AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
4 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Combat de Kyoshiro Nemuri ?
5
1 critique
4
0 critique
3
1 critique
2
0 critique
1
0 critique
0
0 critique
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Ce volet est le meilleur de la saga du sabreur de la pleine lune,Misumi insuffle non seulement une image comme à l’accoutumé belle et envoutante. Mais il apporte un ton ironique et drôle à ses personnages. Chacun des combats à une tension palpable,même si l'enjeu est plié d'avance. Raizo prend une réelle envergure dans ce rôle,son ton de jeu glacial colle parfaitement au personnage,il fait de lui l'un des acteurs les plus marquant qui passeront devant la camera de Misumi.
Au début des années 60, le succès de "Yojimbo" de Kurosawa, va inspirer le studio concurrent de la Daiei qui va lancer toute une série de franchises de chambaras (films de samouraïs). Après avoir lancé le premier film de la série des "Zatoïchi" en 1962, Kenji Misumi est appelé pour mettre en scène le deuxième de la série "Kyoshiro Nemuri" (aussi connu sous le nom du "Sabreur de la Pleine Lune" en France ou "Sleepy Eyes of Death" aux USA) qui totalisera 12 films entre 1963 et 1969.
Si dans le premier film Kyoshiro Nemuri avait été un personnage quasi identique à Yojimbo, Kenji Misumi va dans ce second film le rendre beaucoup plus sympathique avec cette mission de bénévolat, dans laquelle le personnage se lance pour protéger un vieux fonctionnaire du shogunat.
Kenji Misumi va surtout donner un caractère quasiment documentaire à cet épisode en introduisant énormément de faits historiques authentique à l'ère Edo dans le scénario (la christianisation persécutée, la fin des samouraïs, les pèlerinages, etc...).
Si dans le premier film Kyoshiro Nemuri avait été un personnage quasi identique à Yojimbo, Kenji Misumi va dans ce second film le rendre beaucoup plus sympathique avec cette mission de bénévolat, dans laquelle le personnage se lance pour protéger un vieux fonctionnaire du shogunat.
Kenji Misumi va surtout donner un caractère quasiment documentaire à cet épisode en introduisant énormément de faits historiques authentique à l'ère Edo dans le scénario (la christianisation persécutée, la fin des samouraïs, les pèlerinages, etc...).
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse