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    Vendeur
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    framboise32
    framboise32

    157 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Vendeur parle de la famille, de la relation père-fils. Serge est un des meilleurs vendeurs de sa société. Il est toujours sur la route, n’ayant aucune relation sérieuse amicale, familiale et amoureuse. Ses seules relations sexuelles sont tarifées. Pour tenir le coup, il boit et prend des drogues. Sa relation avec Gérald son fils est inexistante jusqu’au jour ou Gérald a besoin de lui. Sachant que son fils n’a pas la fibre commerciale, il accepte toutefois de l’aider. Gérald va prendre goût et surtout prendre les mauvaises habitudes du métier. Serge va regretter très vite de l’avoir aider.
    L’ambiance du film lorsque l’on suit Serge est très noir voire glauque. La musique omniprésente, renforce cet esprit. Cela m’a fait penser à « i’m a poor lonesome cowboy » ;

    Pas de surprise quant au scénario et quelques incohérences mais la performance de Gilbert Melki est éblouissante.

    Gilbert Melki est parfait. Quel dommage que l’on ne le voit pas plus souvent . Dans le film, il est hyper naturel, sexy, mélancolique, et très charismatique. On suit l’évolution du personnage, essayant à tout prix de protéger son fils. Il le voit évoluer et devenir comme lui. Pour lui donner la réplique, Pio Marmai assure . La relation père- fils est intéressante. Le binôme Gilbert Melki et Pio Marmai fonctionne parfaitement. Le réalisateur a plus creusé le personnage de Serge que celui de Gérald. On a donc du mal à s’attacher au personnage du fils. Pas facile de cerner son etat d’esprit. Sara Giraudeau, en quelques scènes, amène un peu de fraicheur.

    Au dela de la relation père-fils, il y a le métier de vendeur de cuisines. Le métier est difficile. Vendre, vendre, vendre à tout prix, quelque soit la situation financière ou se trouve le client. La pression est forte. Le milieu est sans pitié.

    Vendeur est un film porté par Gilbert Melki saississant. L’atmosphère du film est particulière. Une belle surprise
    Cine vu
    Cine vu

    147 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2016
    Quand on est seul en ville…

    Plus qu’un film, une musique, une ballade mélancolique. L’histoire d’un vieux loup « VRP » qui a atteint son objectif de réussite professionnelle, mais a loupé sa vie privée.

    Serge est le meilleur dans son domaine, le top du vendeur de cuisine, une référence, il brille de mille feux dans son boulot. Mais le soir venu, c’est tout seul qu’il se retrouve à l’hôtel, tout seul devant son scotch et sa ligne de coke puis enfin accompagné d’une call-girl en fin de soirée (Sara Giraudeau douce et et élégante).
    Gilbert Melki est au sommet de son art, il est Serge, redoutable, alcoolique, gagnant et perdant. C’est un grand rôle pour un bon comédien et il est résolument bien dirigé par Sylvain Desclous.

    Au delà de l’histoire d’une ascension sociale ou l’homme perd de vue sa vie en route. C’est une histoire d’amour entre un père et son fils, enfin plus qu’une histoire d’amour, une rencontre, un échange qui tourne mal. Serge pense tout contrôler, son fils lui demande du boulot alors Serge le lance dans la vente sans grand espoir. Il lui apprend les ficelles comme pour se débarrasser de sa culpabilité de père absent. Mais la réalité va le dépasser et ce gosse qui semble si brave et si doué pour la vie va se faire piéger par la « grande vie » celle où l’oseille te fait basculer dans la facilité et la démesure.

    Alors Serge regrette, trop tard , le mal est fait et l’élève dépasse le maître. Un regard poignant sur la relation père-fils, des dialogues ciselés et des acteurs inspirées.

    Pio Marmaï fait des merveilles dans l’évolution de son rôle.

