Mon compte
    Tokyo Fiancée
    Note moyenne
    3,3
    692 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Tokyo Fiancée ?

    84 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    26 critiques
    3
    25 critiques
    2
    19 critiques
    1
    7 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    dominique P.
    dominique P.

    837 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2015
    J'ai beaucoup apprécié cette charmante comédie.
    C'est très agréable à visionner, on passe un bon moment de cinéma et de détente.
    Nicolas G.
    Nicolas G.

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2015
    Très beau film. le côté lumineux de la période japonnaise d'Amélie Nothomb (on devine le côté sombre de stupeur et tremblements en filigrane) On sort de la salle avec une grande envie de découvrir ce pays et de s'y perdre comme l'héroïne
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 mars 2015
    Drôle, subtil & poétique, on passe un très bon moment...j'ai beaucoup aimé !
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2015
    Assez inventif formellement avec ses vignettes "nippones" pleines d'humour, le film reprend les jalons posés par Amélie Nothomb : une loufoquerie à toute épreuve, de l'autodérision (et même de l'autodépréciation, souvent) et une déclaration d'amour au Japon qui n'empêche pas un rapport ambigu avec ce pays fascinant. (...) Pauline Etienne est remarquable, on jurerait voir Nothomb, avec plus de légèreté tout de même, et son partenaire Taichi Inoue a ce qu'il faut de charme et de retenue toute japonaise. Sans être renversant, le film adapte fidèlement Nothomb et donne envie de se replonger dans son œuvre.

    LA SUITE :
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 mars 2015
    C'est un joli film très réussi ! On prend plaisir à découvrir cet autre aspect du Japon un peu méconnu du grand public et à suivre les aventures d'Amélie, incarnée par une Pauline Étienne à la fois pétillante et très attachante dans son rôle. À voir !
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2015
    D’après le roman d’Amélie Nothomb « Ni d’Eve ni d’Adam ».

    Amélie revient au Japon à 20 ans, y ayant passé une partie de son enfance, avec le désir de devenir une « vieille écrivaine japonaise ». Le film raconte sa relation avec un jeune japonais à qui elle donne des cours de Français.

    Film frais et juvénile, avec une note plus grave à la fin, joliment joué, tourné dans un décor varié et plaisant qui donne envie d’aller au Japon, raconté dans un langage travaillé et fantasque.

    C’est un film sans prétention, dont la légèreté fait beaucoup de bien, surtout dans sa première partie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 mars 2015
    C'est un très beau film, plein de poésie et de douceur. Stefan Liberski réalise là un deuxième portrait de jeune fille en fleur (voir Baby Balloon) extrêmement réussi, sensible et juste. C'est aussi, bien sûr, la rencontre entre deux visions qui se croisent sur le Japon. Magnifiques images! A voir et à revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Film délicieux, tendre, espiègle, plein de fraîcheur et d'étonnement, comme le regard que pose l'héroïne sur le Japon, ce pays fantasmé de son enfance qu'elle redécouvre à travers les éclats que lui en montre son amoureux japonais. Les images sont superbes, admirablement servies par une bande son impeccable. C'est un excellent moment de cinéma. Rare!
    Lunettes noires
    Lunettes noires

    32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2015
    Le ton de la bande-annonce avait l'air plutôt tendre et poétique ; le rapprochement avec "Amélie Poulain" s'imposait : le thème musical est dans le même registre. Et, au cas, où le spectateur ne s'en soit pas rendu compte par lui-même (faudrait être un peu niais !), cette bande-annonce se charge de le rappeler lourdement en précisant bien que ce film est un mix entre "Amélie Poulain" et "Lost in Translation" (n'importe quoi !…Ah non, en fait, je pense avoir trouvé LE seul et unique rapport avec "Lost in Translation" : l'action se déroule au Japon !) La première partie du film est plutôt drôle, délicate et drôle. L'héroïne empreinte de douceur et de fraicheur, un peu Tintin sur les bords (du moins, dans cette partie du film), va nous faire découvrir de jolies cartes postales sur le Japon, même si on n'évitera pas les clichés habituels et inévitables du Japon moderne (karaoké et gadgets/robots un peu débiles à nos yeux). Malheureusement, la suite ne m'a pas convaincu. L'histoire évolue au fur et à mesure que l'héroïne prend conscience des difficultés pour s'acclimater à ce monde qu'elle a du mal à comprendre : finie la poésie, la fraicheur, la douceur…place à une histoire d'amour un peu bancale entre deux êtres que tout oppose. Voilà, voilà…

