AlloCiné
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Un film léger à l’atmosphère sympathique qui amuse dans sa première partie, avant de se perdre un peu dans quelques scènes inutiles ou pas maîtrisées qui tournent en rond et ralentissent le rythme, pour finalement retrouver le ton de son début. On pourra aussi reprocher le manque de maîtrise du second degré, qui transforme ce qui aurait du être des clins d’œil amusés en clichés qui contredisent l'esprit du film (à savoir une fille qui veut devenir japonaise), mais l'ensemble reste agréable à regarder, grâce à un duo d'acteur qui fonctionne à merveille. Au final une comédie romantique qui sort des sentiers battus.
Excellent. Tout l'univers d'Amélie Nothomb dans un film plein de fraîcheur, de beauté, de découvertes culturelle, d,exotisme
Film vide, chiant, dans lequel il ne se passe presque rien.
Au bout de 34 minutes, nos héros s'embrassent, puis ils flirtent et vivent une relation asymétrique pendant une heure ... Ce n'est pas passionnant !
Dommage qu'on n'ait pas droit aux cours de japonais ni au travail d'Amélie. Combien de fois ai-je regardé ma montre ! Au bout d'1H30, ouf, enfin de l'action, le tremblement de terre de Fukushima. Pas grave si cette fin trahit le livre de Nothomb, on est sauvés, c'est fini !
Au bout de 34 minutes, nos héros s'embrassent, puis ils flirtent et vivent une relation asymétrique pendant une heure ... Ce n'est pas passionnant !
Dommage qu'on n'ait pas droit aux cours de japonais ni au travail d'Amélie. Combien de fois ai-je regardé ma montre ! Au bout d'1H30, ouf, enfin de l'action, le tremblement de terre de Fukushima. Pas grave si cette fin trahit le livre de Nothomb, on est sauvés, c'est fini !
Voici une charmante balade japonaise avec deux tourtereaux mignons comme tout, jeunes, beaux et tendres. Leur indépendance, les rapports homme/femme sont intéressants à observer. On pense également au livre de Roland Barthes "L'empire des signes", qui donnait un aperçu de la culture japonaise... Humour et fantaisie sont souvent au rendez-vous dans cette comédie, où l'esthétique est présente et nous donne ainsi accès à des décors naturels ou urbains, qui nous ravissent. La vision du sommet du mont Fuji est un régal. Il semble qu'existe un certain engouement des japonais pour la culture et la langue françaises. L'occasion aussi de constater que l'espace francophone s'étend aussi à la Belgique et au Québec. Merci pour cette délicieuse promenade pleine de subtilité.
benoitG80
"Tokyo Fiancée" est un film assurément léger et frais, coloré et acidulé, comme un bonbon japonais en tant qu'adaptation du roman de Nothomb "Ni d'Eve, ni d'Adam"...
Mais à trop vouloir le montrer et en rester là, on reste vite sur sa faim !
Suffit-il de balader un jeune couple de deux fois 20 ans dans un Tokyo très ciblé mais très bien filmé, que j'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver, pour faire un film qui tienne la route ?
Certes, les deux personnages principaux sont plaisants, Rinri, très en retenue est tout à fait charmant comme l'est Amélie au début, elle très lumineuse et radieuse, jouant à l'enfant qui s'émerveille et s'étonne de tout...
Tout semble donc aller pour le mieux dès le début dans une ambiance pétillante, ludique et de bon aloi !
Puis à force de la voir virevolter, sourire, Amélie se précise et s'affirme en devenant petit à petit suffisante et narcissique au possible, à en devenir finalement lourde et fatigante, en arborant de plus cette moue désabusée, toujours comme celle d'une enfant, mais ici trop gâtée !
De plus la voix off, celle d'Amélie toujours, qui débite de manière monocorde ses ressentis et ses états d'âme, finit par renforcer cette impression pénible alors que le piano de la BO lui, fait tout compléter le tableau !
Et au fond, en cherchant bien, rien de bien transcendant dans ces rencontres, cette découverte amoureuse (ou pas?) de l'un vers l'autre avec ces cultures si opposées comme si on survolait tout, sans vouloir impliquer le spectateur qui suit sans trop savoir pourquoi, la vie rêvée de cette jeune-fille au Japon.
