La Dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil : Critique presse
La Dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil
Note moyenne
2,6
18 titres de presse
L'Express
Le Dauphiné Libéré
Le Parisien
Première
Les Fiches du Cinéma
Télérama
Voici
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
L'Express
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Ouest France
Sud Ouest
L'Obs
Positif
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Express
par Thierry Chèze
POUR : Joann Sfar livre sa version de ce thriller à partir d'un scénario fourni clefs en main. Et se réapproprie ce film de commande en beauté. Il impose une véritable ligne graphique dans sa mise en scène et truffe son récit de clins d'oeil à ce cinéma des années 1970 qu'il adore.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le roman de Sébastien Japrisot, déjà porté à l’écran en 1970 par Anatole Litvak, est revisité par Joann Sfar, qui y ajoute sa vision noire et esthétisante, penchant du côté de chez Lynch.
Le Parisien
par Hubert Lizé
On a rarement vu plus sensuel que ce polar qui restitue impeccablement la France profonde des années Pompidou. (...) Et les acteurs se fondent à merveille dans cet environnement kitsch et coloré.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Gael Golhen
Incroyablement shooté, incroyablement joué, tout cela montre l'étendue du talent de Sfar, poète inspiré bien décidé à ne suivre aucune règle narrative.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Cette adaptation joliment seventies, portée par une jeune actrice pleine de charme et de fantaisie qui descend vers le Sud comme on descend en enfer, est de celles qui font honneur au texte initial et à son intention.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Pierre Murrat
En révéler trop, c'est tuer le suspense. Ne pas en dire assez, c'est risquer l'hermétisme, et donc le rejet. Anatole Liviak, en fin de carrière, n'atteignait que partiellement cet équilibre délicat. Joann Sfar, en pleine gloire, y parvient nettement plus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Jérôme Saunier
On ne sait pas trop où va cette dame, mais elle y va avec classe.
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Modelé avec un grand souci de style, "La Dame dans l’auto avec des lunettes et un fusil" version 2015 s’affiche comme un thriller routier racé, très agréable à contempler.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Un ludisme trop démonstratif pour captiver ou simplement distraire.
L'Express
par Thierry Chèze
CONTRE : Sfar donne l'impression de se noyer lui-même dans cet océan de faux-semblants. Comme, si n'étant pas l'auteur de ce qu'il filme, il en rajoutait sous la forme, au risque d'un certain maniérisme. Et cette balade, non sans charme, finit par tourner un peu en rond.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dommage que l’intrigue, dont l’étrangeté fascine d’abord, ne tienne pas ses promesses jusqu’au bout.
Le Monde
par Franck Nouchi
Après Anatole Litvak en 1970, Joann Sfar lui aussi a voulu adapter le fameux roman de Sébastien Japrisot. Le résultat tient plutôt de l’exercice de style que du thriller. La formidable trame du livre (…) a tendance à disparaître au profit de clichés pas tous, tant s’en faut, réussis.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"La Dame dans l'auto" étouffe sous cette volonté permanente d'installer des ambiances, d'épouser les codes de la représentation d'une époque selon une méthode de travail où Sfar est moins le réalisateur de son film que son directeur artistique, son designer.
Libération
par Clément Ghys
Avec ses effets de cadre, "La Dame dans l’auto…" a quelque chose d’une boule à facettes salie, la luminosité grise accompagnant la paranoïa de l’héroïne. Mais la crasse qui est censée couvrir ses miroirs est trop factice. Les aspérités paraissent programmées, l’aspect décoratif est trop mis en avant, et le film, conte cruel et obsessionnel, s’en retrouve presque coupé dans son envol prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Joann Sfar adapte un roman de Sébastien Japrisot, avec Freya Mavor, l'héroïne de la série britannique Skins, en tête de générique. Une prestation sensuelle et maligne, mais dans un récit qui ne demandait pas à être aussi tordu.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le jeu du « split screen », la répétition d'images subliminales sous forme de fantasmes ou de « flashes forward », la partition musicale et le travail sur les années 1970 qui tourne à une obsession de coloriste font du film une œuvre extraordinairement élaborée. Mais la belle mécanique finit par tourner à vide.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Tout cela est bien joli et bien sympathique, mais enfin, que le réalisateur apprécie son interprète à ce point ne constitue pas un motif d’intérêt suffisant pour le spectateur, lequel peut seulement souhaiter à Joann Sfar que sa passion soit partagée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Express
POUR : Joann Sfar livre sa version de ce thriller à partir d'un scénario fourni clefs en main. Et se réapproprie ce film de commande en beauté. Il impose une véritable ligne graphique dans sa mise en scène et truffe son récit de clins d'oeil à ce cinéma des années 1970 qu'il adore.
