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    Chris58640
    Chris58640

    221 abonnés 763 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2016
    Pour son premier long métrage, l’acteur Bouli Lanners a clairement voulu bien faire et cela se sent dans la forme de son film. J’entends par là qu’en plus d’avoir bien soigné son casting (j’y reviendrai), il a aussi soigné ses plans, son image, sa photographie. Visuellement, les paysages et les hommes qui sont filmés sont austères, brumeux, souffreteux, un peu glauques, et grâce à plein de petites choses, il parvient à créer une ambiance particulière très rapidement. Le ciel (souvent filmé) est toujours plombé, couvert et déprimant, les plans larges de la Beauce sont visuellement recherchés, avec de longs panoramiques. Mais le film a beau se dérouler dans le Loiret, on a perpétuellement une impression de « Middle West » américain grâce à plein de détails : le nom même de Cochise déjà, et puis tout le monde se déplace en pick-up dans des immenses lignes droites, il y a des salles de billard avec de la musique country, des petits hôtels un peu miteux et des entrepôts déserts. Et puis la musique du film, discrète mais agréable, fait penser à celle de « Paris Texas » ! Du coup, « Les derniers, les premiers » à un petit gout de « Red neck » (surnom peu affectueux donné aux bouseux américains qui se baladent en marcel et en pick-up) inattendu et original. Le casting est emporté au premier plan par Albert Dupontel et Bouli Lanners lui-même. Dupontel en gros dur ombrageux, un rôle qu’il connait par cœur mais dans lequel il a l’intelligence de ne pas s’enfermer, Lanners en comparse tourmenté par sa santé défaillante. Les seconds rôles, et notamment les deux paumés (handicapés mental légers, ca devient vite une évidence) incarnés par David Murgia et Aurore Broutin sont assez incroyables de force et de sensibilité. Les scènes avec eux ne mettent pas forcément très à l’aise, surtout au début car on ne comprend pas bien à qui on a à faire et quel est leur but mais l’attachement qui les lient devient vite très touchant, même si on n’est pas sur de bien les cerner ! Et puis il y a aussi Michael Lonsdale, Lionel Abelanski, Suzanne Clément, Serge Riaboukine, bref, des « gueules » comme on dit au cinéma. En réalité, si le film de Bouli Lanners a une faiblesse, et elle est de taille, c’est son scénario. Honnêtement, même en gardant l’esprit le plus ouvert possible, on ne comprend pas tout, on est parfois a deux doigts de décrocher devant certaines scènes un peu étranges, on se demande de temps en temps « Mais enfin, il veut en venir où exactement avec son film ? » et ça, ce n’est pas très bon signe. Au-delà du côté un peu « western » de son scénario (les bons, les méchants, les simples d’esprits, les règlements de comptes, les traquenards, les gros calibres) qui n’est pas innitéressant, il y a une touche religieuse (annoncée par le titre du film lui-même) un peu étrange et qui m’a laissé un peu dubitative. Tous vont croiser un personnage un peu décalé, christique, qui apporter aux deux paumés une aide inattendue et improbable et qui va, à sa manière, punir les méchants. Ce personnage appelé Jésus ( ?), stigmatisé accidentellement à la main droite, est le vrai mystère du film à mes yeux. Je sens bien que Bouli Lanners a voulu dire quelque chose, en plongeant un personnage comme celui là au milieu d’une sombre affaire de vol et de règlements de comptes, mais son propos n’est pas très lisible. C’est exactement la même chose pour l’histoire annexe de ce marginal mort depuis plusieurs années et momifié que les deux comparses trouvent par hasard dans un squat et dont le sort travaille visiblement Gilou. Ca signifie quelque chose pour son personnage (peur de la mort, de la solitude) mais là encore, c’est un peu brumeux. Et puis il y a ce cerf, qui apparait dans deux scènes un peu incongrues et qui doit surement symboliser quelque chose aussi, mais quoi ? En fait, le scénario de « Les premiers, les derniers » est à l’image de la météo du Loiret dans le film : toujours couvert, brumeux, un poil déprimant aussi. Pourtant, l’histoire d’amour entre Esther et Willy, la fin plutôt optimiste du film, l’amitié sincère entre Gilou et Cochise, la présence permanente du petit chien Gibus et même quelques touches d’humour (un peu trop rares néanmoins) auraient pu alléger le film, mais on n’a l’impression au final que rien n’y fait, l’aspect déprimant et tortueux est le plus fort, couplé à une désagréable impression de ne pas toujours tout comprendre de ce qui se passe sur l’écran. Comme moi, beaucoup auront une impression de coquille vide au sortir de la salle, l’impression d’un film étrange qui les a un peu perdus en chemin. Il est évident qu’avec un film aussi peu lisible, aussi peu accessible au grand public, Bouli Lanners ne va pas remplir les salles. Mais il aura livré un premier film très personnel et très appliqué, ce qui laisse espérer que ce premier film ne sera pas le dernier !
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    175 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2016
    Bouli Lanners ne parvient pas à retrouver le souffle d'Eldorado. Scénario et mise en scène sont ici trop appuyés. Et ce, autant en ce qui concerne le personnage de "Jésus" que les filtres colorés rappelant poussivement les films de Jean-Pierre Jeunet. Les deux jeunes gens sont pénibles et le regard porté sur eux est un peu trop misérabiliste. Seul Albert Dupontel est très bien. On oublie ce film très vite. Sans doute idéal pour passer une bonne soirée devant la télévision. Mais pas au-delà.
    Christoblog
    Christoblog

