Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Dans l’hôpital du Yunnan où il a filmé pendant trois mois, Wang Bing a choisi de ne pas faire un film sur (la folie, l’institution...) mais avec les patients.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Antony Fiant
Un film de près de quatre heures dressant un constat accablant sur les traitements et les soins dispensés dans cet établissement du sud-ouest du pays. (...) Le choc ressenti devant "A la folie" est donc plus que grand.
Première
par Christophe Narbonne
La durée titanesque d'"A la folie" trouve sa légitimité dans ce genre de séquence où Bing prend le temps de cerner ses sujets pour leur donner une visibilité et, en quelque sorte, les faire exister aux yeux d'un monde qui les a symboliquement enterrés.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Caroline Vié
L'impression sordide qui se dégage de cet établissement laisse le spectateur assommé devant tant de misère humaine concentrée entre des grilles et des murs infranchissables.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
"À la folie" se révèle alors en film d’amour, ou la bienveillance à l’écran dépasse celle du regard. (…) le geste de Wang Bing est poussé à l’extrême, délaissant en monumentalité ce qu’il gagne en toucher.
Chronic'art.com
par Amélie Dubois
La place qu'adopte le cinéaste est exemplaire et rare, c'est celle d'un compagnon discret, d'un frère, jamais celle d'un chasseur de scènes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Deux des plus grands cinéastes d'aujourd'hui sont chinois : chacun à sa manière, Wang Bing et Jia Zhang-ke (...).
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La manière dont ses hommes privés de liberté, de dignité, plus ou moins de raison, en viennent à se réchauffer l'un l'autre, à se confier, à se toucher, à s'aimer parfois. Cela est très beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Si "A La Folie" a une métaphore à proposer, c'est celle du monde entier, d'une dichotomie quasi commune à tous les pays et régimes du monde, fussent-ils les plus démocratiques: faute de moyens financiers accordés à la santé, tout hôpital psychiatrique est appelé à devenir une prison.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Wang Bing poursuit son investigation de la Chine sous ses aspects du plus grand délaissement (...) le vaste tableau qu’il déploie de cette nef des fous dérivante et immobile est à la fois fascinant par les détails qu’il parvient à faire émerger et la profonde perspective d’ensemble se dessinant de proche en proche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
Dans le prolongement du monumental "A l'ouest des rails", ce documentaire de Wang Bing filme ceux que la société ne voit pas.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Charlotte Garson
La grande qualité de Wang Bing demeure son endurance, sa capacité à suivre ceux qu'il filme jusqu'à faire corps avec eux. (...) "A la folie" organise une dramaturgie, qui est celle d'une ouverture et d'une affirmation de l'individu.
Télérama
par Samuel Douhaire
Une étreinte fugace et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par La Rédaction
Une expérience éprouvante au sein d'un hôpital psychiatrique, dans une région pauvre du Yunnan, au contact de patients à peine pris en charge, rejetés et oubliés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Wang Bing signe un documentaire marquant soutenu par une approche humaine de ces hommes mis au ban de la société. "A la folie" s’avère paradoxalement être une œuvre rendue difficile d’accès par une mise en forme et des partis pris de réalisation susceptibles d’en détourner le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
Dans l’hôpital du Yunnan où il a filmé pendant trois mois, Wang Bing a choisi de ne pas faire un film sur (la folie, l’institution...) mais avec les patients.
Positif
Un film de près de quatre heures dressant un constat accablant sur les traitements et les soins dispensés dans cet établissement du sud-ouest du pays. (...) Le choc ressenti devant "A la folie" est donc plus que grand.
Première
La durée titanesque d'"A la folie" trouve sa légitimité dans ce genre de séquence où Bing prend le temps de cerner ses sujets pour leur donner une visibilité et, en quelque sorte, les faire exister aux yeux d'un monde qui les a symboliquement enterrés.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
20 Minutes
L'impression sordide qui se dégage de cet établissement laisse le spectateur assommé devant tant de misère humaine concentrée entre des grilles et des murs infranchissables.
Cahiers du Cinéma
"À la folie" se révèle alors en film d’amour, ou la bienveillance à l’écran dépasse celle du regard. (…) le geste de Wang Bing est poussé à l’extrême, délaissant en monumentalité ce qu’il gagne en toucher.
Chronic'art.com
La place qu'adopte le cinéaste est exemplaire et rare, c'est celle d'un compagnon discret, d'un frère, jamais celle d'un chasseur de scènes.
L'Obs
Deux des plus grands cinéastes d'aujourd'hui sont chinois : chacun à sa manière, Wang Bing et Jia Zhang-ke (...).
Le Monde
La manière dont ses hommes privés de liberté, de dignité, plus ou moins de raison, en viennent à se réchauffer l'un l'autre, à se confier, à se toucher, à s'aimer parfois. Cela est très beau.
Les Inrockuptibles
Si "A La Folie" a une métaphore à proposer, c'est celle du monde entier, d'une dichotomie quasi commune à tous les pays et régimes du monde, fussent-ils les plus démocratiques: faute de moyens financiers accordés à la santé, tout hôpital psychiatrique est appelé à devenir une prison.
Libération
Wang Bing poursuit son investigation de la Chine sous ses aspects du plus grand délaissement (...) le vaste tableau qu’il déploie de cette nef des fous dérivante et immobile est à la fois fascinant par les détails qu’il parvient à faire émerger et la profonde perspective d’ensemble se dessinant de proche en proche.
TF1 News
Dans le prolongement du monumental "A l'ouest des rails", ce documentaire de Wang Bing filme ceux que la société ne voit pas.
Transfuge
La grande qualité de Wang Bing demeure son endurance, sa capacité à suivre ceux qu'il filme jusqu'à faire corps avec eux. (...) "A la folie" organise une dramaturgie, qui est celle d'une ouverture et d'une affirmation de l'individu.
Télérama
Une étreinte fugace et bouleversante.
La Croix
Une expérience éprouvante au sein d'un hôpital psychiatrique, dans une région pauvre du Yunnan, au contact de patients à peine pris en charge, rejetés et oubliés.
aVoir-aLire.com
Wang Bing signe un documentaire marquant soutenu par une approche humaine de ces hommes mis au ban de la société. "A la folie" s’avère paradoxalement être une œuvre rendue difficile d’accès par une mise en forme et des partis pris de réalisation susceptibles d’en détourner le spectateur.