Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Nicolas Duvauchelle, excellent comme jamais, mène jusqu'au bout ce mélo social qui ausculte le monde d'aujourd'hui. Pas drôle mais fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Voici une belle oeuvre au noir, fouillant les ressorts du désarroi qui habite le personnage de Duvauchelle, poursuivi par une malédiction qui le dépasse. Finkiel et ses acteurs ? Bande de salauds, quel talent !
Ecran Large
par Simon Riaux
Serré comme un café noir, brûlant comme un shot de whisky, "Je ne suis pas un Salaud" est un grand petit film, dont la rage imprègne chaque image.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Anne Diatkine
Nicolas Duvauchelle incarne un paumé magnifique et fait exploser tout son talent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Nicolas Duvauchelle est magnifique dans le rôle de ce pauvre type égaré, même pas un salaud effectivement, plutôt un lâche broyé dans une société où il ne trouve pas sa place. Même lorsque une seconde chance s'offre à lui après une agression. Un drame social désespéré sur un anti-héros ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Gala
par Camille Choteau
Quel acteur ce Duvauchelle. (...) Dans Je ne suis pas un salaud, filmé avec une “vérité documentaire”, il soigne chaque posture, chaque regard, chaque mimique d’incertitude. Nature et brillant. Beau et pathétique. Il contribue à donner au film son côté tragique et haletant.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Obs
par La Rédaction
En faux dur qui a des réflexes enfantins, en marginal qui aspire à une vie tranquille, en vieil ado affolé par sa condition de père de famille, Nicolas Duvauchelle est exceptionnel. C’est peu dire qu’il porte le film. Il le justifie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Clément Ghys
Toute la justesse de "Je ne suis pas un salaud" tient à la description clinique et acide de l’emballement de la machine policière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Une plongée glaçante et pessimiste au coeur d’une machine sociale implacable, génératrice de pressions en tous genres.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Une fois de plus, Duvauchelle (et ses tatouages) est remarquable de justesse dans l'intensité désespérée de son personnage que même la solaire Mélanie Thierry ne parviendra pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Éric Derobert
Sur les modes contradictoires du ressenti et du droit, "Je ne suis pas un salaud" aborde le soubassement primitif des thématiques historiques du Front National (...).
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Tout en perdition, Nicolas Duvauchelle livre une interprétation saisissante.
TF1 News
par Yves Grosjean
Un film intense et bluffant, admirablement servi par Nicolas Duvauchelle.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Toute la mise en scène d'Emmanuel Finkiel — les plans qui semblent vibrer de nervosité, la bande-son agressive, la musique obsessionnelle — semble refléter le désordre mental d'un homme que sa faiblesse pousse inexorablement à la violence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une oeuvre profondément anxiogène qui jette un regard sans concession sur la société de consommation. Un tour de force.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Malgré son finale repoussoir le film trouve sa personnalité – et surtout son étrangeté – davantage dans ses à-côtés que dans le cœur de son propos.
Critikat.com
par Nicolas Journet
Parfait sur la forme, avec un Nicolas Duvauchelle étincelant, mais le fond pêche par trop de signifiant social.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si, malgré ses détours, le film pèche par son personnage principal trop monolithique, qui donne au titre une signification bien ironique, le portrait se révèle fascinant, en particulier grâce à l’interprétation de Nicolas Duvauchelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Virant au plaidoyer contre l’injustice, quelque peu alourdie par certains regards condescendants, volontiers donneurs de leçons, l’œuvre peine à se clore (...). Le chemin de croix, c’est Nicolas Duvauchelle, qui l’incarne avec une précision riche d’enseignements sur une nature prenant de l’ampleur, montant en puissance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le fil tendu d’un thriller, une dramaturgie un peu lourde de la culpabilité, qui doit sa meilleure part au jeu intense de Nicolas Duvauchelle.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Emmanuel Finkiel livre une chronique glaçante du malaise social.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un portrait convaincant, malgré une fin excessive.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Agression, faux coupable, remords : un thriller anxieux, habité avec intensité par Nicolas Duvauchelle.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un polar ambigu avec un très fort Nicolas Duvauchelle.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
À défaut d’être un salaud, Eddie est un crétin trop atrabilaire pour susciter l’empathie.
Première
par Christophe Narbonne
Cette critique sociale sent le mauvais Boisset à plein nez, avec son anti-héros moralement dégueulasse que Finkiel s’échine à rendre sympathique (obligeant le valeureux Duvauchelle à surjouer la contrition), alors que tout le film le condamne par ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Bernard Achour
La déchéance d’un homme, observée avec une complaisance et un sadisme révoltants.
