Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Voici une belle oeuvre au noir, fouillant les ressorts du désarroi qui habite le personnage de Duvauchelle, poursuivi par une malédiction qui le dépasse. Finkiel et ses acteurs ? Bande de salauds, quel talent !
Nicolas Duvauchelle est magnifique dans le rôle de ce pauvre type égaré, même pas un salaud effectivement, plutôt un lâche broyé dans une société où il ne trouve pas sa place. Même lorsque une seconde chance s'offre à lui après une agression. Un drame social désespéré sur un anti-héros ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Quel acteur ce Duvauchelle. (...) Dans Je ne suis pas un salaud, filmé avec une “vérité documentaire”, il soigne chaque posture, chaque regard, chaque mimique d’incertitude. Nature et brillant. Beau et pathétique. Il contribue à donner au film son côté tragique et haletant.
La critique complète est disponible sur le site Gala
En faux dur qui a des réflexes enfantins, en marginal qui aspire à une vie tranquille, en vieil ado affolé par sa condition de père de famille, Nicolas Duvauchelle est exceptionnel. C’est peu dire qu’il porte le film. Il le justifie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Une fois de plus, Duvauchelle (et ses tatouages) est remarquable de justesse dans l'intensité désespérée de son personnage que même la solaire Mélanie Thierry ne parviendra pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sur les modes contradictoires du ressenti et du droit, "Je ne suis pas un salaud" aborde le soubassement primitif des thématiques historiques du Front National (...).
Toute la mise en scène d'Emmanuel Finkiel — les plans qui semblent vibrer de nervosité, la bande-son agressive, la musique obsessionnelle — semble refléter le désordre mental d'un homme que sa faiblesse pousse inexorablement à la violence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si, malgré ses détours, le film pèche par son personnage principal trop monolithique, qui donne au titre une signification bien ironique, le portrait se révèle fascinant, en particulier grâce à l’interprétation de Nicolas Duvauchelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Virant au plaidoyer contre l’injustice, quelque peu alourdie par certains regards condescendants, volontiers donneurs de leçons, l’œuvre peine à se clore (...). Le chemin de croix, c’est Nicolas Duvauchelle, qui l’incarne avec une précision riche d’enseignements sur une nature prenant de l’ampleur, montant en puissance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Cette critique sociale sent le mauvais Boisset à plein nez, avec son anti-héros moralement dégueulasse que Finkiel s’échine à rendre sympathique (obligeant le valeureux Duvauchelle à surjouer la contrition), alors que tout le film le condamne par ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Nicolas Duvauchelle, excellent comme jamais, mène jusqu'au bout ce mélo social qui ausculte le monde d'aujourd'hui. Pas drôle mais fort.
Le Parisien
Voici une belle oeuvre au noir, fouillant les ressorts du désarroi qui habite le personnage de Duvauchelle, poursuivi par une malédiction qui le dépasse. Finkiel et ses acteurs ? Bande de salauds, quel talent !
Ecran Large
Serré comme un café noir, brûlant comme un shot de whisky, "Je ne suis pas un Salaud" est un grand petit film, dont la rage imprègne chaque image.
Elle
Nicolas Duvauchelle incarne un paumé magnifique et fait exploser tout son talent.
Femme Actuelle
Nicolas Duvauchelle est magnifique dans le rôle de ce pauvre type égaré, même pas un salaud effectivement, plutôt un lâche broyé dans une société où il ne trouve pas sa place. Même lorsque une seconde chance s'offre à lui après une agression. Un drame social désespéré sur un anti-héros ordinaire.
Gala
Quel acteur ce Duvauchelle. (...) Dans Je ne suis pas un salaud, filmé avec une “vérité documentaire”, il soigne chaque posture, chaque regard, chaque mimique d’incertitude. Nature et brillant. Beau et pathétique. Il contribue à donner au film son côté tragique et haletant.
L'Obs
En faux dur qui a des réflexes enfantins, en marginal qui aspire à une vie tranquille, en vieil ado affolé par sa condition de père de famille, Nicolas Duvauchelle est exceptionnel. C’est peu dire qu’il porte le film. Il le justifie.
Libération
Toute la justesse de "Je ne suis pas un salaud" tient à la description clinique et acide de l’emballement de la machine policière.
Metro
Une plongée glaçante et pessimiste au coeur d’une machine sociale implacable, génératrice de pressions en tous genres.
Paris Match
Une fois de plus, Duvauchelle (et ses tatouages) est remarquable de justesse dans l'intensité désespérée de son personnage que même la solaire Mélanie Thierry ne parviendra pas à sauver.
Positif
Sur les modes contradictoires du ressenti et du droit, "Je ne suis pas un salaud" aborde le soubassement primitif des thématiques historiques du Front National (...).
Studio Ciné Live
Tout en perdition, Nicolas Duvauchelle livre une interprétation saisissante.
TF1 News
Un film intense et bluffant, admirablement servi par Nicolas Duvauchelle.
Télérama
Toute la mise en scène d'Emmanuel Finkiel — les plans qui semblent vibrer de nervosité, la bande-son agressive, la musique obsessionnelle — semble refléter le désordre mental d'un homme que sa faiblesse pousse inexorablement à la violence.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre profondément anxiogène qui jette un regard sans concession sur la société de consommation. Un tour de force.
Cahiers du Cinéma
Malgré son finale repoussoir le film trouve sa personnalité – et surtout son étrangeté – davantage dans ses à-côtés que dans le cœur de son propos.
Critikat.com
Parfait sur la forme, avec un Nicolas Duvauchelle étincelant, mais le fond pêche par trop de signifiant social.
La Croix
Si, malgré ses détours, le film pèche par son personnage principal trop monolithique, qui donne au titre une signification bien ironique, le portrait se révèle fascinant, en particulier grâce à l’interprétation de Nicolas Duvauchelle.
La Voix du Nord
Virant au plaidoyer contre l’injustice, quelque peu alourdie par certains regards condescendants, volontiers donneurs de leçons, l’œuvre peine à se clore (...). Le chemin de croix, c’est Nicolas Duvauchelle, qui l’incarne avec une précision riche d’enseignements sur une nature prenant de l’ampleur, montant en puissance.
Le Dauphiné Libéré
Sur le fil tendu d’un thriller, une dramaturgie un peu lourde de la culpabilité, qui doit sa meilleure part au jeu intense de Nicolas Duvauchelle.
Le Monde
Emmanuel Finkiel livre une chronique glaçante du malaise social.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait convaincant, malgré une fin excessive.
Les Inrockuptibles
Agression, faux coupable, remords : un thriller anxieux, habité avec intensité par Nicolas Duvauchelle.
Ouest France
Un polar ambigu avec un très fort Nicolas Duvauchelle.
Le Journal du Dimanche
À défaut d’être un salaud, Eddie est un crétin trop atrabilaire pour susciter l’empathie.
Première
Cette critique sociale sent le mauvais Boisset à plein nez, avec son anti-héros moralement dégueulasse que Finkiel s’échine à rendre sympathique (obligeant le valeureux Duvauchelle à surjouer la contrition), alors que tout le film le condamne par ailleurs.
VSD
La déchéance d’un homme, observée avec une complaisance et un sadisme révoltants.