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Votre avis sur Un peu, beaucoup, aveuglément ?
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vu sur Netflix.
comédie pétillante et sympathique.
Voisin et Voisine , la cohabitation.. à travers la
cloison. Pour le pire et le
meilleur...
Film joyeux
comédie pétillante et sympathique.
Voisin et Voisine , la cohabitation.. à travers la
cloison. Pour le pire et le
meilleur...
Film joyeux
L'idée est bonne, la talentueuse charmante et timide pianiste est fort sympathique mais Clovis Cornillac n'est pas du tout crédible dans son rôle d'inventeur fou ! Il y a quelques trouvailles qui nous provoquent un léger sourire mais c'est un peu mièvre comme comédie. Je ne suis pas convaincu qu'on puisse se voir mieux sans se voir, de plus le spectateur joue le rôle d'un voyeur dans chacun des appartements. Il me semble que bien des leviers comiques auraient pu être activés davantage et c'est un sentiment de frustration comique qui nous habite à la fin.
À mon avis, le scénario est très diiférente et innovant. Ça ne tombe pas sous le critère de cliché romantique. Un très bonne style de montre comment d'être ensemble sans être ensemble.
spoiler:
Un peu, beaucoup, aveuglément est un film idiot et léger avec une bonne distribution. Vous devez simplement suspendre votre croyance ou toute l'intrigue s'effondre et je ne parle même pas de l'idée que deux personnes qui ne se sont jamais vues accepteraient d'être en couple. Mais le fait qu'un inventeur ne pourrait pas inventer un moyen d'ajouter une insonorisation à son côté du mur est peu crédible. Je me suis dit qu'il allait finir par éclater (même si je pensais que leur relation serait plus avancée, qu'ils auraient vécu ensemble et décidé ensemble de mettre une porte). Donc clairement il ne se souciait pas de la destruction de la propriété. J'imagine que le fait qu'il ait brisé le mur avec la création sur laquelle il travaillait pendant 7 ans était censé être symbolique. De plus la scène où elle jouait du piano quand ses cheveux sont tombés et que ses lunettes se sont envolées était digne de grincer des dents. La partie à la fin où elle a heurté la tête de son professeur de piano (que je pensais être son père) était inattendue et géniale. Donc dans l'ensemble un film un peu ringard mais aussi bon pour cette raison exacte...
Romance très mignonne et originale, entre deux êtres particuliers, attachants, très loin des clichés habituels du genre.
Je classerai ce film dans comédie romantique et film d'amour vu sur chérie25 en juillet 2020. C'est l'histoire d'un voisin barbu, veuf, bricoleur et qui connaît un peu la musique classique. Et la voisine est 1 femme célibataire, romantique, brune, qui porte un chignon et des grandes lunettes.
spoiler:
Pendant presque les 25 premières minutes film, les 2 personnages principaux qui sont aussi des voisins, vont faire un concours de bruits qui dérangeront l'autre, puis tout à coup, la voisine va proposer à son voisin, 1 sorte d'entente pour leurs activités respectives. Durant la majorité de l'histoire, ces 2 voisins là ne se rencontrent pas, mais ils se parlent à travers la cloison non insonorisée sans connaître l'aspect physique de l'autre.
Je mets 4 étoiles.
Je mets 4 étoiles.
Film avec une belle esthétique, histoire sans suspense mais qui présente une certaine beauté dans l'histoire d'amour.
Une comédie romantique pleine de charme et au scénario ingénieux mais qui manque un peu de rythme et tourne un peu en rond.
Un scenario tres original. Une realisation bien menée avec fraicheur et humour. Tres bons acteurs et beaucoup d'émotions !!!
Le duo Cornillac-Bernier (cette dernière éblouissante comme toujours) fonctionne très bien, et comme quoi même sans les composantes visuelle ni sexuelle, il est possible de tomber amoureux. Les personnages secondaires sont également réussis, tout comme l'écriture globale. Ce n'est pas non plus un chef d'oeuvre, on n'échappe pas à certains clichés ni rebondissements, mais je ne m'attendais pas à une telle réussite.
Pour son premier film en tant que réalisateur, Clovis Cornillac, d’après l’idée originale de sa compagne Lilou Fogli : un inventeur bougon, dont l’un des murs de son appartement est très mal insonorisé, fait tout pour que l’appartement d’à côté ne soit pas loué. Malgré tout ses efforts, il finira par l’être par une jeune pianiste préparant un concours. On ne connaitra jamais leurs prénoms, puisqu’ils s’appelleront « machin » et « machine » durant tout le film.
Machin et Machine vont tenter de « cohabiter » tant bien que mal en mettant en place un emploi du temps, vont se parler à travers le mur, et des liens vont finir par se créer. Une histoire va naître « intra-muros » : nous aurons droit à des quiproquos, des comiques de situation bien senties. Ils partageront leur quotidien comme n’importe quel couple, sauf qu’eux ne se sont jamais vus.
