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    Comme Un Avion
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    286 critiques spectateurs

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    Extremagic
    Extremagic

    73 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Qui l'eu cru mais aujourd'hui j'ai vu deux films avec Vimala Pons, d'aucun dirait "par hasard". Et j'adore cette actrice, sa fraicheur, on dirait qu'elle est dans un autre monde, qu'elle a quelque chose de décalé, enfin c'est trop bien ! Mais les autres acteurs et actrices ne sont pas en reste, parce qu'ils dégagent tous quelque chose de vraiment chouette. Bon je dois dire que j'ai adoré le film, vraiment, j'avais le sourire au lèvre durant tout le long. Ca m'a beaucoup fait pensé à Vincent n'a pas d'écaille et ce bien avant de voir Pons dans le film alors quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai vu apparaître son joli minois, mais c'est aussi beaucoup plus ambitieux et du coup (même si ça ne s'ensuit pas nécessairement) ou du moins, moins maîtrisé. Déjà l'écriture est excellente, et je me suis beaucoup identifié au personnage, genre le type rêveur, qui se parle à lui-même, qui se répond, et parle à ses objets, dommage qu'ils ne lui répondent pas... qui ne fait pas son boulot, qui est fan de St-Ex, de Bashung, qui a envie de partir à l'aventure mais est le dernier des tocards du coup il en serait parfaitement incapable, incapable d'être indépendant parce que timide et manquant de confiance en lui, qui a toujours besoin d'un coup de main, genre hyper-gentil mais toujours un peu à côté, même si au final très profond, que les autres prennent pour un taré, qui aimerait pouvoir voler, naviguer, un peu naïf, candide, mais pas con, dans le sens bon-enfant, qui aime bien parler, qui a un certain amour de la langue, romantique sur les bords, curieux, bref c'est tout moi, je m'imagine vraiment comme ce mec dans 30 ans et ça me fait d'autant plus marré. Mais les autres personnages sont vraiment très chouettes aussi. Après il y a pas mal de défauts de réalisation, c'est à dire qu'il y a une certaine poésie qui se dégage du film, toujours très drôle mais souvent c'est surfait, genre je pense à la scène où il a enfilé son costume pour naviguer et que c'est complètement ridicule, c'est presque lourd, ça fait podcast, c'est pas subtil, on sent que ça veut faire rire et le vouloir faire il n'y a rien de pire parce que ça sonne faux. Bon ça n’entache en rien le film c'est très ponctuel. Et puis il arrive toujours à renouveler les situations, au fond il y a des trucs complètement barrés qui sont énormes. Mon gros coup de coeur va à la scène où il vole en kayak, c'était tellement beau, typiquement le genre de rêves que je fais. Du coup ça m'a beaucoup parlé. Ca me donne envie de découvrir la carrière de ce réal parce que si tout ses films sont comme ça je vais prendre mon pied !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 juin 2015
    A partir à l'aventure on risque bien de rester sur place. Non pas qu'on manque de talent ou d'idée mais on est toujours tenté de musarder et d'oublier le but que l'on s'était fixé.
    Michel au seuil de la cinquantaine obsédé par l'aéropostale (cette invention du début de l'autre siècle qui cherchait à relier les hommes entre eux) tombe au hasard d'un palindrome sur une nouvelle passion : le kayak. Je dis nouvelle mais c'est aller un peu vite si l'on considère que le fuselage de l'objet, les pagaies qui servent à le faire avancer, rappellent l'objet idéalisé de l'enfance : l'avion des pionniers. Ainsi le "Spirit of Saint Louis" devient-il le "spirit of Saint Cloud" et nous embarque dans un voyage inattendu tout autant que désiré.
    Rien d'étonnant alors si le film nous égare dans un périple sans issue. En se laissant porter par le courant, Bruno Podalydes emprunte le chemin qu'en son temps avait défini Renoir : la philosophie du bouchon. Spectateur pressé et soucieux d'efficacité, passez votre chemin, l'ennui peut vous guetter, mais c'est que vous avez sans doute perdu cet esprit d'enfance fait à la fois de gravité et d'abandon, de poésie (ah comme ce mot sonne faux !) et d'absence de sérieux.
    Comme le kayak reçu en kit, le film de Podalydes est conçu avec suffisamment de rigueur pour affronter sans peur les risques de la navigation. Plein d'échos et de rimes, il se présente comme une invitation à la rêverie. Si l'on se fie aux classifications toutes faites il appartient au genre de la comédie, mais il est plutôt un objet dont l'identification ne dépend que du regard qui l'observe.
    Si le mort et le mensonge nous guettent, ils n'en restent pas moins aux marges du récit (?) et le film se clôt sur un le plan d'une rivière à l'imprévisibilté de laquelle s'abandonne la caméra, quand il s'était ouvert sur ces images de synthèse en chantier qui n'offrait de la fugue que sa contrefaçon.
    Après "l'enterrement de mémé" (dont est repris la chanson de Moustaki) succède ce voyage immobile dans un "avion sans ailes" (mais avec bien des rencontre féminines) qui nous réconcilie avec le temps.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2015
    Qu'il est doux à regarder ce film !
    Une véritable ballade poétique qui fait énormément de bien. Certes il n'y a pas de violence, ni de bruits assourdissant, mais juste une tranche de vie que l'on regarde avec plaisir.
    Si vous avez aimé Arizona Dreams ou Bagdad Café, alors n'hésitez pas et savourez ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 juin 2015
    Je n'ai pas du tout aimé ce film ; il est inintéressant.
    Je n'ai pas trouvé de morale à cette histoire.
    Mis à part quelques beaux plans sur la nature, sinon rien de chouette.
    Pas de réelle fin...
    J'ai été très déçue et si j'avais su je ne serai pas allée le voir
    Min S
    Min S