    839 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2016
    Un Mad Max façon bisounours, voilà à quoi fait penser le dernier film du bon géant Bouli Lanners.

    Le réalisateur belge aime toujours autant filmer les personnages dans les marges, en transformant les simples paysages du Bénélux en décor d'aventure.

    Ici, c'est assez réussi d'un point de vue esthétique : les images sont surprenantes et le contexte intrigant.

    Les premiers les derniers est définitivement un film de "tronches" : Bouli Lanners himself en nounours fragile, Dupontel toujours aussi magnétique, Michael Lonsdale en vieux monsieur précieux qui sait ce qu'il fait, Suzanne Clément en jolie-femme-mûre-au-gros-pull-de-laine-qui-connait-la-vie.

    D'histoire il n'est pas vraiment question. Le film suit paresseusement un téléphone portable et ses personnages dans des no man's land de western belge, ne s'attachant finalement qu'à dresser à petites touches pointillistes une chronique de gentils très gentils et de méchants pas très méchants.

    C'est parfaitement inconsistant.
    traversay1
    traversay1

    3 684 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2016
    Les habitants d'Orléans et des environs reconnaîtront sans peine les paysages de Les premiers, les derniers : ceux de Beauce, que Bouli Lanners s'ingénie à rendre encore plus sinistres qu'ils ne sont. Le constat vaut aussi pour ses habitants, vus comme bas du front et méchants comme des teignes. Ok, Bouli, ce n'est qu'un décor pour un western rural et nous sommes au cinéma, pas dans la réalité, mais quand même !. Et il est vrai que les vestiges de la construction de l'aérotrain, restés à l'abandon depuis 1977, sont un beau terrain de jeu pour illustrer un scénario qui ne fait pas dans la gaieté, c'est le moins que l'on puisse dire (pratiquement pas d'humour, c'est triste). Malgré toute la sympathie qu'inspire l'acteur/réalisateur belge, il est difficile de ne pas trouver son film lymphatique, plutôt mal fichu et se mordant constamment la queue. Certains appelleront ceci de la poésie, c'est une question de point de vue. Lanners et Dupontel semblent s'ennuyer quelque peu mais ce n'est rien à côté des faibles participations de Michael Lonsdale ou du grand Max von Sydow qui paraissent s'excuser de dire bonjour avant de s'éclipser. Etrange, tout de même, de la part de Bouli Lanners, ce peu de conviction dans un film largement en dessous de Eldorado, Ultranova ou Les géants. Autrement dit, c'est son long-métrage le plus décevant depuis qu'il est passé derrière la caméra.
    jeff21
    jeff21

    67 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2016
    Film décevant avec une confusion des genres, tantôt social, tantôt policier ou western. Manque de profondeur pour cette production où même l'excellent Albert Dupontel ne parvient pas à donner au film l'élan et la réussite espérés....
    Nicothrash
    Nicothrash

