Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Les Premiers, Les Derniers" est pour nous l’un des meilleurs films de la semaine, du mois et probablement de l’année. Bravo Bouli !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
Une odyssée intimiste. Un conte absurde, émouvant, suspendu.
L'Obs
par La Rédaction
Magistralement mis en scène par Bouli Lanners, qui joue l’un des deux rôles principaux, l’autre étant tenu par Albert Dupontel, le film est une sorte de leçon des ténèbres, où la lumière est au cœur du récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Road-movie humaniste mâtiné de western moderne, le nouveau film de et avec Bouli Lanners est un ovni chaleureux et indispensable.
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Si ce film est teinté d'une forme de pessimisme, la patte du cinéaste est encore bien là. Sa poésie, sa musique si particulière, ses héros itinérants et ses routes de campagne.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-nativel
Une violence mâtinée de rire à la manière de Tarantino alterne avec une bouleversante délicatesse qui entraîne vers la poésie ce western âpre et pourtant lumineux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Au-delà de la foi, s’impose une certitude absolue : ce Bouli-là n’est pas seulement un bon film, c’est surtout un film bon !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un curieux mélange de road - movie en plat pays, d’esthétique du crado et de poésie surréaliste belge : un vrai régal !
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Bouli Lanners signe un western crépusculaire et surréaliste, à l'humour noir et à la sensibilité à fleur de peau, d'une grande pureté.
Le Monde
par Noémie Luciani
Ce tableau étonnant d'une humanité en résistance semi-consciente contre la tentation du désespoir et de la sauvagerie est nourri d'une poésie brute, et d'une infinie tendresse du réalisateur pour ses personnages.
Paris Match
par Alain Spira
Même s'il ne tient pas toujours son scénario par la bride, Bouli Lanners nous offre un singulier moment de cinéma. Au fond, "Les premiers, les derniers", c'est un peu Tarantino chez Bruno Dumont…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean A. Gili
Arrivé à son quatrième film, Bouli Lanners a acquis une maîtrise singulière aussi bien dans l'écriture de son scénario que dans la mise en scène de son récit.
Transfuge
par Ilan Malka
(La) mise en scène joue à merveille sur les ruptures de ton, entre moments contemplatifs, instants burlesques et jaillissements de violence.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Admirablement servie, une fable humaniste profondément attachante.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Les friches industrielles et le papier peint des chambres d'hôtel sont à se pendre. Mais les acteurs ont une sacrée gueule et l'intrigue tient debout. Avis aux amateurs de polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
On est pas sûr d'avoir tout compris, mais il y a un ton, une atmosphère et de la personnalité dans cette chronique de fin du monde dans un univers dévasté.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Filmer côte à côte Michael Lonsdale et Max von Sydow pour dire le tardif besoin de spiritualité de personnages sans foi ni loi est à la fois émouvant et un peu appuyé. Une certaine légèreté s'est envolée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Un coeur énorme et un goût de l’audace qui font oublier les maladresses.
aVoir-aLire.com
par Jean Talabot
Pour sa quatrième réalisation, Bouli Lanners nous offre une belle odyssée biblique, sombre mais optimiste, qui repose sur son travail graphique et l’éclectisme de son casting.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un conte crépusculaire asphyxié par son hyperformalisme.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Comme son titre, un film qui finit par tourner en boucle.
20 Minutes
"Les Premiers, Les Derniers" est pour nous l’un des meilleurs films de la semaine, du mois et probablement de l’année. Bravo Bouli !
L'Express
Une odyssée intimiste. Un conte absurde, émouvant, suspendu.
L'Obs
Magistralement mis en scène par Bouli Lanners, qui joue l’un des deux rôles principaux, l’autre étant tenu par Albert Dupontel, le film est une sorte de leçon des ténèbres, où la lumière est au cœur du récit.
Les Fiches du Cinéma
Road-movie humaniste mâtiné de western moderne, le nouveau film de et avec Bouli Lanners est un ovni chaleureux et indispensable.
Franceinfo Culture
Si ce film est teinté d'une forme de pessimisme, la patte du cinéaste est encore bien là. Sa poésie, sa musique si particulière, ses héros itinérants et ses routes de campagne.
La Croix
Une violence mâtinée de rire à la manière de Tarantino alterne avec une bouleversante délicatesse qui entraîne vers la poésie ce western âpre et pourtant lumineux.
La Voix du Nord
Au-delà de la foi, s’impose une certitude absolue : ce Bouli-là n’est pas seulement un bon film, c’est surtout un film bon !
Le Dauphiné Libéré
Un curieux mélange de road - movie en plat pays, d’esthétique du crado et de poésie surréaliste belge : un vrai régal !
Le Journal du Dimanche
Bouli Lanners signe un western crépusculaire et surréaliste, à l'humour noir et à la sensibilité à fleur de peau, d'une grande pureté.
Le Monde
Ce tableau étonnant d'une humanité en résistance semi-consciente contre la tentation du désespoir et de la sauvagerie est nourri d'une poésie brute, et d'une infinie tendresse du réalisateur pour ses personnages.
Paris Match
Même s'il ne tient pas toujours son scénario par la bride, Bouli Lanners nous offre un singulier moment de cinéma. Au fond, "Les premiers, les derniers", c'est un peu Tarantino chez Bruno Dumont…
Positif
Arrivé à son quatrième film, Bouli Lanners a acquis une maîtrise singulière aussi bien dans l'écriture de son scénario que dans la mise en scène de son récit.
Transfuge
(La) mise en scène joue à merveille sur les ruptures de ton, entre moments contemplatifs, instants burlesques et jaillissements de violence.
Télé 7 Jours
Admirablement servie, une fable humaniste profondément attachante.
Le Parisien
Les friches industrielles et le papier peint des chambres d'hôtel sont à se pendre. Mais les acteurs ont une sacrée gueule et l'intrigue tient debout. Avis aux amateurs de polar.
Ouest France
On est pas sûr d'avoir tout compris, mais il y a un ton, une atmosphère et de la personnalité dans cette chronique de fin du monde dans un univers dévasté.
Télérama
Filmer côte à côte Michael Lonsdale et Max von Sydow pour dire le tardif besoin de spiritualité de personnages sans foi ni loi est à la fois émouvant et un peu appuyé. Une certaine légèreté s'est envolée.
VSD
Un coeur énorme et un goût de l’audace qui font oublier les maladresses.
aVoir-aLire.com
Pour sa quatrième réalisation, Bouli Lanners nous offre une belle odyssée biblique, sombre mais optimiste, qui repose sur son travail graphique et l’éclectisme de son casting.
Les Inrockuptibles
Un conte crépusculaire asphyxié par son hyperformalisme.
Studio Ciné Live
Comme son titre, un film qui finit par tourner en boucle.