Le Dauphiné Libéré
Le roman de Sébastien Japrisot, déjà porté à l’écran en 1970 par Anatole Litvak, est revisité par Joann Sfar, qui y ajoute sa vision noire et esthétisante, penchant du côté de chez Lynch.
Le Parisien
On a rarement vu plus sensuel que ce polar qui restitue impeccablement la France profonde des années Pompidou. (...) Et les acteurs se fondent à merveille dans cet environnement kitsch et coloré.
Première
Incroyablement shooté, incroyablement joué, tout cela montre l'étendue du talent de Sfar, poète inspiré bien décidé à ne suivre aucune règle narrative.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation joliment seventies, portée par une jeune actrice pleine de charme et de fantaisie qui descend vers le Sud comme on descend en enfer, est de celles qui font honneur au texte initial et à son intention.
Télérama
En révéler trop, c'est tuer le suspense. Ne pas en dire assez, c'est risquer l'hermétisme, et donc le rejet. Anatole Liviak, en fin de carrière, n'atteignait que partiellement cet équilibre délicat. Joann Sfar, en pleine gloire, y parvient nettement plus.
Voici
On ne sait pas trop où va cette dame, mais elle y va avec classe.
aVoir-aLire.com
Modelé avec un grand souci de style, "La Dame dans l’auto avec des lunettes et un fusil" version 2015 s’affiche comme un thriller routier racé, très agréable à contempler.
Cahiers du Cinéma
Un ludisme trop démonstratif pour captiver ou simplement distraire.
L'Express
CONTRE : Sfar donne l'impression de se noyer lui-même dans cet océan de faux-semblants. Comme, si n'étant pas l'auteur de ce qu'il filme, il en rajoutait sous la forme, au risque d'un certain maniérisme. Et cette balade, non sans charme, finit par tourner un peu en rond.
Le Journal du Dimanche
Dommage que l’intrigue, dont l’étrangeté fascine d’abord, ne tienne pas ses promesses jusqu’au bout.
Le Monde
Après Anatole Litvak en 1970, Joann Sfar lui aussi a voulu adapter le fameux roman de Sébastien Japrisot. Le résultat tient plutôt de l’exercice de style que du thriller. La formidable trame du livre (…) a tendance à disparaître au profit de clichés pas tous, tant s’en faut, réussis.
Les Inrockuptibles
"La Dame dans l'auto" étouffe sous cette volonté permanente d'installer des ambiances, d'épouser les codes de la représentation d'une époque selon une méthode de travail où Sfar est moins le réalisateur de son film que son directeur artistique, son designer.
Libération
Avec ses effets de cadre, "La Dame dans l’auto…" a quelque chose d’une boule à facettes salie, la luminosité grise accompagnant la paranoïa de l’héroïne. Mais la crasse qui est censée couvrir ses miroirs est trop factice. Les aspérités paraissent programmées, l’aspect décoratif est trop mis en avant, et le film, conte cruel et obsessionnel, s’en retrouve presque coupé dans son envol prometteur.
Ouest France
Joann Sfar adapte un roman de Sébastien Japrisot, avec Freya Mavor, l'héroïne de la série britannique Skins, en tête de générique. Une prestation sensuelle et maligne, mais dans un récit qui ne demandait pas à être aussi tordu.
Sud Ouest
Le jeu du « split screen », la répétition d'images subliminales sous forme de fantasmes ou de « flashes forward », la partition musicale et le travail sur les années 1970 qui tourne à une obsession de coloriste font du film une œuvre extraordinairement élaborée. Mais la belle mécanique finit par tourner à vide.
L'Obs
Tout cela est bien joli et bien sympathique, mais enfin, que le réalisateur apprécie son interprète à ce point ne constitue pas un motif d’intérêt suffisant pour le spectateur, lequel peut seulement souhaiter à Joann Sfar que sa passion soit partagée.
Positif
N'est pas David Lynch qui veut.