    383 abonnés 3 051 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2016
    Sans doute le film de la semaine pour lequel j'avais le plus d'attente, ma déception est donc à la hauteur de celle-ci. Le départ laissait pourtant présager un excellent moment de ciné avec notamment une photographie impeccable et déroutante à la fois, on découvre les lieux, d'une immensité froide et tristement vides ... Le vide, voilà qui va être le point central du métrage mais nullement dans son sens oppressant malheureusement, il sera par contre parfaitement représenté par une intrigue d'une pauvreté absolue et un manque criant d'enjeu. En fait on tourne simplement en rond pendant 1h30, bien entourés certes puisque Max Von Sydow et Michael Lonsdale en guests viennent compléter un casting de qualité avec tout en haut l'excellent duo Dupontel/Lanners, mais au service de rien, ou si peu ... J'avais adoré "Eldorado" du même Bouli Lanners, plein de poésie et de messages, mais ici, l'ennui s'installe rapidement dans un climat étrange au premier abord et le pseudo message d'espoir, emprunt d'un manichéisme rebutant, laisse perplexe. En outre, la mayonnaise ne prend pas en terme de décalage et l'absence de rythme se fait extrêmement lourde au fur et à mesure que passe le film. Je trouve, une fois n'est pas coutume, la sortie de Bouli Lanners quelque peu prétentieuse, notamment dans l'étalage de guests, sa mise en scène manque cruellement de souffle et l'aspect émotionnel est mis au rebut. Au final, son "Les Premiers Les Derniers" n'a tout simplement pas grand chose à raconter. Une vraie déception.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    137 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2016
    Lanners, au fil du temps comme au fil de sa filmographie, fait rejoindre des univers qu’il place tels des villages remplis de personnages, au bord d’un même court d’eau. Ce court d’eau, qu’on pourrait maintenant considérer comme un fleuve au vu de sa largeur et de sa densité, fait transparaître divers sentiments aux spectateurs qui daignent donner un peu de leur temps pour l’observer, paisiblement, sans prise de tête aucune. Et même sans aucune prise tout court. Il faut aimer ce que fait naviguer ce réalisateur sur l’écran, ses vagues à lui ne sont pas impétueuses, et ce surtout dans cette oeuvre en particulier. Il précise dans ses interviews qu’il s’inspire de certains évènements qui se sont déroulés dans sa vie, et qui l’ont marqué. C’est sûrement grâce à ça que l’atmosphère qu’il parvient à faire intégrer à ce projet est des plus délicate et particulière. Et en même temps, des plus pauvre. Revenons en arrière. 2004, année de production de son « Ultranova », et ce jusqu’à son « Les Géants » en 2011, il lui arrive en tête trois histoires bien différentes, et au final pas de beaucoup. Énormément de ressemblances résident dans la partie « long-métrage » de la filmographie de Lanners. Ces quatre derniers pourraient même fonctionner en tant que suite, vu que ce qui s’y apparente le plus sont les personnages. « Ultranova » : Dimitri (Lecuyer), la vingtaine, gars étrange plongé dans un ennui assourdissant et habitant un endroit dénaturé, qui laisse colporter des rumeurs sur son cas sans s’en soucier, jusqu’à ce qu’il rencontre deux femmes alors qu’il ne parlait à personne avant cela. « Eldorado », Yvan (Lanners), la quarantaine et colérique, est l’homme qui se prend d’affection pour un jeune voleur, à lequel il donne une seconde chance. Et puis « Les Géants », où on peut observer une adolescence consumée elle-aussi par l’ennui, à la chaleur d’un soleil d’été, sous l’orée d’une forêt léchée par son lac étincelant. Les thèmes se répètent et ce n’est pas forcément intéressant en permanence, les caractères des personnages sont, pour certains, pas assez approfondis (Suzanne Clément semble n’être présente que pour respecter la norme chiffrée féminine, et aussi pour aider un Dupontel (réellement bon, encore une fois) dans sa quête). Si on ressent la patte artistique d’un réalisateur convaincant, on regrette les failles rythmiques d’un scénario qui s’essouffle et qui nous perd sur le chemin, emporté par des idées peu perspicaces qui bafouillent sans cesse (un duo de marginaux qui ne convainc guère, la transformation d’un Philippe Rebbot en une sorte de créateur de miracles, façon Jésus, plaisante à observer mais qui ressemble plus à une facilité scénaristique qu’à un bon point savamment bien écrit), et c’est la même chose pour l’arrivée d’un sentimentalisme presque exacerbé qui nous saute dessus, d’un coup d’un seul, et qui tente de faire effet, imposant des rencontres pour toujours plus de scènes. Des scènes qui s’étirent et à lesquelles on n’aperçoit pas le final. La Lune à son sommet est filmée, en pleine nuit, les nuages la cachant à peine, comme ces herbes hautes et cette nature aucunement entretenue, sauvage et hirsute comme le sont les personnages qui font partie intégrante de cette épreuve de temps. Attention, toutes les idées ne sont pas mauvaises, bien loin de là. Les apparitions liées de Michael Lonsdale et de Max von Sydow sont enivrantes, décomplexées, et fortement amusantes, comme l’est la période d’apparition de la maladie chez le personnage interprété par Lanners, elle aussi réussie. Et pourtant il manque de cette énergie et de cette légèreté qui se dégagerait parfois, d’un coup d’un seul, et qui imposerait un nouveau tempérament à l’oeuvre en question. Ici, c’est beaucoup de répétitions dans la photographie et dans la manière de réaliser, alors on se lasse. Détail à souligner : Lanners est toujours aussi doué pour créer des personnages attachants. Et cela, ça n’a pas de prix.
    pierrre s.
    pierrre s.

