peu plus près, c'est vrai que c'est dangereux. Travail en hauteur, sous la pluie, le vent, la neige, grosses responsabilités que d'assurer la distribution du courant. Il paraît même que c'est un des métiers les plus dangereux. Devant celui de dompteur de lion. Alors bon.. Ça fait un peu penser à ces jeux vidéo allemands sur PC où on nous propose de jouer les éboueurs, les fermiers, les bûcherons, les postiers, les ambulanciers. Si ça se trouve, les Américains vont faire pareil et faire des films là-dessus. Plaisanterie mise à part, Life on the Line n'est pas une sorte de Twister ou un film catastrophe du même acabit. Il offre un petit éclairage sur ce métier dont je ne soupçonnais pas le risque. Mais en fait, il met largement l'accent sur les problèmes rencontrés par les habitants de ce petit patelin situé au fin fond des États-Unis : violences diverses, grossesse précoce, drames familiaux, adultères. C'est ça Life on the Line. Les ouvriers bossent, risquent leur peau, se font engueuler par des costards cravates assis derrière leur bureau en ville et qui ne sont jamais montés sur un poteau. Et quand ils rentrent à la maison, c'est la seconde couche. Faut gérer bobonne, les enfants, les factures à payer, les problèmes du quotidien qu'on rencontre tous. Pas très spectaculaire et un peu facile dans sa conclusion, quitte à me poiler vraiment, je préfère me repasser une nouvelle fois un Hurricane de Rob Cohen qui, au moins, lui y va franchement. J'ai apprécié de revoir John Travolta pleinement investi en "lignard"/papa poule enfin "oncle poule", bourru au grand cœur.
FaRem
Je pensais voir un film sur les lignards et leur travail perturbé à cause d'une grosse tempête, mais en fait, c'est plus ou moins un prétexte pour mettre en avant les petits problèmes des habitants de cette ville avec par exemple le gars qui sort de prison et qui devient insistant avec une fille, le gars qui a du mal à retrouver une vie normale après son retour d’Afghanistan ou encore une histoire d'amour compliquée. La construction est très redondante, on voit toujours la même chose, un instant de vie en rapport avec ce que j'ai dit avant puis une scène dans le restaurant ou le bar puis une scène où les employés bossent. Toutes les histoires ont une importance pour la suite et le final, mais je trouve que ça se disperse trop. Il y avait surement mieux à faire pour mettre en avant ces hommes surtout que c'est censé être un film qui leur rend hommage. Le film n'est pas terrible, j'ai trouvé les situations très clichées et les dialogues souvent niais, c'est décevant surtout que le casting est tout à fait correct si on s'arrête aux noms.
Raphaël O
Inspiré d'une histoire vraie, ce drame sur le thème inédit des lignards est intéressant et les acteurs convaincants. Dommage que les intrigues secondaires soient sous-développées et que la fin soit si prévisible. À voir tout de même pour la noble cause que ce film défend.
Sans être totalement désagréable, "Life on the Line" s'avère quand même une belle déception. L'histoire à la base donne plutôt envie, mais le déroulement du récit n'est pas franchement très palpitante. La mise en scène de David Hackl est assez sommaire, bien que certaines séquences soient bien filmées, et le casting est inégal. John Travolta s'avère assez moyen, Sharon Stone possède un personnage beaucoup trop secondaire, mais par contre Kate Bosworth est une très belle satisfaction. Bref, une oeuvre somme toute moyenne et qui ne marquera malheureusement pas les esprits.
Dik ap Prale
Après Into The Grizzly Maze, Life On The Line exploite toujours autant les décors exterieurs avec un sujet moins surnaturel. La vie sur le fil de quelques lignards, hommage fictionnel au travail en hauteur sous hautes tensions, avec un Travolta très disponible pour en découdre avec certains truands; Quelques histoires de fesses et d'adultère qui laisse s'éparpiller cette fiction. En somme, rien de bien faulichon.
