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Un visiteur
1,0
Publiée le 9 décembre 2015
Des acteurs formidables avec de bons dialogue sans vulgarités. Mais des choses sans fin. Un corps qui disparaît, re apparaît… Une enquête qui commence et qui ne se termine pas… Un nécrophage ou pas… Je ne conseil pas ce film ni queue ni ni tête. Je n ai pas apprécié ma séance et en plus l image etait réduite par rapport à l écran. Bizarre bizarre.
Dramatiquement nul. C'est le deuxième film des frères Larrieux que je vois le premier étant Le Voyage aux Pyrénées largement aussi nul. Donc le deuxième sera définitivement le dernier. Scénario sans aucun intérêt et farfelu. Personnages tous complètement improbables. Aucun humour, aucune émotion. Interminable. Interprétation médiocre dans l'ensemble. J'ai failli sortir. A fuir. Mais je n'exprime apparemment pas l'avis de la majorité...
Une plongée dans l'été, un air chaleureux et convivial, une ambiance de vacances, une ancienne maison splendide, c'est frais et rempli d'énergie, cependant cela laisse une impression finale de disjonctés, un peu trop forcé, des paroles et un fond (bien que drôles au départ) trop tournés "nymphomanie" répétitif, devenant presque ennuyeux, une intrigue qui tient moyennement la route. Cela n'enlève rien au jeu excellents de tous ces acteurs...
Absolument nul... long, ennuyeux, vulgaire, pas drôle. Le jeu des acteurs est épouvantable, Karin Viard essaie de surnager au mileu de ce naufrage cinématographique
Comment transformer une bonne journée en une super journée ? En allant voir ce film au scénario surprenant et à l'interprétation sans fautes. Le genre de film qui te rappelle pourquoi tu aimes le cinéma. Le genre de film qui fait du bien aussi.
Moins bon que les précédents films mais toujours aussi agréable à voir, cette dernière oeuvre des frères Larrieu séduit par son ton original, la qualité de jeu des acteurs, le naturel très fin avec lequel ils parlent de sexe (et sans jamais être finalement vulgaires), une grande humanité pleine de petites leçons de bonheur, de belles images parfois presque oniriques, On ne s'en lasse pas
Itinéraire de femme(s) entre jouissance, féminité, rencontre de l'homme et confrontation à la mort. Ce qui est formidable dans cette intrigue, c'est le ton léger proche de la comédie, qui domine le plus souvent alors qu'il est finalement question de savoir si mère et fille peuvent accéder au désir simultanément. Peut-on être mère et femme ? Qu'une mère soit dans le désir implique-t-il que sa fille en paie le prix ? Ou bien n'y a-t-il pas plutôt place pour tout un chacun et tout une chacune... Belle leçon sur la quête subjective de son propre désir, sur la rencontre du fantasme, de sa possible traversée pour se confronter à son au-delà. Les dialogues sont souvent truculents, suscitant de généreux éclats de rires dans la salle. Une parole se déplie et se déploie sur le sexe, cette parole s'énonce pour être entendue. Un récit donne forme à des images, une autre scène prend corps et donne vie au désir et à ses aléas. La nudité est rare dans ce film, alors qu'il ne parle "que de cul" ! Il y a de la métaphore, du rêve, du dépassement du réel dans ce film. La chorégraphie de la mort est aussi mise en scène. Voici un film hautement psychanalytique, au sens où il balise nombre d'étapes parcourues au cours d'une analyse ou d'une psychothérapie, dont la visée serait d'entendre le désir et ses aléas.
La bande annonce donnait envie mais le film déçoit. Les dialogues sont crus, vulgaires sans être drôles. C'est juste ridicule. Les réalisateurs ont sûrement voulu jouer la carte de la liberté d'expression de la femme moderne, dont la presse a visiblement été sensible. Pas moi. Le scénario est pauvre, l'histoire prend un chemin totalement improbable ... Je me demande toujours l'intérêt du film, la morale qu'il peut y avoir derrière. Les acteurs jouent mal. Isabelle Carré, comme toujours. Seule Karin Viard se démarque malgré ce rôle qui ne lui va pas du tout. Une étoile pour les paysages et Karin Viard.
Je mets la moitié des points essentiellement pour Karine Viard, qui a décidément un potentiel comique énorme !! Elle nous raconte ses ébats avec un discours tellement cru et une telle légèreté, et pourtant même pas vulgaire sortant de sa bouche ! L'histoire en elle-même est faite de bric à brac et se noie au fur et à mesure, mais ça passe.
Que reste-t-il d'un joli film présentant quelques moments de sublime ? Le meilleur, évidemment. Les acteurs, les premiers, les seconds, si bons, tous beaux. Karin Viard est incroyable ! Ses monologues magnifiquement écrits... Moi-même je n'ai pas été mauvais, puisque... je suis sorti de mon corps.
Film sans aucun intérêt, d'une vulgarité non nécessaire au film , vulgaire est un faible mot. Film sans aucun sens ; je me demande comment une actrice comme Isabelle Carré ait pu aller se fourvoyer dans un tel film.
Comme ils aiment le faire, les frères Arnaud et Jean-Marie Larrieu partent d'une situation a priori anodine – une femme qui vient enterrer dans un hameau de l'Aude sa mère qu'elle n'a presque pas connue – pour nous embarquer sur des chemins totalement inattendus, entre féerie, loufoquerie, érotisme, et perversions en tous genres. Ce conte moderne interroge avec malice les questions de la vieillesse, de la mort, du désir, du rapport à la nature, de la famille et de la filiation, ne se privant pas de relier ces notions de manière délicieusement subversive. Isabelle Carré, Karin Viard, André Dussollier, Denis Lavant et Laurent Poitrenaux sont absolument géniaux dans des rôles périlleux. La forêt et la montagne environnante, filmées avec maestria, contribuent à créer une atmosphère envoûtante et étrange. La musique, signée Nicolas Repac, est superbe. Une vraie réussite.
Barré. C'est le mot qui m'est venu en sortant de la salle. Ce film est vraiment bizarre et part en vrille petit à petit. Le personnage de Karin Viard est amusant, les acteurs jouent bien, mais l'histoire et son évolution m'ont fait décrocher lentement mais sûrement. Critique complète à lire sur mon blog.