    Sylvain Desclous nous en fout plein les yeux sur ce premier long métrage. Un road movie magique et désespéré, un scénario émouvant et une musique qui fait tout le reste. Alors, Desclous, on va t’attendre au tournant mais c’est sûr, tu vas encore nous bluffer car tu as du talent et les potions magiques qui font l’alchimie des meilleurs films.
    Daniel C.
    Daniel C.

    152 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2016
    J'aime bien ce duo père /fils interprété par Gilbert Melki et Pio Marmai. J'avais aimé Sara Giraudeau dans "Les bêtises". Mais au-delà des acteurs, il y a cette atmosphère des zones commerciales, de ces bateleurs, qui vendent du rêve objectal. S'endetter pour investir dans un bonheur matériel d'acquisition, de possession. Qui est possédé dans ces tractations ? Et si le gustatif, le gastronomique entraient en concurrence ? Quelles transmissions transgénérationnelles sont possibles entre pères et fils ? L'inhumanité de la logique de la consommation conduit à la solitude et à la destruction ceux qui s'en font les instruments. Un fils questionne son père sur ce qu'il peut lui léguer de son savoir. Ce père se tournera lui-même vers son propre père, qui lui déclarera : "Qu'est-ce que tu veux que je te dise ?" lorsqu'il est amené à se prononcer sur le positionnement de son fils devenu père lui-même.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2016
    Gilbert Melki s’est profondément investi dans ce rôle dont il arrive à exprimer la noirceur et l’extrême solitude.
    Yves G.
    Yves G.

    1 507 abonnés 3 527 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Encore un film français me direz-vous ? Un film sans grand budget mais avec des seconds rôles aux petits oignons ? Un de ceux qui disparaissent de l’écran au bout de deux semaines faute de trouver son public ? Qui passera en fin de soirée sur France 2 ? Qu’on ne trouvera jamais en VOD ni sur Air France ? Certes, mais je les aime tant. C’est à croire que je suis sponsorisé par UniFrance !

    « Vendeur » se déroule dans le monde de l’entreprise. Un milieu que ce cinéma français a investi pour en dénoncer la dureté sinon l’inanité. On pense à « Ressources humaines » de Laurent Cantet (où il était déjà question de filiation), « De bon matin » de Jean-Marc Moutout ou, plus récemment, « La Fille du patron » de Olivier Loustau. Intéressant que cette thématique-là ne soit guère présente dans le cinéma américain – sauf à considérer que la série des « Mad Men » ou « Le Loup de Wall Street » sont des films sur l’entreprise.

    La cinquantaine, portant beau, Serge (Gilbert Melki époustouflant) vend des cuisines. Son fils, Gérald (Pio Marmai omniprésent sur les écrans pour ma plus grande incompréhension) rêve d’ouvrir un restaurant, mais la crise l’oblige à rejoindre l’équipe de son père.

    Pas sûr que cette histoire de filiation soit la dimension la plus réussie de ce film qui aurait pu se suffire à lui-même en se concentrant sur le personnage de Serge. Sa vie privée est une succession d’échecs : de chambres d’hôtels en bars à putes, il a sacrifié sa santé et sa famille à son travail. Un travail fascinant dont le film nous révèle, avec une dureté non dépourvue d’humour, les ressorts. Pour y exceller, il faut pas mal de cynisme, beaucoup de bagout et surtout énormément d’intelligence humaine.
    BeatJunky
    BeatJunky