L'Express
Nicolas Duvauchelle, excellent comme jamais, mène jusqu'au bout ce mélo social qui ausculte le monde d'aujourd'hui. Pas drôle mais fort.
Le Parisien
Voici une belle oeuvre au noir, fouillant les ressorts du désarroi qui habite le personnage de Duvauchelle, poursuivi par une malédiction qui le dépasse. Finkiel et ses acteurs ? Bande de salauds, quel talent !
Ecran Large
Serré comme un café noir, brûlant comme un shot de whisky, "Je ne suis pas un Salaud" est un grand petit film, dont la rage imprègne chaque image.
Elle
Nicolas Duvauchelle incarne un paumé magnifique et fait exploser tout son talent.
Femme Actuelle
Nicolas Duvauchelle est magnifique dans le rôle de ce pauvre type égaré, même pas un salaud effectivement, plutôt un lâche broyé dans une société où il ne trouve pas sa place. Même lorsque une seconde chance s'offre à lui après une agression. Un drame social désespéré sur un anti-héros ordinaire.
Gala
Quel acteur ce Duvauchelle. (...) Dans Je ne suis pas un salaud, filmé avec une “vérité documentaire”, il soigne chaque posture, chaque regard, chaque mimique d’incertitude. Nature et brillant. Beau et pathétique. Il contribue à donner au film son côté tragique et haletant.
L'Obs
En faux dur qui a des réflexes enfantins, en marginal qui aspire à une vie tranquille, en vieil ado affolé par sa condition de père de famille, Nicolas Duvauchelle est exceptionnel. C’est peu dire qu’il porte le film. Il le justifie.
Libération
Toute la justesse de "Je ne suis pas un salaud" tient à la description clinique et acide de l’emballement de la machine policière.
Metro
Une plongée glaçante et pessimiste au coeur d’une machine sociale implacable, génératrice de pressions en tous genres.
Paris Match
Une fois de plus, Duvauchelle (et ses tatouages) est remarquable de justesse dans l'intensité désespérée de son personnage que même la solaire Mélanie Thierry ne parviendra pas à sauver.
Positif
Sur les modes contradictoires du ressenti et du droit, "Je ne suis pas un salaud" aborde le soubassement primitif des thématiques historiques du Front National (...).
Studio Ciné Live
Tout en perdition, Nicolas Duvauchelle livre une interprétation saisissante.
TF1 News
Un film intense et bluffant, admirablement servi par Nicolas Duvauchelle.
Télérama
Toute la mise en scène d'Emmanuel Finkiel — les plans qui semblent vibrer de nervosité, la bande-son agressive, la musique obsessionnelle — semble refléter le désordre mental d'un homme que sa faiblesse pousse inexorablement à la violence.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre profondément anxiogène qui jette un regard sans concession sur la société de consommation. Un tour de force.
Cahiers du Cinéma
Malgré son finale repoussoir le film trouve sa personnalité – et surtout son étrangeté – davantage dans ses à-côtés que dans le cœur de son propos.
Critikat.com
Parfait sur la forme, avec un Nicolas Duvauchelle étincelant, mais le fond pêche par trop de signifiant social.
La Croix
Si, malgré ses détours, le film pèche par son personnage principal trop monolithique, qui donne au titre une signification bien ironique, le portrait se révèle fascinant, en particulier grâce à l’interprétation de Nicolas Duvauchelle.
La Voix du Nord
Virant au plaidoyer contre l’injustice, quelque peu alourdie par certains regards condescendants, volontiers donneurs de leçons, l’œuvre peine à se clore (...). Le chemin de croix, c’est Nicolas Duvauchelle, qui l’incarne avec une précision riche d’enseignements sur une nature prenant de l’ampleur, montant en puissance.
Le Dauphiné Libéré
Sur le fil tendu d’un thriller, une dramaturgie un peu lourde de la culpabilité, qui doit sa meilleure part au jeu intense de Nicolas Duvauchelle.
Le Monde
Emmanuel Finkiel livre une chronique glaçante du malaise social.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait convaincant, malgré une fin excessive.
Les Inrockuptibles
Agression, faux coupable, remords : un thriller anxieux, habité avec intensité par Nicolas Duvauchelle.
Ouest France
Un polar ambigu avec un très fort Nicolas Duvauchelle.
Le Journal du Dimanche
À défaut d’être un salaud, Eddie est un crétin trop atrabilaire pour susciter l’empathie.
Première
Cette critique sociale sent le mauvais Boisset à plein nez, avec son anti-héros moralement dégueulasse que Finkiel s’échine à rendre sympathique (obligeant le valeureux Duvauchelle à surjouer la contrition), alors que tout le film le condamne par ailleurs.
VSD
La déchéance d’un homme, observée avec une complaisance et un sadisme révoltants.