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27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si le film a reçu une interdiction aux moins de 16 ans en raison de ses scènes de sexe non simulées, il s’agit avant tout d’une merveilleuse histoire d’amour, celle d’un jeune couple qui s’adore et se désire avant de se déchirer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Paris Match
par Karelle Fitoussi
POUR : (...) "Love" (...) n'est pas un manifeste transgressif pour le plaisir mais bien un grand mélo mélancolique sur la dissolution d'une passion et son deuil impossible. Une déambulation psychique dans les méandres d'un amour perdu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Si le sexe en est bien une composante essentielle, "Love" est plus proche de "Nymphomaniac" de Lars Von Trier que de Marc Dorcel. Peu importe que certaines scènes aient été simulées et d'autres non. Ce qui compte, c'est que ces séquences sont magnifiquement filmées, le plus souvent en plan général.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
L'utilisation de la 3D, transformée en argument platement promotionnel d'un porno immersif, n'est jamais aussi belle que lorsque Noé se contente de caresser ses personnages (...) comme si le relief créait autour d'eux un cocon indéfinissable que l'extérieur menaçait à tout moment de briser.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Ni provoc', ni trash, "Love" est une puissante expérience de mélancolie ultime.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Repoussant aussi pesamment que d’habitude les formes du cinéma mental, Gaspar Noé ne réussit rien aussi bien que l’incarnation sensorielle de la passion charnelle et surtout de son manque. On regrette que ce film, habité, audacieux et puissamment composé jusque dans ses défauts, se laisse contaminer par un élan métaphysique trop replié sur soi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Choc mais pas toc, "Love" tient sa promesse de mélodrame sexuel. Le goût de Gaspar Noé pour la provocation ne doit pas cacher son talent".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Sandra Benedetti
POUR : Noé démontre une fois encore qu'il est, sans conteste, un metteur en scène brillant à l'univers violemment intimiste.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Hubert Lizé
On peut être surpris, voire choqué par certaines images, mais il se dégage de cette tranche d'existence intimiste davantage de mélancolie que d'extase sulfureuse. Et certaines séquences magnifiquement filmées -- par exemple le long travelling dans le parc des Buttes-Chaumont -- sont d'une renversante poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
“Love” est un film sincère et déroutant, tour à tour maladroit et extrêmement beau, mais qui témoigne d'un amour romantique de Gaspar Noé pour la vie et le cinéma.
Libération
par Didier Péron
Loin de la polémique sur son éventuelle interdiction au moins de 18 ans, le nouveau film de l’éternel enfant terrible Gaspar Noé impose son romantisme charnel gonflé à la 3D.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
C'était le film sulfureux présenté comme tel au festival de Cannes, avec des scènes de sexe non simulées, par des acteurs non professionnels. Mais il y a bien plus que ça dans cette chronique de Gaspar Noé.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
POUR : C'est d'une simplicité et d'une beauté désarmantes.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Présenté comme un scandale sexuel, "Love" tient plus du dédale mental, racontant à rebours une histoire d'amour, de la flamme à la fumée. Faux porno, vrai mélo où "tout est bon qui est excessif".
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Gala
par La Rédaction
Noé, très applaudi à l’issue de la projection, n’aura fait, n’en déplaise à son navrant teaser, ni “bander les mecs”, ni “pleurer les filles”, mais offert un captivant – quoique très masculin – moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Electra a disparu et son mari, Murphy, se souvient de leur histoire d’amour faite de toutes les expériences et de tous les excès possibles. Le tout en direct live devant la caméra, avec sexe grand écran, ce qui a émoustillé le Festival de Cannes, où le film a été projeté en séance de minuit. Quand les enfants sont couchés…
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Certes, les dialogues sont parfois naïfs et on note des longueurs, mais la force de ce drame érotique réside dans sa manière de s’inviter dans une intimité pour y saisir une vérité nue.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Noé subvertit les traditionnels fantasmes masculins et les démonte un à un.