    155 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mai 2016
    Film intéressant avec cette histoire sur le monde de la vente et des vendeurs plus particulièrement. Le scénario est vraiment bien mis en scène par Sylvain Desclous mais vaut surtout le coup d'oeil pour son interprétation impeccable! Pio Marmai et plus particulièrement G Melki, sont carrément extra . Il rend en effet son personnage très touchant en essayant d'éviter à son fils de faire les mêmes erreurs et d' avoir la même vie que lui car vendeur est plus qu'un métier: c'est une façon de vivre, une façon d'être avec cette faculté de séduire ses clients... Ici Melki, à l'heure du bilan se rend compte qu'il n'aura pas séduit et endormit que ses clients.... C'est exactement ce qu'il voudrait éviter à son fils. Scénario original, mise en scène simple sans longueurs, des acteurs convaincants.... Bref, un bon moment ciné.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    329 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2016
    Ce n'est jamais facile de faire son premier film, mais ça l'est encore moins lorsqu'on s'attaque à un sujet courant que tout le monde connaît (enfin, disons plutôt « croit connaître »). Et quoi de plus banal que le monde du commerce et des vendeurs ? Et bien, contre tout attente, Sylvain Descloux évite tout préjugé contemporain en nous proposant de rentrer littéralement dans ce milieux finalement méconnu du grand public tel un investigateur secret à la recherche d'une vérité. Pour cela, il nous propose de suivre Serge, LE vendeur par excellence, LA « Rolls Royce» de la vente que tous les magasins s'arrachent pour qu'il donne des leçons sur son art si parfaitement maîtrisé : à lui seul, il incarne un retour sur investissement immédiat et spectaculaire ! Et d'ailleurs Descloux filme Serge au travail tel un artiste éblouissant à chaque nouvelle représentation : les séquences de vente sont brutes, avec un montage assez cut soutenu par une musique rythmée et entraînante...et oui, le spectateur est, comme le client, immédiatement sous le charme de cet irrésistible démagogue commercial et ne peut plus rien faire d'autres que d'écouter attentivement son discours et de boire ses paroles quasi religieusement. La vente est un combat acharné avec le client dont l'issue ne peut être que la victoire du vendeur (parfaitement illustré par cette incroyable scène d'ouverture où spoiler: un groupe d’hommes rassemblé dans une salle jure foi et soumission à leur cause tel des soldats se préparant à partir à la guerre
    ). Bien entendu, cette recherche totale de la vente nous est dépeinte de façon réaliste, ne nous épargnant pas de nous décrire le cynisme des techniques utilisées, qu'il s'agisse de celles des managers pour motiver leurs employés ou de celles des vendeurs pour « cueillir » les clients. Mais voilà, Descloux a l'intelligence de ne pas se contenter de ce constat cynique et grinçant : il veut nous prouver que pour arriver à un tel statut, Serge a dû sacrifier pas mal de choses. En effet, afin de combler cette soif insatiable de pouvoir et de réussite, Serge est un devenu un nomade qui écume routes et salons au volant de sa BMW, le privant cependant de toutes relations sociales avec les autres. Il a d'ailleurs divorcé et a un fils qu'il ne voit jamais. Pour oublier le naufrage affectif de sa vie, il dépense à foison son argent si facilement gagné en amusement, drogues et prostituées...et oui être le roi passe par quelques concessions. Et c'est par l'intermédiaire de son fils venu lui demander de l'aide pour devenir vendeur et d'une jeune prostituée candide et lucide qu'il va commencer à ouvrir les yeux sur le triste bilan de sa vie. L'électrochoc sera violent mais salvateur...Le film vaut aussi le coup d’œil pour les jolies prestations de ses acteurs : Gilbert Melki est magistral dans le rôle de cet homme au sommet de sa gloire dont l'attitude est à mi-chemin entre et le cowboy solitaire et le mafiosi ; à un tel point qu'il parvient à nous faire apprécier son personnage pourtant rebutant aux premiers abords vis-à-vis de son état d’esprit vomitif au possible. Pïo Marmaï continue à me surprendre et nous propose un jeune homme au charisme à la fois magnétique et mystérieux dont la frustration issue de son échec professionnel le pousse à devenir celui qu'il a toujours détesté (ou comment le poisson rouge se transforme en requin !). Et, même si sa présence est moindre à l'écran, n'oublions pas la mignonne Sara Giraudeau qui incarne avec une justesse inouïe cette jeune prostituée au regard enfantin et au corps d’adolescente mais dont l'extrême lucidité de leur situation ( spoiler: « Un vendeur et une pute, c’est à peu près la même chose ! »
    ) va amener Serge a remettre en cause son train de vie pour commencer à accepter de vivre des moments de délices. Voilà, "Vendeur" se révèle être un premier film agréable et intéressant malgré son sujet de base pourtant peu attractif (les zones industrielles et les magasins de cuisine). De façon assez inattendue, Sylvain Descloux nous offre un portrait plutôt acide d'une profession jouant sur les apparences doublée d'une intéressante réflexion sur le choix de vie, la place des interactions sociales et plus particulièrement sur la relation père/fils au sein d'un monde où le pouvoir et le fric passent bien avant les valeurs humaines. Crédible, pudique et efficace, servi par un casting de talent, "Vendeur" est la preuve vivante que le cinéma français peut encore raconter des choses et nous séduire.
    Maxence!
    Maxence!