    Mais pourquoi ai-je voulu me fier à une bande-annonce ?
    Jack K.
    Jack K.

    13 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2015
    La vie de miss Nothomb est bien racontée dans ce mignon petit film. Le souci vient du fait que la vie de miss Nothomb, même enjolivée par les belles images de Stefan Liberski n'a aucun intérêt. Du coup , le film non plus. On est resté jusque à la fin, parce que ce n'est pas mauvais au point d' abréger le visionnage. Mais bon...
    Eymeric B.
    Eymeric B.

    25 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2015
    Un film incroyable qui nous fait visiter le Japon ! Un film coloré dynamique et magique, quelle beau portrait !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Tokyo Fiancée, cinquième film de Stefan Liberski, sort en salles le 4 mars 2015. Il s’agit d’une adaptation cinématographique de Ni d’Ève ni d’Adam, roman d’Amélie Nothomb paru en 2007, récompensé par le Prix de Flore.

    Tout d’abord, faisons un détour par le roman. La jeune Amélie Nothomb retourne au Japon en 1989, après 16 ans d’absence. Désirant s’y établir, elle prend des cours de japonais des affaires et tente tant bien que mal de s’intégrer dans la mégapole tokyoïte. Là, elle rencontre Rinri, japonais de bonne famille, à qui elle donne de laborieux cours de français.

    Commence alors une somptueuse histoire sur le sentiment amoureux. Rinri et Amélie deviennent amants, mais ne vivent pas leur liaison de la même manière. Tandis que Rinri tombe éperdument amoureux, Amélie éprouve pour lui des sentiments profonds de tendresse, certes, mais pas d’amour. Là est la différence, finement expliquée par l’auteur, entre le “koi” et l’”ai”, nuance intraduisible en français. Le premier désigne le goût, le “koibito” étant alors une personne de plaisante compagnie : la compagnie de Rinri est au goût d’Amélie. Quant à “ai”, « mot si beau que je regrettais parfois de n’avoir pas à l’employer », il désigne l’amour fou, malmené par l’extrême pudeur japonaise. Rinri, qui met un point d’honneur à rejeter les traditions nipponnes, se grise de ce sentiment jusque-là jamais éprouvé.
    De cette différence entre “koi” et “ai” naît la conception « nothombienne » de l’amour. « Entre ces deux mots, “koi” et “ai”, il n’y a pas de variation d’intensité, il y a une incompatibilité essentielle ». Pour elle, l’amour est indissociable de la perversité, du danger, de l’horreur, du terrifiant sublime. Ici se trouve la clé de compréhension de certains de ses romans, comme Attentat ou Mercure.

    Le quiproquo grandit entre les deux amants, jusqu’au jour où Rinri la demande en mariage, en décembre 1989. Le ciel tombe sur la tête d’Amélie. Le mariage japonais, à ses yeux, détruirait toute la beauté de leur relation, les enfermerait dans un carcan de coutumes et de pressions sociales. Plus de liberté alors ! Amélie serait alors bridée dans son désir d’inconnu, comme le sont les « êtres d’eau » de son espèce. « Si je suis eau, quel sens cela a-t-il de te dire oui, je vais t’épouser ? Là serait le mensonge. On ne retient pas l’eau. » Toutefois, refuser correspondrait à une rupture. Quel dilemme !
    Une seule solution, et encore temporaire : les fiançailles, période de ni-ni bénie pour gagner du temps. L’année 1990 se déroule difficilement, en raison de l’embauche d’Amélie dans l’entreprise Yumimoto. Cette année de fiançailles est ainsi la face cachée et personnelle du célèbre Stupeur et Tremblements, dans lequel Amélie est finalement affectée aux toilettes, à cause de ses méfaits dus à son ignorance des codes, us et coutumes du monde professionnel japonais.