Première
par Stephanie Lamome
Seulement, comment réaliser un grand film sentimental porno ? Le sperme est-il soluble dans l’eau de rose ? Oui, même si ça peut faire des grumeaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Gaspar Noé a visiblement du talent mais ne peut s'empêcher de se saborder par infantilisme. Alors que la force de Love tient à l'émergence d'une conscience de maturité
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Guillaume Louradour
"Love" n’est finalement pas le choc espéré, la sensation de déjà-vu du script et sa surenchère maladive éclipsent parfois une mise en scène toujours aussi éclairée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Love" s'applique à montrer, en plongée souvent, les ébats de jeunes gens servis par des interprètes qui ne paraissent pas même chercher à se rendre attachants, ni même intéressants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
La désinvolture à l’œuvre dans le traitement des personnages, l’ineptie des dialogues, la bouillie psychanalytico-morale qu’ils distillent (…) n’aident pas à se passionner pour l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
CONTRE : Tant de bavardages pour si peu d’émotions. Tant d’éjaculations pour si peu d’orgasmes. Pas moyen d’éprouver la moindre empathie pour ces personnages empotés. Esthétiquement, rien à reprocher à ce film interminable, mais émotionnellement et intellectuellement, c’est la frigidité totale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
L’absence globale de trouble permet néanmoins de mettre en lumière une composante non négligeable de l’érotisme : si celui-ci n’affleure pas, c’est parce qu’aucune intelligence ne surgit pour le porter.
L'Express
par Sandra Benedetti
CONTRE : Gaspar Noé perd en sensualité ce qu'il gagne en soufre. Etait-ce bien nécessaire ?
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
CONTRE : Car si c'est un porno, j'en ai rarement vu un aussi triste, figé, peu érotique et nullement encourageant à passer à l'acte.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
Si le film a reçu une interdiction aux moins de 16 ans en raison de ses scènes de sexe non simulées, il s’agit avant tout d’une merveilleuse histoire d’amour, celle d’un jeune couple qui s’adore et se désire avant de se déchirer.
Paris Match
POUR : (...) "Love" (...) n'est pas un manifeste transgressif pour le plaisir mais bien un grand mélo mélancolique sur la dissolution d'une passion et son deuil impossible. Une déambulation psychique dans les méandres d'un amour perdu.
Positif
Si le sexe en est bien une composante essentielle, "Love" est plus proche de "Nymphomaniac" de Lars Von Trier que de Marc Dorcel. Peu importe que certaines scènes aient été simulées et d'autres non. Ce qui compte, c'est que ces séquences sont magnifiquement filmées, le plus souvent en plan général.
Charlie Hebdo
L'utilisation de la 3D, transformée en argument platement promotionnel d'un porno immersif, n'est jamais aussi belle que lorsque Noé se contente de caresser ses personnages (...) comme si le relief créait autour d'eux un cocon indéfinissable que l'extérieur menaçait à tout moment de briser.
CinemaTeaser
Ni provoc', ni trash, "Love" est une puissante expérience de mélancolie ultime.
Critikat.com
Repoussant aussi pesamment que d’habitude les formes du cinéma mental, Gaspar Noé ne réussit rien aussi bien que l’incarnation sensorielle de la passion charnelle et surtout de son manque. On regrette que ce film, habité, audacieux et puissamment composé jusque dans ses défauts, se laisse contaminer par un élan métaphysique trop replié sur soi.
Franceinfo Culture
Choc mais pas toc, "Love" tient sa promesse de mélodrame sexuel. Le goût de Gaspar Noé pour la provocation ne doit pas cacher son talent".
L'Express
POUR : Noé démontre une fois encore qu'il est, sans conteste, un metteur en scène brillant à l'univers violemment intimiste.