    16 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2016
    Caricatural, un peu, mais pas tant que cela, il suffit de faire un tour à la foire de Paris même si tous les VRP ne carburent pas à la cocaïne et aux escorts. Au-delà, un hymne à la passion et au professionnalisme que l'on soit cuisinier ou vendeur et un portrait qui apporte de la complexité et du doute dans une vie balisée. Le tableau social convainc peut-être plus que l'étude psychologique.
    ffred
    ffred

    1 737 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Vendeur est le premier film de Sylvain Desclous. Difficile à croire quand on voit le résultat. Tout est réussi. La mise en scène est aussi maitrisée que fluide. La direction d'acteurs sans faille. Le scénario bien écrit, privilégiant une psychologie des personnages intelligemment étudiée et retranscrite. Le tout impose une ambiance particulière, prenante et pleine d'émotion. Une belle chronique sur les relations père/fils bien sûr, vues ici à travers une rivalité professionnelle, doublée d'une autre, bien plus amère, sur la solitude. Le film a été tourné dans de vraies zones commerciales, c'est réussi, on s'y croirait, et d'ailleurs on y croit. Et puis le monde des vendeurs vu de l'intérieur comme si on y était, si c'est le reflet de la réalisté, ça ne donne pas envie ! Le tout n'est pas très gai, mais c'est parfaitement ficelé et on passe un très bon moment. A noter la très belle prestation du trop rare Gilbert Melki, comme toujours impeccable. Un très beau premier film donc, et un réalisateur à suivre.
    cylon86
    cylon86

    2 557 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2016
    C'est un premier long-métrage très intéressant que réalise là Sylvain Desclous. Le cinéaste pose sa caméra dans des zones commerciales froides et peu accueillantes pour filmer le quotidien de Serge, vendeur depuis des années. Un homme avec le charisme et le bagout nécessaires (forcément, c'est Gilbert Melki qui l'incarne) pour réussir sa carrière, quitte à ce qu'elle soit au détriment de sa famille puisqu'il ne voit presque plus son fils Gérald. Lorsque celui-ci vient lui demander de l'aide, Serge accepte de le former au métier de vendeur et à ses combines mais quand Gérald commence à prendre des allures de son père, celui-ci ne peut que réagir... Globalement porté par un Gilbert Melki au sommet de sa forme, "Vendeur" nous plonge dans les coulisses d'une profession impitoyable où le chiffre et le nombre de ventes comptent plus que l'être humain. C'est un métier rude, pas loin de déshumaniser et dans lequel il faut chérir les relations qui ne se monnayent pas. Froid mais fortement sympathique, le film propose une histoire assez convenue qu'il sait dynamiter par le biais de ses personnages (même si Gérald est beaucoup moins intéressant que son père) tout en offrant une vision nouvelle (que l'on devine souvent sans en savoir plus) d'une profession loin d'être attrayante. C'est aussi le portrait d'un homme qui redécouvre sa part d'humanité, le tout avec des dialogues assez savoureux, une mise en scène intelligente et une bande-originale de qualité. L'essai est suffisamment concluant pour que l'on souhaite à Sylvain Desclous de poursuivre sa carrière sous les mêmes auspices.
    Jorik V
    Jorik V

