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Un visiteur
2,0
Publiée le 18 octobre 2015
Décevant.
Depuis quand fait on les vendanges au mois de Novembre ? Dans des vignes pré-taillées de surplus ! Le film est entièrement filmé au mois de Novembre ce qui est assez frustrant, on met un moment à comprendre que l'histoire débute avant vendanges. Ce film est plein de détails pas crédible (ex : la mise en bouteilles d'un domaine de 4ha filmé chez un négoce de 60ha).
La vie de viticulteur / viticultrice en Bourgogne ce n'est pas ça !
Et l'histoire d'amour très prévisible ne remonte pas la moyenne.
Ce qui sur c'est que ce film ne vaut pas un premier cru, je le classerais plutôt au niveau d'un mauvais téléfilm du dimanche après-midi.
Ne vous fiez pas aux critiques, Premiers Crus est un film haut en couleurs sur l'univers de la vinification et de transmission du savoir viticole. Il introduit les fondamentaux du traitement de la terre, du début jusqu'à la fin d'un millésime. Admirablement desservi par Jalil Lespert en fils de patriarche relevant l'impossible défi, ce film nous tient en haleine durant les différentes étapes de la création du vin. Une mention spéciale à la photographie et aux images magnifiques de l'une des plus belles régions viticoles de France (voire région tout court), autour des classes d'Aloxe-Corton. Gérard Lanvin campe à merveille le personnage du vieux patriarche du domaine, bourru et meurtri par une histoire familiale l'ayant passablement marqué. Un personnage très juste et allant comme un gant à ce magnifique acteur. Alice Taglioni campe la fille d'une des plus importantes propriétaires viticoles de la région, et sa beauté resplendissante peine à peu à nous convaincre de son rôle, mais on fini par y croire tout de même un peu. Au final, un film très agréable, au scénario certes très classique, mais plutôt cohérent et crédible. Un film qui fini par nous convaincre. A voir !
J’avais vu en 2011 « Requiem pour une tueuse », le premier film du réalisateur Jérôme Le Maire, qu’il avait alors signé sous le pseudonyme de Jérôme Le Gris, film qui ne m’avait pas enthousiasmé mais qui ne m’avait pas déçu non plus. Pour ce deuxième film, même analyse : un film qui se laisse regarder, avant tout pour ses interprètes et ses décors, mais qui ne restera pas dans les annales. Il y a quelques chutes de rythme dommageables pour un film de Cinéma et un ensemble (deux familles côte à côte qui cachent quelques secrets, une histoire d’amour compliquée, des décors superbes du terroir français, un sujet typiquement français – la création d’un bon vin -) qui aurait pu faire une saga de plusieurs épisodes à la télévision. De cet ensemble sans vraie surprise, il y a quand même un élément à retenir : une scène très drôle - même si on la sent venir -, de type « running gag ».
Déçu de ce film, vraiment. C'est digne des téléfilms de M6. Je n'ai rien ressentis, c'est mal joué. Le scénario est trop simpliste. Vraiment, je me suis ennuyée. Les paysages sont très beaux, mais on en reste là.
Un film plaisant, émouvant aussi, à condition d'avoir gardé en ce monde mécanisé, automatisé, e-chahuté, une âme romantique, encore réceptive à la beauté naturelle et aux sentiments rustiques mais universels. La critique presse n'est guère favorable, mais je me suis fait mon opinion avant... Peut-être que pour les spécialistes il faut montrer des histoires intello, de préférence compliquées, voire hermétiques (ainsi on reste entre "initiés"). Paysages somptueux des vignes bourguignonnes. Un Gérard Lanvin au top. Bourru, têtu, renfrogné dans sa nostalgie, remonté contre le monde entier. Buriné, noueux comme un cep de vieille vigne, quelque chose de Gabin, son dernier espoir était le retour du fils prodigue. Mais il faut que celui-ci soit "mûr" pour honorer les ancêtres en redorant la réputation du domaine... Un clin-d'œil à "Roméo et Juliette". La belle du domaine voisin est aussi en butte avec une maman plus énergique et rouée qu'un homme, dans un contexte de rivalités de crus. Une idylle secouée par les orages, enveloppée par des lambeaux de brume, irisée par les splendeurs rougeoyantes des couchants.
Excellent film sur le dure métier de vigneron, mêlant une histoire d'amour compliqué entre les enfants de deux propriétaires de vignoble concurrent. Le scénario est très bon et met en avant le dure métier de vigneron, les techniques, la peur de tout perdre... . Grande performance des acteurs principaux et notamment de Gérard Lanvin que l'on aime voir dans ce genre de rôle de personnage dure avec du caractère, un peu bourru. Une belle histoire de famille sous fond de vignoble.
Un film sympa, mais avec une histoire trop facile et téléphoné digne d'un téléfilm de France 2 Avec une fin qui laisse un peu sur sa Soif Toutefois le casting crédible et authentique rajoute un peu de force à ce film pas assez millésimé...
Un bon film basé sur des valeurs simples et même si on s'attend à une fin un peu prévisible, c'est bien interprété et joliment amené. Lanvin joue admirablement bien. Alice Taglioni rayonne.
A priori, le choix du thème : bof !! Qui a envie de voir un film sur le vin de Bourgogne ? Il faut vraiment être bon pour sortir un film captivant sur ce thème. Et bien c'est le cas ! Le choix des acteurs, tous, vraiment bon. Les choix musicaux qui donnent du rythme, très bons. Les dialogues, très très bons. Les images, superbes. Ce n'est pourtant pas mon genre de film, mais là, chapeau !
Belle promotion pour les excellents vins de Bourgogne. Bon, la Romanée Conti, c'est un peu l'Everest, mais certaines bouteilles sont accessibles. Dommage que le casting, avec Taglioni et Smet, fasse baisser la qualité du film.
Superbes photos et belle musique pour accompagner un film très agréable à regarder car même si la fin reste prévisible, les acteurs jouent leur rôle et tout reste crédible. Gérard Lanvin est parfait dans ce patriarche bougon qui accepte mal le chemin pris par ces enfants. Un très bon moment!
Ce film est un cru fade , sans relief et sans saveur , tout juste bon pour passer à la télé . Un scénario d'une banalité déconcertante , tout est téléphoné et lisse ....le monde des Bisounours ....avec de belles images de la Bourgogne à l'automne .