    Après cette longue digression, revenons au film de Stefan Liberski. Celui-ci est assez fidèle au roman, du moins au début du film, allant jusqu’à en puiser certaines répliques. (« J’ai toujours eu le lyrisme mégalomane »

    Pauline Etienne est incontestablement un élément clé de la réussite de ce film. Elle rayonne dans son rôle de jeune fille exubérante. Taichi Inoue est également convaincant dans le rôle de Rinri, et on ne peut que saluer sa performance, sachant qu’il a appris en phonétique tous ses dialogues en français, ne comprenant pas cette langue.

    Les décors sont soignés, ainsi que les cadrages, le réalisateur s’attardant sur différents paysages tokyoïtes. De Shibuya aux parcs verdoyants, en passant par les abords bruyants du métro, c’est une visite de la ville qu’on nous propose, au rythme des promenades d’Amélie et Rinri. Aux intérieurs japonais, froids et géométriques (maison des parents de Rinri) dans lesquels les traditions sont omniprésentes, s’opposent les montagnes et les espaces enneigés invitant à l’émerveillement. Les images sont colorées, collant parfaitement avec la légèreté de l’héroïne.

    La bande-son, composée par le fils du réalisateur, est éclectique et très adaptée. Se suivent des titres pop et des mélodies minimalistes d’instruments à vent japonais.

    En bref, des épisodes légers et cocasses se succèdent, emprunts de tendresse. Le film est fidèle au roman, reprenant même le concept du koi, formant un ensemble très plaisant. Jusqu’au drame.

    spoiler: Dans le roman, Rinri pense qu’Amélie a enfin accepté sa main, suite à un quiproquo. Cette dernière, effrayée et ne pouvant s’y résoudre, utilise un prétexte pour s’enfuir en Belgique… et ne pas revenir. Dans le film, un tremblement de terre violent a lieu, envoyant verres et bibelots se fracasser au sol. Suivent des images d’archives… du tsunami de 2011 ayant frappé la côte est du pays. L’histoire, sensée se dérouler au début des années 1990, est donc transposée dans les années 2010. Le réalisateur n’a pas pu s’empêcher de parler du tsunami et de la centrale de Fukushima dans un film sur le Japon. Encore un terrible cliché, qui détruit la fin du film. En effet, les japonais, Rinri le premier, pressent Amélie de partir, de fuir le danger nucléaire. Amélie s’enfuit donc, cédant aux injonctions de ses proches. Et cette fin me dérange. En effet, dans le roman, Amélie choisit de partir. Elle aurait pu rester et refuser la main de Rinri, mais elle part, obéissant à son instinct. Dans le film, nulle part de libre-arbitre, elle n’a pas le choix. Stefan Liberski, se trouvant dans la salle de cinéma, a eu cette justification : le tournage avait commencé en 2010 et s’est vu arrêté par la catastrophe de 2011. Il lui semblait impensable de ne pas mentionner cet évènement dans son film. Ensuite, même dans le roman, selon lui, Amélie ne peut que fuir. Elle n’est pas japonaise et n’a donc pas sa place dans ce pays. En outre, il s’agit d’un clin d’œil à son départ du Japon à l’âge de 5 ans, décidé par ses parents.


