Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Un complexe mille-feuille, à la fois sensuel et cérébral, en tout cas profondément organique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Time Out Paris
par Alexandre Prouvèze
Elégamment maniériste et labyrinthique, Le Dos rouge surprend par son mélange de simplicité apparente, de fantaisie surréaliste, d'humour pince-sans-rire et de profondeur réflexive.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Transfuge
par Damien Aubel
Antoine Barraud, qui livre un second long-métrage comme un trip ouaté, où zigzaguent des ondes de cocasserie : une traversée des apparences, un rituel de cinéma dont l'initié serait à la fois Bertrand et le spectateur.
Critikat.com
par Morgan Pokée
"Le Dos rouge" plonge ainsi le spectateur dans le bain stimulant de la création cinématographique mais plutôt que de s’y confronter directement, le film a la belle idée de considérer ce mystère de biais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Une topographie parisienne envoûtante d’un musée à l’autre, entre les salles de Beaubourg et la maison de Gustave Moreau, en passant par le Louvre et d’autres décors «naturels» témoignant d’un style d’existence d’un raffinement presque insolite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Ce jeu de double est d'autant plus ludique qu'il ne s'accompagne d'aucune explication. Le concret et le fantasmé ne font qu'un dans ce beau film sur la création et l'insondable mystère de la gent féminine.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Louis Guichard
Érudit, élégant, à la fois expérimental et incarné, "Le Dos rouge" dépasse la satire piquante (quoique bienveillante) d'un certain cinéma français, bohème et snob.(...) Le plaisir de se perdre en conjectures, mais pas comme dans un petit thriller manipulateur : le plaisir de se perdre tout court.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Régnier
L'affichage radical-chic du projet, qui inscrit sa dynamique en spirale dans la matrice du "Vertigo" d'Hitchcock, est sublimé, à certains moments, par le talent du réalisateur à filmer les tableaux, battu en brèche à d'autres par de surprenantes saillies d'autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
À mi-chemin entre le film verbeux et le récit onirique, l’expérience révèle certes les talents d’acteur lunaire de l’impeccable Bertrand Bonello, mais elle peine à rendre contagieux le vertige éprouvé par le protagoniste. Plus théorique que charnelle, la mise en images finit par ressembler à une nature morte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Désagréable impression de voir, sous des atours « modernes », émerger un académisme contemporain qui ne dit pas son nom. Car comment qualifier autrement cette façon de convoquer des peintres habités et des poètes maudits pour produire une œuvre sans risque ni enjeu ?
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On adhère ou pas et l'on peut décrocher si l'on n'entre pas d'emblée dans un processus intellectuel où, heureusement, l'extravagance de Jeanne Balibar suscite l'adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Et stupéfaction face à un cinéma français élitiste et nombriliste qu'on croyait révolu. Mais non.
L'Obs
par François Forestier
Bonne intention, belles images, mais mon Dieu ! Quelle farine ! (...). Les amateurs du cinéma de Rohmer (il enreste, si, si !) retrouveront le parfum de "Ma nuit chez Maud". Les autres essaieront de suivre éveillés un drame aussi excitant que le spectacle de l'herbe qui pousse.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un exercice un peu vain.
Positif
par Fabien Baumann
Hélas, au cinéma, le spectateur, ne peut changer de salle sans repayer... Il faut donc subir en silence, et même accompagner Bertrand dans sa palpitante existence hors des musées.
Les Inrockuptibles
Un complexe mille-feuille, à la fois sensuel et cérébral, en tout cas profondément organique.
Time Out Paris
Elégamment maniériste et labyrinthique, Le Dos rouge surprend par son mélange de simplicité apparente, de fantaisie surréaliste, d'humour pince-sans-rire et de profondeur réflexive.
Transfuge
Antoine Barraud, qui livre un second long-métrage comme un trip ouaté, où zigzaguent des ondes de cocasserie : une traversée des apparences, un rituel de cinéma dont l'initié serait à la fois Bertrand et le spectateur.
Critikat.com
"Le Dos rouge" plonge ainsi le spectateur dans le bain stimulant de la création cinématographique mais plutôt que de s’y confronter directement, le film a la belle idée de considérer ce mystère de biais.
Libération
Une topographie parisienne envoûtante d’un musée à l’autre, entre les salles de Beaubourg et la maison de Gustave Moreau, en passant par le Louvre et d’autres décors «naturels» témoignant d’un style d’existence d’un raffinement presque insolite.
Studio Ciné Live
Ce jeu de double est d'autant plus ludique qu'il ne s'accompagne d'aucune explication. Le concret et le fantasmé ne font qu'un dans ce beau film sur la création et l'insondable mystère de la gent féminine.
Télérama
Érudit, élégant, à la fois expérimental et incarné, "Le Dos rouge" dépasse la satire piquante (quoique bienveillante) d'un certain cinéma français, bohème et snob.(...) Le plaisir de se perdre en conjectures, mais pas comme dans un petit thriller manipulateur : le plaisir de se perdre tout court.
Le Monde
L'affichage radical-chic du projet, qui inscrit sa dynamique en spirale dans la matrice du "Vertigo" d'Hitchcock, est sublimé, à certains moments, par le talent du réalisateur à filmer les tableaux, battu en brèche à d'autres par de surprenantes saillies d'autodérision.
Première
À mi-chemin entre le film verbeux et le récit onirique, l’expérience révèle certes les talents d’acteur lunaire de l’impeccable Bertrand Bonello, mais elle peine à rendre contagieux le vertige éprouvé par le protagoniste. Plus théorique que charnelle, la mise en images finit par ressembler à une nature morte.
Cahiers du Cinéma
Désagréable impression de voir, sous des atours « modernes », émerger un académisme contemporain qui ne dit pas son nom. Car comment qualifier autrement cette façon de convoquer des peintres habités et des poètes maudits pour produire une œuvre sans risque ni enjeu ?
Franceinfo Culture
On adhère ou pas et l'on peut décrocher si l'on n'entre pas d'emblée dans un processus intellectuel où, heureusement, l'extravagance de Jeanne Balibar suscite l'adhésion.
L'Express
Et stupéfaction face à un cinéma français élitiste et nombriliste qu'on croyait révolu. Mais non.
L'Obs
Bonne intention, belles images, mais mon Dieu ! Quelle farine ! (...). Les amateurs du cinéma de Rohmer (il enreste, si, si !) retrouveront le parfum de "Ma nuit chez Maud". Les autres essaieront de suivre éveillés un drame aussi excitant que le spectacle de l'herbe qui pousse.
Ouest France
Un exercice un peu vain.
Positif
Hélas, au cinéma, le spectateur, ne peut changer de salle sans repayer... Il faut donc subir en silence, et même accompagner Bertrand dans sa palpitante existence hors des musées.