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Reza Mirkarimi ("l’Enfant et le Soldat"), avec de petits moyens, traite ce sujet délicat avec austérité. Peu de dialogues, des images sèches, pas de musique. La fin, bouleversante, marque par sa simplicité, le réalisateur refusant toute sentimentalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La constance du film, poussant à bout sa logique absurde pour atteindre à l’émotion, est louable. Mais le twist final tombe comme un cheveu sur la soupe et trouble un climat dramatique lentement distillé. En définitive, un mélange un peu gênant de roublardise et d’empathie.
Dans "Un jour nouveau", malgré les violons de la bande originale, aucune émotion ne parvient à surmonter ce sentiment de déjà-vu tant le récit est schématique et les acteurs principaux monolithiques (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
Reza Mirkarimi ("l’Enfant et le Soldat"), avec de petits moyens, traite ce sujet délicat avec austérité. Peu de dialogues, des images sèches, pas de musique. La fin, bouleversante, marque par sa simplicité, le réalisateur refusant toute sentimentalité.
Le Figaro
Le drame de Seyyed Reza Mirkarimi dénonce une société obscurantiste et dérangeante. Un vrai électrochoc.
Télérama
Chaque plan est pensé et millimétré. Mais au final, le film exhale un humanisme terriblement émouvant.
aVoir-aLire.com
Avec une remarquable économie, ce film bouleversant parle aussi bien de la situation de la femme en Iran que de l’universelle humanité.
L'Humanité
Œuvre sensible, certes, mais plutôt maladroite.
Les Inrockuptibles
La constance du film, poussant à bout sa logique absurde pour atteindre à l’émotion, est louable. Mais le twist final tombe comme un cheveu sur la soupe et trouble un climat dramatique lentement distillé. En définitive, un mélange un peu gênant de roublardise et d’empathie.
Libération
Dans "Un jour nouveau", malgré les violons de la bande originale, aucune émotion ne parvient à surmonter ce sentiment de déjà-vu tant le récit est schématique et les acteurs principaux monolithiques (...).