Le Parisien
On peut être surpris, voire choqué par certaines images, mais il se dégage de cette tranche d'existence intimiste davantage de mélancolie que d'extase sulfureuse. Et certaines séquences magnifiquement filmées -- par exemple le long travelling dans le parc des Buttes-Chaumont -- sont d'une renversante poésie.
Les Fiches du Cinéma
“Love” est un film sincère et déroutant, tour à tour maladroit et extrêmement beau, mais qui témoigne d'un amour romantique de Gaspar Noé pour la vie et le cinéma.
Libération
Loin de la polémique sur son éventuelle interdiction au moins de 18 ans, le nouveau film de l’éternel enfant terrible Gaspar Noé impose son romantisme charnel gonflé à la 3D.
Ouest France
C'était le film sulfureux présenté comme tel au festival de Cannes, avec des scènes de sexe non simulées, par des acteurs non professionnels. Mais il y a bien plus que ça dans cette chronique de Gaspar Noé.
Studio Ciné Live
POUR : C'est d'une simplicité et d'une beauté désarmantes.
TF1 News
Présenté comme un scandale sexuel, "Love" tient plus du dédale mental, racontant à rebours une histoire d'amour, de la flamme à la fumée. Faux porno, vrai mélo où "tout est bon qui est excessif".
Gala
Noé, très applaudi à l’issue de la projection, n’aura fait, n’en déplaise à son navrant teaser, ni “bander les mecs”, ni “pleurer les filles”, mais offert un captivant – quoique très masculin – moment de cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Electra a disparu et son mari, Murphy, se souvient de leur histoire d’amour faite de toutes les expériences et de tous les excès possibles. Le tout en direct live devant la caméra, avec sexe grand écran, ce qui a émoustillé le Festival de Cannes, où le film a été projeté en séance de minuit. Quand les enfants sont couchés…
Le Journal du Dimanche
Certes, les dialogues sont parfois naïfs et on note des longueurs, mais la force de ce drame érotique réside dans sa manière de s’inviter dans une intimité pour y saisir une vérité nue.
Les Inrockuptibles
Noé subvertit les traditionnels fantasmes masculins et les démonte un à un.
Première
Seulement, comment réaliser un grand film sentimental porno ? Le sperme est-il soluble dans l’eau de rose ? Oui, même si ça peut faire des grumeaux.
Télérama
Gaspar Noé a visiblement du talent mais ne peut s'empêcher de se saborder par infantilisme. Alors que la force de Love tient à l'émergence d'une conscience de maturité
aVoir-aLire.com
"Love" n’est finalement pas le choc espéré, la sensation de déjà-vu du script et sa surenchère maladive éclipsent parfois une mise en scène toujours aussi éclairée.
L'Obs
"Love" s'applique à montrer, en plongée souvent, les ébats de jeunes gens servis par des interprètes qui ne paraissent pas même chercher à se rendre attachants, ni même intéressants.
Le Monde
La désinvolture à l’œuvre dans le traitement des personnages, l’ineptie des dialogues, la bouillie psychanalytico-morale qu’ils distillent (…) n’aident pas à se passionner pour l’intrigue.
Paris Match
CONTRE : Tant de bavardages pour si peu d’émotions. Tant d’éjaculations pour si peu d’orgasmes. Pas moyen d’éprouver la moindre empathie pour ces personnages empotés. Esthétiquement, rien à reprocher à ce film interminable, mais émotionnellement et intellectuellement, c’est la frigidité totale.
Cahiers du Cinéma
L’absence globale de trouble permet néanmoins de mettre en lumière une composante non négligeable de l’érotisme : si celui-ci n’affleure pas, c’est parce qu’aucune intelligence ne surgit pour le porter.
L'Express
CONTRE : Gaspar Noé perd en sensualité ce qu'il gagne en soufre. Etait-ce bien nécessaire ?
Studio Ciné Live
CONTRE : Car si c'est un porno, j'en ai rarement vu un aussi triste, figé, peu érotique et nullement encourageant à passer à l'acte.