    Est-ce convaincant ? Sûrement. Cependant, cette fin spoiler: « tragique », ces deux amants malheureux séparés par le destin, reste assez dérangeante. Et
    entache légèrement ce film pourtant si bien commencé.
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2015
    Une jeune belge revient au Japon pour y vivre après y avoir vécu jusqu'à l'âge de cinq ans. Elle tombera amoureuse d'une jeune fils de famille à qui elle dispense quelques des cours de français. Le film la suit dans sa redécouverte du pays du soleil levant et évidemment dans cette idylle sur laquelle le scénario repose.
    Comme mon résumé, "Tokyo fiancée " est léger, très léger. Trop léger ? Sans doute car cette adaptation un peu trop fidèle d'un roman d'Amélie Nothomb ne brille ni par sa profondeur ni par son originalité. L'histoire d'amour est gentillette, sans grande passion. L'histoire somnole un peu (les sushis étaient bourratifs). L'arrière-plan quand il ne ressemble pas à un reportage touristique sur le Japon entre modernité et tradition, ne nous montre que des personnages esquissés à gros traits (la copine jalouse et énervante, les parents peut être de la mafia, ...). L'intrigue avance mollement avec quelques clichés comme l'ascension de la montagne pour faire le point sur sa vie et trouver ce que l'on désire être réellement. La mise en scène très sage et un soupçon redondante, en rajoute dans le banal en utilisant une voix off qu'elle illustre par des tableaux japonais mettant en scène l'héroïne.
    Et malgré tout cela, la vision du film n'est pas totalement désagréable. La douceur et la gentillesse que diffusent le film sont dues en grande partie à Pauline Etienne qui incarne Mme Nothomb jeune à l'écran. Elle est absolument délicieuse et craquante. Un peu Binoche, un peu Jean Seberg, elle apporte au film toute sa fraîcheur. Hélas, elle n'a pas grand chose à défendre, se contentant de quelques mines mutines et de déplacements sautillants. Cela ne fait pas un film, mais j'avoue que grâce à elle, j'ai pris un tout petit plaisir à me balader dans ce Tokyo de carte postale et de roman rose.
    Un peu plus sur le blog.
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2015
    Comme dans un très beau livre d'images la caméra de Stefan Liberski s'attarde longuement sur des paysages magnifiques et laisse en retrait la vie trépidante de Tokyo. Le film ne s'arrête que très peu sur les traditions ancestrales qui semblent, malgré tout, rester bien ancrées dans la vie japonaise d'aujourd'hui.

    La très belle photographie d'Hichame Alaouie nous offre des vues magnifiques du mont Fuji ou quantité de jardins incomparables sans oublier le très beau passage sur l'île de Sado.

    Sans rien connaître des œuvres d'Amélie Nothomb, l'ambiance qui se dégage dès le début du film m'a emporté dans une douce émotion, avec un bémol, toutefois, dû à une voix-off trop présente.

    Déjà remarquée, et remarquable, devant la caméra de Guillaume Nicloux, dans "La Religieuse", Pauline Etienne est déconcertante de naturel. Son talent et son charisme sont pour beaucoup dans la jolie réussite de ce film "Tokyo fiancée".

    Impossible de ne pas penser à Amélie Nothomb en regardant la jeune comédienne qui incarne l'écrivaine dans ce film. La belle personnalité de l'actrice reste toutefois la plus forte. Y compris dans un passage dans lequel elle joue à la "geisha d'aujourd'hui" au cours d'un dîner typiquement japonais.

    Tout au long du film elle reste ce qu'elle est, une jeune et belle actrice en offrant de beaux moments, notamment dans certains face à face avec Taichi Inoue, son partenaire tout aussi talentueux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 mars 2015
    On ne retient qu'une seule chose de ce film la présence magnifique de Pauline Etienne. Ce film est tendre en retenue comme on s'imagine le Japon et la est la réussite du film car le réalisateur s'est approprié certains codes japonais pour mieux nous en étonner. On peut cela dit regretter une musique un peu trop présente a certains moments et une propension a juste ce faire plaisir dans une suite de plans mais la presence de Pauline Etienne emporte tout et c'est beau
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top