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Aspro
14 abonnés
357 critiques
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2,5
Publiée le 24 août 2015
Un style limite documentaire, Correia ne construit pas assez de suspense pour canaliser les differents elements de l histoire d'ou le manque d'intensité 2.5/5
Bon film je me suis pas ennuyer avec des petites touches d'humour le réalisateur à bien cerné malheureusement la vrai réalité dans les quartiers,très bon jeu de Jean-Michel Correia tous naturel, les magnifiques paysages et vues en Espagne super.
Film pour cerveaux malades, réalisé par un cerveau du même acabit. Réalisé étant un grand mot, on se demande si ce n'est pas filmé au hasard, sans aucun scénario. D'une platitude déconcertante. D'un ennui très profond. Bref, mérite une note équivalente à la place de la lettre X dans l'alphabet.
Film hyper réaliste, là on est plus dans les clichés.Le spectateur est tenu par la main grâce à l'énorme charisme de Jean-Michel Correia . Grosse baffe!
Premier film de Jean-Pierre Correia dont c'est aussi le premier rôle, ce drame au rythme trop linéaire et au montage décousu reste convenu dans son propos et aborde tellement de thèmes différents qu'il finit par ne faire qu'effleurer son sujet principal. Dommage, ça mériterait mieux.
Je pensais voir un film sur un homme qui suite à sa sortie de prison voulait se reconstruire en cherchant ses origines grâce à ses parents biologiques, mais en fait, c'est un film de pseudo-gangsters couplé avec un documentaire sur la vie dans un quartier. Il n'y a pas grand chose à dire, l'histoire est fade, la mise en scène peu énergique, on a l'impression de voir une succession de scènes plus qu'une véritable histoire. L'histoire est vue et revue, c'est très loin de ce qui a pu se faire avant avec le même thème puis surtout, on regarde le film sans s'attacher aux personnages en même temps voir un gars qui sort de prison être accueilli comme un héros, ça ne le fait pas trop surtout quand il décide immédiatement de se remettre dans l'illégalité. Vive la réinsertion.
Le film a de bonnes intentions, mais il est vraiment mal fichu, le scénario tente d'aborder différents thèmes, l'abandon, l'adoption, la vie en banlieue, la criminalité, la recherche des origines et la quête de l'identité, mais s'éparpille dans toutes les directions pour au final ne faire qu'effleurer ces sujets sans vraiment en traiter aucun en profondeur.
Aucune histoire a proprement parlé. On dirait un vidéo prise avec un téléphone portable tellement il n'y a pas de cadrage, que cela bouge tout le temps, aucunes actions (1/2 a la fin). Ce film montre la vie en cite comme tout le monde la connaît, rien de nouveau. Bref ce film dur un peu moins de 2h mais si j'avais un seul conseil a vous donner, aller plutôt boire un verre que d'aller voir ce film !
Le début du film est très long sans qu'il se passe quoi que ce soit. Scénario léger, dialogues pas travaillés. Tournage dans le style du film plutôt familial. Une histoire sur la cité et le titre sous X n'a rien à avoir avec le thème du film.
Sincèrement : ennuyeux ! Pour ne pas dire "nul" !!! Un film inutile... D'ailleurs si c'est pour montrer que ça se passe comme ça après la prison et dans les cités : c'est faux !
Première réalisation de l’acteur Jean-Michel Correia, Sous X est une plongée d’un naturalisme social aussi saisissant qu’effrayant dans l’économie souterraine des cités HLM. Souvent dépeints avec condescendance ou sans documentation solide, le trafic de drogue dans les banlieues et les dégâts de la difficulté d’insertion des enfants d’immigrés sont ici traités avec un réalisme cru qui nous prouve que le réalisateur a tâté le terrain avant de pouvoir se lancer dans le cinéma. L’inspiration autobiographique de Correia se retrouve également dans la caractérisation du personnage qu’il incarne à l’écran. Le passage en prison et la recherche des géniteurs l’ayant abandonné sont en effet des épreuves qu’il réellement traverser, et on peut justement regretter que cette sous-intrigue de quête identitaire (qui infuse pourtant le titre du long-métrage) ne soit pas menée jusqu’au bout. C’est d’ailleurs le cas de beaucoup de sujets abordés, tels que la menace policière et les rapports hommes-femmes, qui ne sont qu’abordés sans être développés pleinement, voir même, dans le cas des braquages commis par les gangsters, ne sont qu’uniquement évoqués. Dans cette peinture sociologue, qui dans l’actuel contexte politique tendu ne va pas apaiser les peurs xénophobes et autres amalgames, souffre de son trop plein de thématiques à traiter contenus dans une narration dépourvue de réels enjeux dramaturgiques mais réussi à nous faire découvrir, sans jugement moral, la face cachée de notre République.