Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Elle
par La Rédaction
Le documentaire "Dior et moi", de Frédéric Tcheng, propose de s'inviter partout. Et filme le créateur belge sans complaisance, de ses débuts, avenue Montaigne en avril 2012, jusqu'au défilé inaugural trois mois plus tard. (...) Promesse tenue !
Gala
par La Rédaction
Un long métrage touchant qui s'éloigne des excentricités de la mode pour s'attacher aux petites mains.
L'Obs
par La Rédaction
On craignait une longue pub de luxe, on découvre un film affectif et choral sur une œuvre collective qui naît sous nos yeux. Afin de ne pas en dissiper les sortilèges, Tcheng arrête son film avant que ces robes ne soient vendues, telles des Rolls, aux plus grosses fortunes de la planète.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il n’est pas seulement question ici du côté paillettes de la mode, mais du travail de précision qu’elle requiert, des tensions qu’elle provoque parfois, et des joies qu’elle suscite chez ceux qui la font. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce scénario sous haute précision tient en haleine le spectateur et raconte dans ses moindres ourlets l'activité d'une maison de couture et la somme de travail qu'on y abat sans jamais perdre de vue la figure de son fondateur.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Ce beau documentaire rend compte de l'effervescence de la période de préparation d'une collection, en faisant la part belle aux petites mains.
Libération
par Clément Ghys
La justesse de "Dior et moi" tient à la mise en scène d’un travail collectif, à sa manière de montrer qu’il ne s’agit pas de caprices de créateur, de délire, mais de coordination entre différentes compétences.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Courez-y, vous apprendrez beaucoup sur la fabrication de la haute couture (...) Et vous passerez un bon moment.
Première
par Damien Leblanc
Après les deux biopics d’Yves Saint Laurent sortis l’an dernier, ce passionnant documentaire jette un regard plus collectif et contemporain sur l’industrie de la mode.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Marie Soyeux
Le documentaire, proscrivant les commentaires "off", s'avère d'une belle fluidité, mais ne livre pas toujours les noms et les rôles des uns et des autres, au risque d'égarer les non initiés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Mais c'est avant tout dans ses partis pris de mise en scène que Dior et moi évoque le maître américain, dans sa manière de circonscrire son sujet via d'infinis détails captés à partir de points stratégiques : salles d'essayage, coulisses, ascenseur, bureaux et autres lieux interdits où se raconte sans filtre la création de mode.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Isabelle Regnier
Avec une certaine élégance, la caméra s’attarde sur les gestes, sur les matières, sur le travail à l’œuvre. Ce parti pris ne suffit pas à éviter les écueils de la plupart des documentaires sur la mode, qui se heurtent à l’impossibilité de traverser le voile des apparences, que le milieu garde rigoureusement tendu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
Le documentaire "Dior et moi", de Frédéric Tcheng, propose de s'inviter partout. Et filme le créateur belge sans complaisance, de ses débuts, avenue Montaigne en avril 2012, jusqu'au défilé inaugural trois mois plus tard. (...) Promesse tenue !
Gala
Un long métrage touchant qui s'éloigne des excentricités de la mode pour s'attacher aux petites mains.
L'Obs
On craignait une longue pub de luxe, on découvre un film affectif et choral sur une œuvre collective qui naît sous nos yeux. Afin de ne pas en dissiper les sortilèges, Tcheng arrête son film avant que ces robes ne soient vendues, telles des Rolls, aux plus grosses fortunes de la planète.
Le Journal du Dimanche
Il n’est pas seulement question ici du côté paillettes de la mode, mais du travail de précision qu’elle requiert, des tensions qu’elle provoque parfois, et des joies qu’elle suscite chez ceux qui la font. Une réussite.
Le Parisien
Ce scénario sous haute précision tient en haleine le spectateur et raconte dans ses moindres ourlets l'activité d'une maison de couture et la somme de travail qu'on y abat sans jamais perdre de vue la figure de son fondateur.
Les Fiches du Cinéma
Ce beau documentaire rend compte de l'effervescence de la période de préparation d'une collection, en faisant la part belle aux petites mains.
Libération
La justesse de "Dior et moi" tient à la mise en scène d’un travail collectif, à sa manière de montrer qu’il ne s’agit pas de caprices de créateur, de délire, mais de coordination entre différentes compétences.
Positif
Courez-y, vous apprendrez beaucoup sur la fabrication de la haute couture (...) Et vous passerez un bon moment.
Première
Après les deux biopics d’Yves Saint Laurent sortis l’an dernier, ce passionnant documentaire jette un regard plus collectif et contemporain sur l’industrie de la mode.
La Croix
Le documentaire, proscrivant les commentaires "off", s'avère d'une belle fluidité, mais ne livre pas toujours les noms et les rôles des uns et des autres, au risque d'égarer les non initiés.
Les Inrockuptibles
Mais c'est avant tout dans ses partis pris de mise en scène que Dior et moi évoque le maître américain, dans sa manière de circonscrire son sujet via d'infinis détails captés à partir de points stratégiques : salles d'essayage, coulisses, ascenseur, bureaux et autres lieux interdits où se raconte sans filtre la création de mode.
Le Monde
Avec une certaine élégance, la caméra s’attarde sur les gestes, sur les matières, sur le travail à l’œuvre. Ce parti pris ne suffit pas à éviter les écueils de la plupart des documentaires sur la mode, qui se heurtent à l’impossibilité de traverser le voile des apparences, que le milieu garde rigoureusement tendu.