    449 abonnés 3 316 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2017
    Voilà un film qui a le mérite d'être singulier et original. Le rythme y est lent (parfois trop), mais qu'importe, l'histoire se met en place et le puzzle s'assemble tranquillement.
    Raphaël O
    Raphaël O

    150 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2016
    Bouli Lanners signe un road movie post-apocalyptique humaniste et sobre, à l'atmosphère et mise en scène sombres, et servi par une distribution de qualité. A découvrir.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2016
    Très bon film de Bouli Lanners, dans la veine de ce qu'il a déjà fait. L'histoire est ici bien rythmée et les personnages pittoresques à souhait.
    mat niro
    mat niro

    364 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 février 2016
    Cochise (Albert Dupontel) et Gilou (Bouli Lanners) enquêtent sans entrain sur le vol d'un téléphone portable. Dès le début, on ressent une ambiance lunaire avec ces plaines désertiques et ces entrepôts désaffectés. On fait la connaissance d'un jeune couple de paumés à la recherche de leur enfant sur fond d'apocalypse. Personnellement, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans cette atmosphère de western Belge. Dupontel a un jeu très sobre et les personnages secondaires sont tous plus barjots les uns que les autres. Malheureusement, je suis sorti un peu déçu de la projection car même si on finit par se laisser porter par le film, j'attendais mieux que cette impression de vide constant laissé par l'excellent Bouli Lanners.
    Catherine L.
    Catherine L.

    1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2016
    Film très original. Les personnages sont touchants, le paysage particulièrement glauque. Des moments de poésie dans un monde de brutes.
    Emma Schell
    Emma Schell

    9 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2016
    A l’invitation d’une amie, je suis allée voir ce film sans trop savoir à quoi m’attendre ; le titre évoquant au mieux, l’évangile selon Matthieu, au pire la chanson de Céline Dion et Goldman «Les derniers seront les premiers».
    Le ton est donné dès les premières images, le film sera sombre (et accessoirement venté). Nous flânerons dans la (très plate) campagne de Beauce, crapahuterons le long des voies (abandonnées) de l’aérotrain, squatterons une usine désaffectée et trinquerons dans un sinistre bar (qui ne doit pas avoir beaucoup d’avis favorable sur TripAdvisor)… Heureusement, les vestes fluo de la DDE portées par Esther et Willy viendront mettre un peu de couleur dans ce film !
    De la mise en scène à la photographie, en passant par l’écriture des dialogues, tout est parfait, soigné, appliqué. Seul bémol, et pas des moindres, où notre chemin (de croix ?) nous mènera-t-il ?
    A la rencontre de Jésus ? (mais oui, mais oui)
    A la rencontre de méchants bougres ? (qui ne sont pas très gentils avec Esther et Willy)
    A la rédemption des chasseurs de prime ? (Sacré acteur le Albert Dupontel)
    Mystère et Boule de gomme ! Je n’ai pas eu la réponse…
    J’ai regardé le film, sans ennui, mais n’ai pas compris le propos du réalisateur.
    L’’incompréhension était telle que ma partenaire cinématographique d’un soir m’a dit à propos de mon prochain billet « t’es bien dans la mouise ! ;-) »
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 mars 2016
    Complètement barré...marche à quoi là dedans ??? On n'arrive même pas à situer ce monde ..on a l'impression qu'il n'y a plus de lois ni de population d'ailleurs ...Pays vidé et triste ... a voir pour l'audace !!
    chantal v.
    chantal v.

    5 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2016
    bon, je suis fan fan fan de Dupontel et de Lanners, et le film n'est pas inintéressant. Je trouve tout de même qu'on reste devant quelque chose d'inachevé, comme si Bouli Lanners avait voulu mettre beaucoup de personnages, de situations, de réflexions, mais sans trop savoir quoi privilégier ni vers où se diriger. Personnellement, je me suis un peu interrogé sur les rôles de Mickael Lonsdale et de Max von Sydow.
    Suzanne Clément ne donne pas sa pleine mesure. Par contre, les autres sont époustouflants : Aurore Broutin et David Murgia, magnifiques, Philippe Rebbot, Lionel Abelanski et Serge Riaboukine, comme toujours impeccables.
    cela suffit-il à me convaincre ? Pas vraiment... Je me demande encore quel rôle a joué ce cadavre trouvé dans la gare désaffectée, sinon permettre à Max von Sydow de jouer 2 minutes.... Comme si Bouli Lanners avait bati son film en fonction de ses acteurs ????
    Belle photo, il parait que c'est la Beauce, brrrrr, ça glace un peu....
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