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Cinemadourg
782 abonnés
1 540 critiques
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3,5
Publiée le 2 octobre 2015
D'emblée, "Premiers crus" propose une belle teinte grenat et chatoyante. Les arômes sont épicés avec quelques notes de réglisse... Sa bouche ronde et équilibrée fait de ce film une bonne pioche dans notre cinéma hexagonal. Certes le récit est cousu de fil blanc, mais Gérard Lanvin est toujours aussi charismatique et les personnages pour l'entourer sont vraiment bien choisis (Laura Smet, Alice Taglioni, Jalil Lespert) Ce n'est pas le film de l'année mais cette histoire familiale au coeur de nos vignobles français mérite le détour. A déguster comme une bouteille d'un vin très correct.
Les acteurs jouent juste. Je ne connaissais pas Jalil Lespert mais il tient bien son rôle face à Gérard Lanvin. Les dialogues mis dans la bouche de ce dernier font mouche et sont souvent drôles. L'histoire n'est peut être pas très originale mais elle met le doigt sur les soucis de pérennité dans les entreprises familiales. Il y a de belles images de Bourgogne. Le milieu de la vigne est passionnant...
Film ultra prévisible avec une histoire pas trop originale avec un petit air de déjà vue, mais bien servi par ses acteurs dans l'ensemble, et de plus la Bourgogne est magnifié dans tout les sens du terme
Déçu par les infidélités chroniques des personnages du film et les mauvaises valeurs retransmises. Le film avait du potentiel avec Gérard Lanvin au casting et les superbes paysages en plus du vin qui donne envie. On y apprend le temps de la récolte mais c'est à peu près tout.
Film sympa autour de l'univers du vin. Cependant le scénario aurait du être affiné et étoffé pour aller vers les grands crus. Gérard Lanvin est sous exploité et son personnage pas assez étayé. Le couple Alice Taglioni et Paul Lesbert fonctionne assez bien.
le terme téléfilm revient souvent dans les critiques aussi bien chez les journalistes que chez les spectateurs ! à mon avis , c'est faire trop d'honneurs à la plupart des téléfilms ! moi, j'ai vu un film magnifique , avec des interprètes tous excellents , un scénario original sur un milieu ( la vigne et les vignerons)qui n'a pas souvent été abordé , des personnages attachants , sans oublier les images splendides de la campagne bourguignonne . malheureusement , il y a un point négatif dans ce film pour nos critiques distingués ; ce film véhicule des bons sentiments , quelle horreur !!! moi, je suis sorti du cinéma heureux de mon après-midi .
Un film sympathique qui nous plonge dans le monde des vignerons. Avec son beau casting, il fait passer un moment agréable. Cette histoire évoque notamment la transmission et les conflits de générations.
Je me suis mis devant ce film sans réel enthousiasme et je dois dire que ce que j’ai vu ne m’a pas vraiment donné tort. Le film est loin d’être un millésime, même si ce n’est pas non plus une infâme piquette, en fait on a plus l’impression d’être devant un téléfilm que devant une oeuvre de septième art. L’histoire n’est pas ultra-originale avec ce fils qui après avoir quitté le domaine viticole de ses ancêtres revient pour essayer de le sauver alors que son père apathique le laisse couler au point d’être sous la menace de la saisie bancaire. Le sauvetage ne peut venir que de la capacité de ce citadin à se transformer en vigneron. L’intrigue est donc claire et les péripéties un peu convenues d’autant plus qu’on devine obscurément la fin dès le début du film. Dans le rôle du fils prodigue de retour on a un Jalil Lespert solide, mais sans fulgurance, le père est incarné par Gérard Lanvin, abonné depuis longtemps aux rôles de bourrus au grand cœur et dans le rôle de la fille nécessaire à l’incontournable romance on retrouve Alice Taglioni, qui n’est pas passée loin d’être joliment décorative malgré toute sa bonne volonté. Tout cela ronronne sans fausse note, sans grande saveur non plus… On se laisse prendre, si on n’est pas trop exigeant, par ce long-métrage qu’on abandonnera dès le début du générique de fin sans un coup d’œil en arrière. Distrayant pour une soirée, mais sans plus d’intérêt que cela.