Si elle creuse apparemment sa destinée telle qu'elle la conçoit, beaucoup de réflexions sont cependant d'une pauvreté et d'une banalité confondantes, si bien qu'on se demande où on veut en venir précisément.
Et pourtant, il y aurait eu tant à mettre en avant et à développer, avec toute ces différences de culture qu'on aurait aimées retrouver sur le fond !
Encore un film ma foi, sympathique, délicat sans doute, mais aussi inutile et vain dans le sens où il n'apporte vraiment rien.
Il me semble que Pauline Etienne, dirigée dans un registre de petite fille faussement naïve, mais déterminée en voulant tout contrôler, tout expliquer, ne soit pas la meilleure idée du film et finit même par le desservir.
Globalement assez déçu par cette réalisation de Stefan Liberski, je reste surpris par le manque d'ambition et d'audace qui auraient dû être les pierres angulaires de cette histoire !
Prendre des risques et surprendre sont tout aussi importants que charmer, qui à lui seul a bien du mal à faire de l'effet malgré une superbe photographie, dont celle du mont Fuji, petit clin d'œil à la peinture de Hokusai......
Mais à trop vouloir le montrer et en rester là, on reste vite sur sa faim !
Suffit-il de balader un jeune couple de deux fois 20 ans dans un Tokyo très ciblé mais très bien filmé, que j'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver, pour faire un film qui tienne la route ?
Certes, les deux personnages principaux sont plaisants, Rinri, très en retenue est tout à fait charmant comme l'est Amélie au début, elle très lumineuse et radieuse, jouant à l'enfant qui s'émerveille et s'étonne de tout...
Tout semble donc aller pour le mieux dès le début dans une ambiance pétillante, ludique et de bon aloi !
Puis à force de la voir virevolter, sourire, Amélie se précise et s'affirme en devenant petit à petit suffisante et narcissique au possible, à en devenir finalement lourde et fatigante, en arborant de plus cette moue désabusée, toujours comme celle d'une enfant, mais ici trop gâtée !
De plus la voix off, celle d'Amélie toujours, qui débite de manière monocorde ses ressentis et ses états d'âme, finit par renforcer cette impression pénible alors que le piano de la BO lui, fait tout compléter le tableau !
Et au fond, en cherchant bien, rien de bien transcendant dans ces rencontres, cette découverte amoureuse (ou pas?) de l'un vers l'autre avec ces cultures si opposées comme si on survolait tout, sans vouloir impliquer le spectateur qui suit sans trop savoir pourquoi, la vie rêvée de cette jeune-fille au Japon.
Si elle creuse apparemment sa destinée telle qu'elle la conçoit, beaucoup de réflexions sont cependant d'une pauvreté et d'une banalité confondantes, si bien qu'on se demande où on veut en venir précisément.
Et pourtant, il y aurait eu tant à mettre en avant et à développer, avec toute ces différences de culture qu'on aurait aimées retrouver sur le fond !
Encore un film ma foi, sympathique, délicat sans doute, mais aussi inutile et vain dans le sens où il n'apporte vraiment rien.
Il me semble que Pauline Etienne, dirigée dans un registre de petite fille faussement naïve, mais déterminée en voulant tout contrôler, tout expliquer, ne soit pas la meilleure idée du film et finit même par le desservir.
Globalement assez déçu par cette réalisation de Stefan Liberski, je reste surpris par le manque d'ambition et d'audace qui auraient dû être les pierres angulaires de cette histoire !
Prendre des risques et surprendre sont tout aussi importants que charmer, qui à lui seul a bien du mal à faire de l'effet malgré une superbe photographie, dont celle du mont Fuji, petit clin d'œil à la peinture de Hokusai......
Fan de Japon, j'ai bien apprécié ce film qui vaut surtout pour la Performance de Pauline Etienne et de Taïchi Inoue ainsi que bien entendu la musique et les décors, même si ce n'est certes pas mon film préféré sur le Japon.
J'avais adoré le livre et le film ne m'a pas déçu, bien au contraire. La belle Pauline Etienne campe à merveille la jeune Amélie, indépendante, croquant la vie, qui essaye de devenir japonaise.
Belle alternance de gros plans et de plans de rues/paysages.
On se prend vraiment au jeu en se demandant ce que l'on ferait nous-même dans les diverses situations incongrues dans lesquelles elle se retrouve. Une immersion dans la culture du Japon.
