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Un visiteur
3,5
Publiée le 3 octobre 2015
Un film plutôt sympa qui change des comédies nunuches franchouillardes qu'on voit trop souvent en ce moment. J'ai beaucoup aimé le concept du film d'apprendre à se connaitre sans se voir. Mention spéciale à Manu Payet qui apparaît très brièvement mais qui est toujours aussi efficace. Seul petit bémol : la métaphore du pigeon et de la tourterelle n'est pas utilisée jusqu'au bout. spoiler: On aimerait les voir réunis à la fin du film vu que les personnages se retrouvent, mais bon tant pis. Ok c'est un détail mais je trouve ça dommage.
En tout cas, coup de chapeau à Clovis Cornillac qui réalise ici une très bonne première comédie.
Pas évident de lorgner sur les comédies américaines, et malgré une bonne idée de départ et quelques scènes vraiment drôles, le film s'enlise par manque de rythme et par son aspect répétitif. Mélanie Bernier est par contre irrésistible en voisine catastrophique, à la fois coincée et malicieuse.
tellement difficile de faire une vraie bonne comédie, style ô combien plus hardu qu'il n'y parait. Le cinéphile compulsif que je suis est rarement, vraiment rarement, enthousiaste concernant les films "dits de comédie", et qui parfois même sont de gros succès publics. (en date "la famille bélier" que j'avais trouvé navrant sur toute la ligne). Alors quand par magie un film réussit la légèreté en évitant l’écueil de la facilité, à être tendre sans être putassier, bien dialogué sans être verbeux, rythmé sans jamais s'essouffler, inventif jusqu'à l'absurde, que de bonheur pour le cinéphile par trop frustré dans cette catégorie de genre. "Un peu beaucoup aveuglément" réussit tout cela et se délecte comme une bulle de champagne. On en redemanderait presque...
Très bon film de Clovis cornillac. Le scénario est original, les acteurs exceptionnels. Une comédie à la française comme on aimerait en voir plus souvent.
Clovic Cornillac se lance dans la comédie romantique originale sur ole pitch de lancement, deux rejetés de la société qui se prennent de sentiments alors qu'ils ne se sont jamais vus et entretiennent une relation derrière une cloison. Dans le genre romantisme, les codes sont respectés mais entre un rythme un peu lent et quelques niaiseries, on en sort pas totalement convaincu.
C'est vrai que je suis très client de ce genre de film et que j'aurai du mal à écrire une critique objective. Mais bien qu'il respecte intégralement les codes du genre (rencontre impromptue, coup de foudre, engueulade, happy-end), Clovis Cornillac, pour son premier film comme metteur en scène, arrive à insuffler suffisamment d'originalité, de rythme, de gaieté, d'humour, pour emporter l’adhésion. Lui qui est plutôt habitué comme acteur aux rôles physiques (Scorpion, Le Serpent, etc), il tente le pari (réussi) de la comédie romantique. Par quoi commencer ? Déjà par le pitch de base complétement farfelu. Deux voisins séparés par une cloison où l'on entend tout tombent amoureux, se considèrent comme en couple alors qu'ils ne sont jamais vus ! Ce qui donne la scène surréaliste du repas où les deux avec leurs ami(es) dînent ensemble face à un mur. Si Cornillac en savant fou bourru fait plus ou moins du Cornillac, j'ai découvert la jeune Mélanie Bernier dont les grosses lunettes, les mimiques, la maladresse, la naïveté sont craquantes. Même quand elle jure avec sa voix cassée, elle est énorme ! Cette histoire est totalement improbable. La fin aussi. spoiler: Machin qui défonce son mur, Machine qui se précipite sur lui pour l'embrasser alors que finalement elle ne l'a jamais vu. Mais c'est pour ça que j'aime le cinéma. Car plus c'est gros (comme servir du boudin-purée de chez Picard lors d'un dîner romantique) et plus ça marche. Bref, en un mot comme en cent, le mari derrière la caméra, la femme au scénario, ont accouché d'un film aussi bon que la cuisine de Machine est brûlée. Improbable, certes mais qu'est ce que c'est bon.
”Un peu, beaucoup, aveuglément!” est un film français très célèbre; il est un comédie romantique. Le film est d'un homme et une femme qui sont très différentes. La femme s’appelle Machine et elle est un pianiste très célèbre. Elle a pratiqué du piano les vingt-quatre heures parce que elle présenterai un récital qui est très important. Aussi il y a un homme s’appelle Machin, il est silencieux et très occupé et il travaille toujours. Le problème consiste en qu'il y a un mur très mince en les séparant. En conclusion ils sont très différents. À la fin ils commencent à se connaître. Le film est très amusant et drôle. Il est plein des surprises. C'est aussi quelque chose dont tous peuvent jouir de cet film.
Le pitch est vraiment original avec cet homme et cette femme qui arrivent à se séduire à travers une fine cloison. Mais on pouvait toutefois penser que le concept s'étiolerait au fur et à mesure du film, lequel baisse un peu de rythme au milieu. Il redécolle cependant à partir du dîner à quatre. Les acteurs sont excellents, les situations cocasses mais pour un métrage si bavard, je le trouve plutôt taiseux en ce qui concerne le prof de piano. Qui est-il vraiment ? Le père ? Un mentor ? Un ancien amant ? On ne sait pas et peu importe finalement ?
Un film léger et intelligent avec une pointe de poésie qui fait du premier film de Clovis Cornillac une réussite. Un scénario original et bien ficelé avec le souci du travail bien fait. On passe un vrai bon moment !
Une comédie romantique très comique, très romantique, une jolie histoire, c'est beau et on en raffole ! Merci Clovis Cornillac pour ton premier film en tant que réalisateur, bravo !
Comédie romantique d'abord très originale et assez inattendue qui devient plus conventionnelle à mesure que la relation du couple se normalise. Le duo Cornillac-Bernier a du mal à être complice à l'écran (un peu logique vu l'histoire) mais parvient tout de même à être attachant (surtout au début du film).