    1 282 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mai 2016
    Si l’on suit le titre de ce film à la lettre on s’attend à voir une introspection du milieu de la vente. Et si effectivement « Vendeur » ausculte quelque peu ce métier si particulier, ici celui d’un vendeur de cuisine très prolifique, ce n’est pas le cœur du film. Ce contexte toutefois bien croqué sert d’emballage à la relation entre un père et son fils qui ne voyaient que très peu et qui vont apprendre à se retrouver. Une trame assez classique mains néanmoins traitée avec justesse et acuité. Et toute la force du long-métrage se situe dans l’interprétation de son duo principal.
    Gilbert Melki, beaucoup trop rare sur les écrans, se révèle l’incarnation parfaite de ce vendeur qui a tout donné pour son métier quitte à délaisser sa famille et se retrouver dans une solitude amère et triste une fois les portes du magasin où il travaille fermées. L’acteur est impérial et ce rôle lui va comme un gant. On pourrait croire qu’il a fait ça toute sa vie. Pio Marmaï, plus en retrait, ne démérite pas pour autant accompagné de bons seconds rôles. Entre autres, Sara Giraudeau qui apporte un peu de douceur dans le rôle d’une prostituée pleine de tendresse et Pascal Elso, excellent en directeur de magasin loin de toute caricature, le casting n’interpelle pas au premier abord mais s’avère parfait.
    Les liens tissés par ces deux hommes qui apprennent à se réapprivoiser sont dévoilés avec parcimonie pour nous laisser le champ libre de reconstituer les pièces d’un puzzle familial fragmenté (on ne parle jamais de la mère par exemple). Cependant, le film parait un peu triste et terne dans l’ensemble, la faute à une mise en scène trop discrète et des lieux de décor peu amènes. Les zones commerciales anonymes et sans âme n’étant en effet pas le plus beau des décors de cinéma. « Vendeur » ne souffre pas en revanche pas de longueurs et égratigne en passant la course au profit de ces grands magasins qui ne se soucient pas de l’humain pour engranger des ventes. Pas inoubliable de par un manque d’ampleur vraiment cinématographique mais sympathique au demeurant.
    jiji1459
    jiji1459

    18 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2016
    Excellent film même si la caricature des vendeurs est un peu poussée. Une peinture de personnages formidable. Un Gilbert Melki au top avec Pio Marmaï en contre point. Un conseil .... allez voir ce film avant de vous décider à acheter une cuisine !
    dominique P.
    dominique P.

    846 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2016
    J'ai beaucoup apprécié ce film.
    La mise en scène et l'interprétation sont très bonnes.
    On a sur l'écran exactement le film auquel on s'attend.
    C'est à la fois accrocheur et subtil.
    Steph N.
    Steph N.

    41 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2016
    Ah l'argent... ah la vente.... Beau portrait du pere et du fils dans ce monde où le vendeur cuisine ses clients ... intéressant...
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2016
    Ce film est une vraie bonne surprise, avec un synopsis a priori très banal. Je ne serais pas allée le voir sans la lecture de l’une ou l’autre très bonne critique.

    L’histoire est complexe et subtile, superbement jouée par le duo Gilbert Melki/Pio Marmaï, avec une mention spéciale pour Sarah Giraudeau. Le film traite de la relation père / fils. Le fils a déjà plus de trente ans. L’implication progressive de son père dans leur relation, lui sera salutaire.

    C’est une très belle histoire, empreinte parfois d’ironie voire de cynisme, mais aussi de lucidité et de bienveillance, parvenant à hisser la banalité dans un champ qui fait joliment sens.
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