J'ai aussi beaucoup aimé ses vêtements et le Big in Japan interprété par Ane Brun.
Plein d'émotions !
Belle alternance de gros plans et de plans de rues/paysages.
On se prend vraiment au jeu en se demandant ce que l'on ferait nous-même dans les diverses situations incongrues dans lesquelles elle se retrouve. Une immersion dans la culture du Japon.
J'ai aussi beaucoup aimé ses vêtements et le Big in Japan interprété par Ane Brun.
Plein d'émotions !
Encore imprégnée des cinq premières années qu’elle a passées au Japon, Amélie revient à Tokyo à vingt ans. Histoire de vérifier ou en est son rêve de devenir écrivain au pays du soleil levant. Exactement comme Amélie Nothomb… dont un des romans autobiographiques a inspiré le film ! La charmante ingénue va commencer par donner des cours de français à Rinri, un gentil « nippon… ni mauvais » (pardon !). Le titre est sans surprise : les deux tourtereaux tombent amoureux.
C’est cette aventure qui sert de trame pour dérouler un récit d’initiation aux us et coutumes locales. Avec une fascination culturelle réciproque des deux héros. L’histoire balance tranquillement entre deux pôles, modernité et tradition. A l’image des parents de Rinri, dont la rigidité apparente et le respect de principes séculaires s’accommodent parfaitement d’une cuisine bourrée de gadgets dernier cri ! C’était une volonté du réalisateur « d’osciller entre caché/ouvert, boudoir/nature, discret/ostentatoire » pour donner du rythme au film.
Pas sûr que le pari soit totalement gagné. Car en dépit du petit charme qui se dégage de « Tokyo fiancée », en particulier de certains tête à tête, le récit donne l’impression de flotter. Et s’il flotte, c’est qu’aucun fonds ne le leste. Il faut toute la fraîcheur et la spontanéité de Pauline Etienne, pour que la légèreté de cette mignonne histoire d’amour ne vire pas à la « japoniaiserie » (repardon !). Cette Amélie-là fait d’ailleurs penser à une troisième Amélie (Poulain) par l’ingénuité et la grâce qu’elle dégage.
C’est cette aventure qui sert de trame pour dérouler un récit d’initiation aux us et coutumes locales. Avec une fascination culturelle réciproque des deux héros. L’histoire balance tranquillement entre deux pôles, modernité et tradition. A l’image des parents de Rinri, dont la rigidité apparente et le respect de principes séculaires s’accommodent parfaitement d’une cuisine bourrée de gadgets dernier cri ! C’était une volonté du réalisateur « d’osciller entre caché/ouvert, boudoir/nature, discret/ostentatoire » pour donner du rythme au film.
Pas sûr que le pari soit totalement gagné. Car en dépit du petit charme qui se dégage de « Tokyo fiancée », en particulier de certains tête à tête, le récit donne l’impression de flotter. Et s’il flotte, c’est qu’aucun fonds ne le leste. Il faut toute la fraîcheur et la spontanéité de Pauline Etienne, pour que la légèreté de cette mignonne histoire d’amour ne vire pas à la « japoniaiserie » (repardon !). Cette Amélie-là fait d’ailleurs penser à une troisième Amélie (Poulain) par l’ingénuité et la grâce qu’elle dégage.
" Tokyo Fiancée "
Etant dans la vingtaine, ayant vécu une histoire d'amour franco-japonaise au Japon, à Tokyo avec une vie qui n'était pas totalement "mienne" comme Amélie, je trouve le fond et la forme de ce film beaucoup trop bâclé. Pas assez d'esprit, pas assez de profondeurs dans le ressenti des 2 cultures. La forme est saccadée avec des passages "on vous amène à la montagne voir le Mont Fuji" et "on vous amène à Odaiba dans un appart luxueux mangé de la fondue en plastique ..." Le seul mérite que ce film a eu pour moi, c'est de bien retranscrire l'esprit rêveur, puéril, brouillon et indécis qu'Amélie Nothomb a du avoir en étant au Japon à l'époque. Par contre, les hommes japonais comme Rinri, ça ne court pas les rues au Japon ...