Un film entièrement consacré aux techniciens en lignes haute tension, appelés aussi lignards, et leur rendant hommage, le scenario et le suspens sont eux très classiques dans le style action-catastrophe. Travolta dont on se demande un peu ce qu'il fait là, garde un faciès grave et légèrement contrit, comme un chef d'Etat à une cérémonie d'hommage, car l'avenir de l'Etat repose sur ses épaules. Lui et son équipe vont donc braver les éléments et les fils électriques pour sauver des vies au cours d'une tempête. Sans oublier l'histoire secondaire avec les petites familles modèles et leurs problèmes.
Petite decouverte et surprise dramatique. Beau jeu des acteurs, et revelation d'un métier inconnu pour moi et mortel: lignard. Un peu comme les mineurs de charbon lors de la revolution industrielle.... Voilà, une sorte de Germinal, sans revendication. Film inspiré de faits réels...
Franchement ça tient la route.
Les acteurs sont tous très bons,
la réalisation est très correcte, ça ne fait pas trop téléfilm.
Alors oui, il y a un côté "présentation-démo-du métier",
mais ça ne gêne en rien à l'histoire...
Et cette succession de scènes des différents protagonistes,
s’enchaîne très fluidement.
Oui, pour moi c'est très correct.
Les acteurs sont tous très bons,
la réalisation est très correcte, ça ne fait pas trop téléfilm.
Alors oui, il y a un côté "présentation-démo-du métier",
mais ça ne gêne en rien à l'histoire...
Et cette succession de scènes des différents protagonistes,
s’enchaîne très fluidement.
Oui, pour moi c'est très correct.
Bon, on est plus proche d'un téléfilm qu'un film, pauvre John Travolta et Sharon Stone, le film est assez mou et un poil culcul.
On aime ou pas, à chacun sa critique. Personnellement j'ai trouvé ce film superbe. Certains le critique par rapport aux dialogues, à l'histoire en elle-même, peut être que d'autres n'apprécient pas John Travolta.
Alors un minimum de respect pour tous ces hommes et femmes qui chaque jour risquent leurs vies pour que vous puissiez avoir de l'électricité pour votre tv, pour internet, recharger vos portables, qui sauvent des vies également, et ce quelles que soient les conditions météorologiques. Ils interviennent à plusieurs dizaines de mètres de hauteur, à l’aide d’une nacelle, suspendu à un hélicoptère ou à même le pylône. Je leur dis merci pour leur courage, les risques qu'ils prennent et d'être présent à tout moment.
Alors un minimum de respect pour tous ces hommes et femmes qui chaque jour risquent leurs vies pour que vous puissiez avoir de l'électricité pour votre tv, pour internet, recharger vos portables, qui sauvent des vies également, et ce quelles que soient les conditions météorologiques. Ils interviennent à plusieurs dizaines de mètres de hauteur, à l’aide d’une nacelle, suspendu à un hélicoptère ou à même le pylône. Je leur dis merci pour leur courage, les risques qu'ils prennent et d'être présent à tout moment.
Alors Life on the Line est un film moyen qui devait faire la lumière sur le travail des lignards US. Le scénario est minimaliste, l’intrigue familiale est bateau et le développement de l’histoire dans la tempête claque comme un soufflet raté. Aucun éclairs du réalisateur pour apporter un peu de suspense, le rythme est lent et linéaire. La BO est correcte et john Travolta tient une bonne prestation malgré la pauvreté des personnages. Ce qu’il faut retenir uniquement, c’est que ce film rend hommage aux lignards qui ont perdu la vie dans l’exercice de leurs fonctions.
Ce film m'a tellement captivée que je n'avais même pas remaqué qu'il y avait Sharon Stone dedans... Vous imaginez donc le degré d'intéret qu'il a suscité chez moi... Trève de plaisanterie. Il ya beaucoup d'effort de cadrage mais le reste ne suit pas et même si l'image est parfois chiadée, elle ne comble pas le vide sidéral du scenario qui au lieu de se concentrer sur ce sur métier s'en sert juste en arrière-plan... au point d'en perdre pied. A la fin, je me suis dit, ah c'est déjà fini ? Je m'attendais à autre chose, une action plus serrée, plus tendue, mais toute la partie "excitante" semble se dérouler (enfin être baclée) en 10 min après une heure d'ennui... Dommage...
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