    59 abonnés 466 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    Film complètement fade, sans âme, c'est ce que j'appelle un film bourgeois sensé être drôle et poétique mais j'ai pas retrouvé rien de tout ça et j'ai passé un très mauvais moment cinéma :(
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2015
    un très bon film qui donne un bon bol d'air frais, avec son côté à la fois poétique rêveur drôle tendre et sensible. de très bon acteurs de bonne images ainsi qu'un bon scénario qui en fait une très bonne comédie, donc m'a fait passer un très bon moment en salle obscure. j'en suis ressortie émue de la séance, à voir et revoir sans hésitation.
    lionelb30
    lionelb30

    449 abonnés 2 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2015
    Les comédiens sont tres bien , les situations souvent drole , beaucoup de petits détails tres amusant mais bizarrement parfois un peu ennuyeux.
    reymi586
    reymi586

    483 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2015
    Comme un avion est un film à la fois drôle, touchant et parfois gênant ! J'ai totalement adhéré à ce personne joué par Bruno Podalydès qui a un rêve qui n'est pas du tout fait pour lui. On rencontre tout une palette de personnages aussi drôles que fous. J'ai passé un excellent moment, Bruno Podalydès aurait même pu aller encore plus loin dans le décalé pour que cela soit complètement abouti. Bref, un bon coup de fraîcheur dans le cinéma français !
    Fritz L
    Fritz L

    189 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2015
    L’idée de départ était séduisante, sachant Bruno Podalydes aux commandes. Au final, pas ni crash, ni voltige. « Comme un avion » est un film anodin et transparent. Parfois brillant (quelques belles scènes bucolico-oniriques), souvent creux (le remplissage scénaristique de la première partie fait peine à voir), cette comédie naturaliste pêche par excès et pèse le doigt là où cela fait mal, pour ne pas dire « bobo », la crise existentialiste d’un quinqua pas vraiment sympathique. Podalydes enrobe le tout d’un humour de potache bien gras, imagine des personnages qui se veulent hauts en couleur, mais ridicules au final voir horripilants (le comique de répétition avec l’hystérique pêcheur Arditi notamment). Ce n’est pas désagréable à regarder, assez borderline (on trépigne parfois pour voir arriver une fin qui tarde à venir), et au final on a le sentiment que si même si l’on n’oubliera pas le personnage de Michel, on aurait aimé que son parcours aquatique soit moins analgésique et beaucoup plus chromatique…
    vincent R.
    vincent R.

    4 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2015
    Après la douche froide reçue à la projection de "Vincent n'a pas d'écaille", d'une absolue nullité malgré les critiques, j'étais assez réticent de me laisser mener voir un autre film aquatique français à bonne presse.
    Quelle excellente surprise! beaucoup de savoir faire pour nous mener progressivement de la ville aux champs, du lourdingue logiciel 3D à une descente (ratée) au fil de l'eau. Mais pas de morale pénible ici; La libération de l'esprit par la nature passe par un arsenal d'outils hi-tech dont ne peut se défaire le protagoniste. Cela le perdra évidemment, . Dans "into the wild", c'est la méconnaissance du terrain ( fonte des neiges qui inonde le fleuve et barre la route de la survie). Ici c'est plutôt "big-brother" qui brisera le rêve.
    Pour éviter les longueurs, beaucoup d'humour. Des personnages approfondis avec beaucoup de finesse.
    Toujours en décalage avec la "vraie vie". Ils semblent en dehors de la société de consommation, mais par l'esprit, pas d'extrémistes ni d'écologistes. Des gens simples qui vont aussi au super marché.
    On les découvre petit à petit, par l'éternel va et vient du personnage principal. Pas moyen d'en sortir, retour case départ. Bon moyen pour user du gag à tiroir! ( voir Arditi en pécheur psychopathe). Du surréalisme aussi.
    La maitrise du récit est très bien pensée. Beaucoup de travail. Beaucoup d'efficacité, pas d'effets spéciaux, tout cela semble filmé avec peu de moyen pour un résultat parfait.
    (sauf la direction de la ballade vers la mer, ce qui suppose que l'on DESCEND la rivière. Or à deux reprises le kayak remonte le courant! encore un effort à faire... pourtant pas couteux).
    A par ce détail qui n'énerve que le soucieux du détail que je suis, film quasi parfait.
    Lunettes noires
    Lunettes noires

