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Lutin Facetieux
3 abonnés
1 critique
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2,0
Publiée le 30 octobre 2024
Ce film a le grand mérite d'aborder un sujet rarement traité au cinéma. Le casting est très bon. La mise en place prend son temps, ce n'est pas forcément un défaut. On ne s'ennuie pas mais on guette la scène qui va donner de l'épaisseur à l'intrigue, révéler des enjeux. Cette scène spoiler: - la descente de Police - arrive assez tardivement et déclenche surtout une succession de séquences aussi invraisemblables les unes que les autres. Cerise sur la gâteau, la scène finale mérite la palme de la vacuité tant elle parait totalement déconnectée. Avis très mitigé en somme.
Je trouve se film orrible chocant monstrueux ignoble et surtout cette fille dans le film qui continue a faire le trafic alors quel c est que c est inegal et monstrueux pour les chiot et des chiots meure c est attrosse et c est du nimporte koi et quand elle fais expres de rendre le malinois agressif pour quel sois attaquer attentiennelement sa aussi c est vraiment nimporte koi et surtout sa va montrer au gens qui on peur de ses chien et qui trouve c est chien agressif encore plus agressif et monstrueux 😠😠😠
Laurent Larivière livre un premier long-métrage prometteur, s'appuyant sur une Louise Bourgoin investie, qui livre une belle performance. L'ensemble sonne juste et l'intrigue a le mérité d'évoluer dans un contexte original, mais on pourrait reprocher au scénario un manque d'approfondissement des personnages, dont le passé ou les motivations sont trop survolés ou trop implicités, ce qui nuit au sentiment d'empathie.
le sujet abordé est vraiment originale et mérite le coup d œil, cependant le film dans son ensemble peine à convaincre sûrement dut à une réalisation très plate et donc l ensemble est très convenue même si certains moments sont fort il manque une profondeur dramatique à ce film sombre et glauque sur ce milieu des traffics animaliers ou chacun perdu son humanité au détriment du traffic. Louise Bourgoin femme perdu écorchée ce reconstruit dans ce milieu pourri et dont il faut dire l interprétation porte le film tout comme jean luc anglade. vraiment dommage car au final il manque quelque chose pour en faire un film fort.
Plutôt pas mal . On est touché par l'histoire plutôt originale. Jean Luc Anglade a fait mieux mais Louise Bourgoin se débrouille très bien ! La fin est un poil décevante mais le récit de ce drame social est réussi.
Je n'ai absolument rien compris à ce film, qui dépeint le trafic de chien d'une façon ridicule. La psychologie des personnages est totalement artificielle. Le misérabilisme social est tellement caricatural et à côté de la plaque que ça en devient risible.
Louise Bourgoin interprète magnifiquement ce rôle de jeune femme un peu paumée. Au chômage, elle ne laisse pas abattre et rebondit rapidement même si ses activités sont maintenant plutôt illégales. En effet le trafic de chiens en tout genre devient son activité lucrative au côté de son oncle, le très charismatique J. H. Anglade. La jeune femme va rapidement s'habituer à son nouveau métier et y prendre plaisir. Jusqu'au jour où elle décide de laisser tomber. Mais c'est pas si facile. Son oncle ne le voit pas de cet œil là. La film est lent au début mais c'est beau, il y a l'ambiance du Nord et de la Belgique. C'est pendant la seconde partie du film que le film prend de l'ampleur.
Film assez noir bien ficelé, qui nous immerge complètement dans le monde des chenils. Jean Hugues Langlade a un rôle étonnant qui nous montre la vérité du milieu canin.
Je suis un soldat souffre du syndrome appelé " Cinéma Français " ! J'entends par là, son réalisateur est surement pleins de bonnes intentions mais qu'il se trompe en majeur partie. Je vois d'ici l'approche, film au contact de la France rurale, sur les prolos désemparé mais vu de part le misérabilisme de circonstance avec pour but de magnifier ses sujets ... Alors oui, Laurent Larivière dont Je suis un soldat est son premier film capte bien l'atmosphère, mais son regard pèse, s'embourbe et ne décolle au fond jamais. Les acteurs pataugent aussi, ils essayent, trop même ... Beaucoup de longs métrages me son venu en tête lors de ce visionnage, Bullhead surtout, ce dernier était tout simplement bouleversant. Ce film-ci, en revanche réussit là ou il vise, échoue sur ce qu'il confronte !
Pas tout à fait convaincant car pas assez ambitieux, ce drame social pourrait aussi bien être un téléfilm, du fait d'une réalisation un peu plate, s'il n'y avait la belle prestation de Louise Bourgoin.
Film assez mal éclairé et photographié, mais qui tient le coup grâce à Louise Bourgoin, actrice bluffante de justesse. C'est vraiment incroyable l'aisance de cette actrice, dans tous ses rôles.
Film médiocre sur un sujet pourtant intéressant. Les acteurs sont plats, leur jeu forcé voir incohérent, surtout Louise Bourgoin. La photographie est mauvaise, tout comme la réalisation et les dialogues. Bref, vous avez sûrement beaucoup mieux à faire en 01h40 que de regarder ce navet.
S’il n’est qu’un avatar supplémentaire du traitement de la Crise et de la dénonciation de la déshumanisation intrinsèque au néo-libéralisme par le cinéma français, “Je suis un soldat� a au moins le mérite d’aborder les choses sous un angle quelque peu inhabituel. Sandrine est une jeune femme en complet déclassement social et économique qui, faute de mieux, se raccroche à une proposition de son oncle de travailler dans son chenil. Elle ne tarde pas à découvrir que le chenil est la plaque tournante d’un trafic de chiots en provenance d’Europe de l’est. Déterminée à s’en sortir par tous les moyens, Sandrine s’impose peu à peu dans ce milieu machiste et impitoyable...jusqu’à ce que la pression et le dégoût l’emportent sur toute autre considération. Aujourd’hui, le film social francophone, chez Pierre Jolivet ou même chez les Dardenne, se teinte parfois de codes empruntés au polar, et c’est plutôt une bonne nouvelle. Dans sa description précise et parfois rude du milieu de la contrebande de chiens, “Je suis un soldat� fait également acte de documentaire. Pour le reste, le résultat, pas mauvais pour un premier coup d’essai mais pas non plus exempt de maladresses et de clichés, vaut surtout pour la prestation de Louise Bourgoin, qui porte le film et son personnages à bout de bras, et celle du trop rare - sauf en cas d’attentat! - Jean-Hugues Anglade.