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Aucun sentimentalisme, pas une scène tire-larmes, mais une grande sobriété qui rend d'autant plus poignante l'odyssée de ce garçon digne au regard plein de noblesse. Remarquable !
Les images qui naissent de l'étonnant métissage technique qui charpente "Adama" lui donnent une vigueur et une modernité dignes des plus grands films de guerre et des plus vibrants appels à la paix.
Somptueux, terrible et exaltant, "Adama" est remarquable par son scénario. Le film mélange les techniques avec bonheur. (...) Au final, on sort du film bouleversé, après avoir assisté à un spectacle d'une beauté époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le rendu, moins fluide que la 3D de Pixar, est proche du stop motion. Il s’en dégage un naturalisme poétique qui culmine dans les scènes de guerre, où l’horreur le dispute aux croyances tribales. Et Rouby d’évoquer le cas de ces étrangers morts héroïquement pour la France.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cette laideur, issue d’une technologie « 3D hybride » dernier cri, fige les visages et l’action, plombe ce film pourtant paré de musiques et de paysages joliment chamarrés.
Ce voyage initiatique d'un petit Africain quittant son village pour sauver son frère des tranchées de Verdun fleure bon la spiritualité, mais souffre d'un personnage trop froid et de techniques d'animation laissant dubitatif.
Malgré l’audace du métissage des techniques d’animation, plus ou moins heureux, le film déçoit par le manque de caractérisation de son personnage principal et par un récit trop lisse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Avec "Adama", Simon Rouby innove en livrant un film d’animation aussi puissant qu’original, très remarqué au Festival d’Annecy.
Positif
Aucun sentimentalisme, pas une scène tire-larmes, mais une grande sobriété qui rend d'autant plus poignante l'odyssée de ce garçon digne au regard plein de noblesse. Remarquable !
CinemaTeaser
"Adama" n'est pas si loin de "Valse avec Bachir" dans son esthétique mais aussi dans son regard franc sur un traumatisme collectif.
Le Dauphiné Libéré
Adapté d’un roman graphique, un dessin animé plein d’une force épique, qui raconte la naissance d’un monde nouveau dans la douleur.
Le Monde
Les images qui naissent de l'étonnant métissage technique qui charpente "Adama" lui donnent une vigueur et une modernité dignes des plus grands films de guerre et des plus vibrants appels à la paix.
Le Parisien
Somptueux, terrible et exaltant, "Adama" est remarquable par son scénario. Le film mélange les techniques avec bonheur. (...) Au final, on sort du film bouleversé, après avoir assisté à un spectacle d'une beauté époustouflante.
Les Fiches du Cinéma
Une animation magnifique pour un récit en écho à l'actualité.
Metro
Joli, instructif et touchant.
Première
Le rendu, moins fluide que la 3D de Pixar, est proche du stop motion. Il s’en dégage un naturalisme poétique qui culmine dans les scènes de guerre, où l’horreur le dispute aux croyances tribales. Et Rouby d’évoquer le cas de ces étrangers morts héroïquement pour la France.
Le Journal du Dimanche
Cette laideur, issue d’une technologie « 3D hybride » dernier cri, fige les visages et l’action, plombe ce film pourtant paré de musiques et de paysages joliment chamarrés.
Studio Ciné Live
Ce voyage initiatique d'un petit Africain quittant son village pour sauver son frère des tranchées de Verdun fleure bon la spiritualité, mais souffre d'un personnage trop froid et de techniques d'animation laissant dubitatif.
aVoir-aLire.com
Malgré l’audace du métissage des techniques d’animation, plus ou moins heureux, le film déçoit par le manque de caractérisation de son personnage principal et par un récit trop lisse.