    32 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2015
    Il ne faut surtout pas s'arrêter à la publicité déplorable (mais involontaire) que France Inter a fait a ce film en disant : "c'est l'histoire d'un homme passionné d'aviation qui devient amoureux d'un kayak dont il fait l'achat"!! C'est sûr que racontée de la sorte, on ne peut pas dire que la radio de service public incite les gens à aller découvrir cette comédie sur les écrans! Oublions ce pitch malheureux. Car ce film est une véritable pépite de drôlerie et de poésie. Depuis longtemps, un film ne m'avait pas procuré une telle joie : je pense qu'en sortant de la séance, je devais encore afficher sur mon visage un sourire un peu niais.Ce "kayak movie" bucolique (car oui, il est bien question d'une aventure kayakiste!) est rempli de petits bonheurs simples, mais ô combien communicatifs. En premier lieu, c'est Sandrine Kiberlain qui va illuminer la première partie du film. Elle va se montrer très patiente et compréhensive, délicieuse et toujours charmante avec son mari, joué par Bruno Podalydès himself ; il incarne un anti-héros, fan de l'aéropostale, lunaire et rêveur à souhaits, complètement obnubilé par toute sorte de gadgets un peu "techniques" qui se révèlent être toujours inutiles ou ridicules. Ensuite, c'est Agnès Jaoui dont le héros va faire la connaissance. Elle incarne une patronne de guinguette pulpeuse et s'occupe généreusement de tout un petit monde gentiment barré, dont une des principales occupations est de boire de l'absinthe : on connait tous la réputation de cette boisson…visiblement pas usurpée! Dans ce petit monde bigarré, on trouve aussi une serveuse facétieuse, espiègle, adorable et délicieuse (Vimala Pons) qui pleure quand il pleut! On pourrait croire que ce personnage est échappé d'un livre pour enfants. Notre héros va vivre au contact de ces personnages farfelus et totalement libres, une véritable parenthèse enchantée, au son de son ukulélé fétiche…en conclusion, on peut dire que Bruno Podalydès a réussi le tour de force de rendre une odyssée riquiqui en kayak, absolument passionnante…non pas grâce à l'objet kayak lui même (peu importe), mais grâce aux rencontres fabuleuses et décalées que son (très court) périple va engendrer. Pour finir, il faut savoir que la dernière chanson du film est "Vénus" chantée par Bashung : si avec tout cela, vous n'allez pas voir ce film, c'est à rien y comprendre.
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2015
    Un film français, un bon vieux film à la française.. mais j'avoue j'ai pas compris.. un bilan d'un riche... seule Agnès jaouii fait prestance..
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 juin 2015
    Les 15 premières minutes j'ai dû luté pour ne pas m'endormir, on assiste à la commande du Kayak ensuite on a le droit au montage et après il ne se passe plus rien, aucun paysage juste la verdure des bords d'un petit canal, le film traine en longueur on s'y ennuie à mourir, je regrette vraiment d'avoir dépensé 9,80€ pour voir un navet pareil, ce film est dans la lignée des bobos parisiens.
    John Henry
    John Henry

    108 abonnés 712 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2015
    J'ai atterri dans cette salle un peu par hasard, et je suis parti comme je suis venu, sans envie, juste parce que j'étais fatigué. J'avais oublié qu'il y avait un film à l'écran, j'avais oublié ce que j'étais venu faire. Je ne doute pas que Bruno Podalydès draine un public qui lui est fidèle, il y a ce rythme indolent, cette bonhomme, ce gentil côté rêveur et loufoque. Oui mais quand on sort de la sphère des admirateurs, il faut reconnaitre les limites du genre : absolument rien ne m'a retenu au moment où je suis parti, fatigué, oubliant déjà les histoires de ce quinquagénaire original, oubliant déjà les sourires après l'une ou l'autre scène absurde, oubliant le scénario qui tourne en rond et se mange la queue, oubliant l'insignifiance d'un film posé comme une bulle de savon dans les cinémas, éphémère, intéressante et rapidement lassante.

    Promis, je n'irai plus voir de film de B. Podalydès.
    VILLE.G
    VILLE.G

    55 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2015
    Bien. Un petit film pour une petite tranche de vie d'un homme mûr et aisé dans une période de doute existentiel.
    Pas de transcendance mais un assez bon moment.
    A réserver à ceux que ça concerne (la cible reste quand même assez limitée).
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