Mouais, pas mal, ça se regarde... L'histoire est on ne peut plus prévisible mais on se laisse prendre au jeu convaincant de Jalil Lespert dans cette histoire autour du vin. Mis à part la prestation de Jalil Lespert, Je retiendrai surtout la belle photo tirée de la région et un ptit coté triste et émouvant à travers la déception du père (Lanvin qui fait du Lanvin, comme d'hab'! Mais ça passe pas trop mal ici avec ce personnage) par rapport à son fils qui n'a pas souhaité reprendre l'affaire familiale comme il le pensait.... Malheureusement, le scénario est un peu trop facile, les personnages sont aussi trop caricaturaux pour qu' on ressente qq chose pour eux ou pour ce qui va leur arriver.... En gros, malgré quelques bons passages, c'est un peu trop prévisible pour qu'on accroche totalement. Pas désagréable mais loin d'être captivant ...
Dur de choisir entre les jeux d'acteurs exagérés, un scénario si faiblard et préviible, des personnages stéréotypés ou la mise en scène pour parler de premiers crus. Mais la palme, le fautif, le plus gros défaut revient à la réalisation ; la mise en scène. Cette musique omniprésente, dans chaque scènes est vite insupportable. Ce guide musicale pour émotion ( dès qu'il y a de la tristesse : bim ! Quelques notes de piano ! Un beau décor : hop ! On sort les violons ) n’arrête jamais. L’écœurement continu de ce style poussif nous fait demander si premiers crus n'est pas un telefilm du dimanche . On pourrait y croire avec ces rebondissements en carton, ces dialogues grandioses qui feraient passer le script d'Hélene et les garçon pour du Victor Hugo.
En résumé, premiers crus est loin d'etre digne pour une diffusion sur grand écran. Une sobriété des plans, de la bande sonore et des dialogues aurait mieux convenue à ce contexte simple, franche et brute de la campagne.
Assez goûteux, ce produit du terroir bien de chez nous, où le vin fait partie de notre patrimoine historique. Grâce notamment à un Gérard Lanvin le bien nommé, obligé comme on le sait de continuer à tourner des films pour payer ses impôts, le pauvre. "Premiers crus" évoque la même thématique que "Tu seras mon fils" qui avait également une exploitation viticole comme trame de fond, à savoir la transmission. Ce qui est finalement assez amusant. Mais qui ne peut que nous parler, à nous français qui sommes fiers de régaler la planète avec la dive bouteille. Allez, je reprendrais bien un petit verre de Goubard !
Ne vous fiez pas aux critiques, Premiers Crus est un film haut en couleurs sur l'univers de la vinification et de transmission du savoir viticole. Il introduit les fondamentaux du traitement de la terre, du début jusqu'à la fin d'un millésime. Admirablement desservi par Jalil Lespert en fils de patriarche relevant l'impossible défi, ce film nous tient en haleine durant les différentes étapes de la création du vin. Une mention spéciale à la photographie et aux images magnifiques de l'une des plus belles régions viticoles de France (voire région tout court), autour des classes d'Aloxe-Corton. Gérard Lanvin campe à merveille le personnage du vieux patriarche du domaine, bourru et meurtri par une histoire familiale l'ayant passablement marqué. Un personnage très juste et allant comme un gant à ce magnifique acteur. Alice Taglioni campe la fille d'une des plus importantes propriétaires viticoles de la région, et sa beauté resplendissante peine à peu à nous convaincre de son rôle, mais on fini par y croire tout de même un peu. Au final, un film très agréable, au scénario certes très classique, mais plutôt cohérent et crédible. Un film qui fini par nous convaincre. A voir !
Plutôt plaisant à regarder car bien joué (l'ensemble du casting) et bénéficiant de superbes images du vin et des paysages de la bourgogne, le film cède malgré aux clichés et autres facilités scénaristiques (spoiler: le mec qui n'y connait pas grand chose dans la fabrication du vin, et qui sauve le domaine de son père, et séduit la blonde déjà mariée au mauvais jules, tout le monde qui se réconcilie,.... ) pour que tout cela se finisse dans un mega happy end...sympa, à condition d'aimer le monde du vin, et de ne pas être trop regardant sur les gros ficelles du scénario.