Certains auraient voulu déménager ou trouver une solution pour insonoriser les appartements au mieux. Machin et machine s’en accommoderont et finiront par faire de ce mur un lien, un « trait d’union », alors qu’au départ ils ne pouvaient se supporter l’un et l’autre.
spoiler: L’un et l’autre ont leurs raisons d’être comme ils sont. On comprend vers la fin du film que l’épouse de Machin est décédé il y a de cela sept ans et qu’il s’est réfugié, voire enfermé dans le travail. Machine garde la tête dans le guidon en vue de préparer son concours, donne des cours pour gagner sa vie, mais est sous la coupe d’Evguenie.
Machin va apprendre à Machine de se libérer de ses carcans, Machine va apporter à Machin de la fantaisie, une touche de douceur féminine. Ils vont chacun s’apporter ce qu’il manque à l’autre, tout ça juste en parlant, sans jamais se voir…
J’ai été surprise de ne pas voir à ce point le temps passer, de vouloir suivre à chaque scène ce qu’il se passerait à celle d’après. « Un peu, beaucoup, aveuglément » n’est certes pas un chef d’œuvre du genre (et encore, peut-être l’est-il pour certains spectateurs, cela est subjectif), mais il est assez différent des comédies romantiques que l’on peut voir habituellement. Certes, on se doute de la fin qui est sans doute « cousue » de fil blanc, tout comme l’on peut connaitre la fin de beaucoup de choses dans la vie. Mais le plus important est le chemin pris pour en arriver à cette fin.
Mon analyse complète du film sur mon blog: reves-animes.com
Machin et Machine vont tenter de « cohabiter » tant bien que mal en mettant en place un emploi du temps, vont se parler à travers le mur, et des liens vont finir par se créer. Une histoire va naître « intra-muros » : nous aurons droit à des quiproquos, des comiques de situation bien senties. Ils partageront leur quotidien comme n’importe quel couple, sauf qu’eux ne se sont jamais vus.
Certains auraient voulu déménager ou trouver une solution pour insonoriser les appartements au mieux. Machin et machine s’en accommoderont et finiront par faire de ce mur un lien, un « trait d’union », alors qu’au départ ils ne pouvaient se supporter l’un et l’autre.
spoiler: L’un et l’autre ont leurs raisons d’être comme ils sont. On comprend vers la fin du film que l’épouse de Machin est décédé il y a de cela sept ans et qu’il s’est réfugié, voire enfermé dans le travail. Machine garde la tête dans le guidon en vue de préparer son concours, donne des cours pour gagner sa vie, mais est sous la coupe d’Evguenie.
Machin va apprendre à Machine de se libérer de ses carcans, Machine va apporter à Machin de la fantaisie, une touche de douceur féminine. Ils vont chacun s’apporter ce qu’il manque à l’autre, tout ça juste en parlant, sans jamais se voir…
J’ai été surprise de ne pas voir à ce point le temps passer, de vouloir suivre à chaque scène ce qu’il se passerait à celle d’après. « Un peu, beaucoup, aveuglément » n’est certes pas un chef d’œuvre du genre (et encore, peut-être l’est-il pour certains spectateurs, cela est subjectif), mais il est assez différent des comédies romantiques que l’on peut voir habituellement. Certes, on se doute de la fin qui est sans doute « cousue » de fil blanc, tout comme l’on peut connaitre la fin de beaucoup de choses dans la vie. Mais le plus important est le chemin pris pour en arriver à cette fin.
Mon analyse complète du film sur mon blog: reves-animes.com
TIREZ PAS SUR LA PIANISTE. Un peu bien sage, beaucoup le temps, aveuglément davantage. Ces murs qui nous protège, ces murs qui nous font souffrir, ces murs qui nous empêche d'aimer. Aux moments des amours, Cornillac le temps d'un instant gâche par des trous d'air scénaristiques. Tout ce met à vaciller au moment de s'y croire. Et pendant ce temps, les écureuils de Central Park sont tristes le lundi.
Clovis Cornillac réalisateur, ça méritait le coup d'œil
Une belle découverte, et par la même, rentre dans mon top trois des comédies romantiques françaises après L'Arnacœur et Prête moi ta main
Une belle découverte, et par la même, rentre dans mon top trois des comédies romantiques françaises après L'Arnacœur et Prête moi ta main
Très bon film avec une jolie romance humoristique. On regrettera peut être un peu certaines scène que l'on voit venir mais dans l'ensemble ce film est très joli
Une bonne comédie romantique française très drôle avec beaucoup de légèreté avec Clovis Cornillac et Mélanie Bernier
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