Il y a tellement d'émotions, de messages à faire passer à travers des films d'amour sur des histoires de "couples modernes internationaux". Ce film aurait pu être un bon exemple de ce qu'est l'élan du nouvel "amour mondialiste" ... Le nectar, l'essence même des relations internationales (et dans tous les sens du terme) aurait pu être retranscrit dans ce film de manière un peu plus poussé ... Mais non, on s'est cantonné à une simple amourette entre une jeune belge un tant soit peu niaise, écervelé et rêveuse, et un japonais et sa famille stéréotypés riches et de bonne éducation amoureux "de la France" ...
Un film a consommé avec un paquet de chips et un coca à la main, une pause pipi ne gâchera pas votre plaisir du film.
Etant dans la vingtaine, ayant vécu une histoire d'amour franco-japonaise au Japon, à Tokyo avec une vie qui n'était pas totalement "mienne" comme Amélie, je trouve le fond et la forme de ce film beaucoup trop bâclé. Pas assez d'esprit, pas assez de profondeurs dans le ressenti des 2 cultures. La forme est saccadée avec des passages "on vous amène à la montagne voir le Mont Fuji" et "on vous amène à Odaiba dans un appart luxueux mangé de la fondue en plastique ..." Le seul mérite que ce film a eu pour moi, c'est de bien retranscrire l'esprit rêveur, puéril, brouillon et indécis qu'Amélie Nothomb a du avoir en étant au Japon à l'époque. Par contre, les hommes japonais comme Rinri, ça ne court pas les rues au Japon ...
Il y a tellement d'émotions, de messages à faire passer à travers des films d'amour sur des histoires de "couples modernes internationaux". Ce film aurait pu être un bon exemple de ce qu'est l'élan du nouvel "amour mondialiste" ... Le nectar, l'essence même des relations internationales (et dans tous les sens du terme) aurait pu être retranscrit dans ce film de manière un peu plus poussé ... Mais non, on s'est cantonné à une simple amourette entre une jeune belge un tant soit peu niaise, écervelé et rêveuse, et un japonais et sa famille stéréotypés riches et de bonne éducation amoureux "de la France" ...
Un film a consommé avec un paquet de chips et un coca à la main, une pause pipi ne gâchera pas votre plaisir du film.
un petit bijou à découvrir pour plein de raisons...La première est la voyage incessant et délicat dans un Tokyo visité subtilement, les scènes valent leur pesant de cacahuètes, grand angle, panorama, souci du détail, des détails, du quotidien nippon, autant dans les objets, que les extérieurs de rues ou les personnages.....Il faut l'avouer, c'est esthétique , délicat et original, c'est du concentré de voyage à un tarif sans concurrence, avis aux voyageurs.....Autre point fort du film, les dialogues sont parfois pointus, fouillent une peu l'âme nipponne, les différences tout simplement......On trouvera aussi une musique tout aussi délicate que les images et qui est traditionnelle, ceux qui connaissent apprécieront les timbres , les instruments et les sonorités si lointaines à nos yeux, à nos oreilles.....Et puis il y a une histoire d'amoureux plus que d'amour, un roman d'Amélie Nothomb sans artifices, littéraire dans ses recoins, dans ces caractères et délicat dans sa psychologie ....Echo des dialogues..... Le film dans sa démarche est aussi inspiré de la nouvelle vague, où j'ai cru ça et là, à deux ou trois reprises deviner des allusions (Godard, Truffaut).....Bref si vous avez l'âme doublement cinéphile et voyageuse, voila un film qu'il serait dommage de rater......
Film intéressant . Parfois très onirique , ce qui lui donne une touche particulière.
Mélange de fiction, de biographie, savamment équilibré
Plongée dans la tradition nipponne et légèreté des acteurs.
Ne manquent plus que les effluves des repas japonais, des parfums des onsen et l’on est parti en voyage....loin des turpitudes. Une bonne évasion qui donne la pêche. Jeepee
Mélange de fiction, de biographie, savamment équilibré
Plongée dans la tradition nipponne et légèreté des acteurs.
Ne manquent plus que les effluves des repas japonais, des parfums des onsen et l’on est parti en voyage....loin des turpitudes. Une bonne évasion qui donne la pêche. Jeepee
Très joli film, original, par moments d'une rare tendresse, mais qui, bien sûr, ne peut toucher tout le monde par son exigence et son sujet. Pauline Etienne est magnifique dans le rôle d'Amélie. Elle confirme sa prestation de "La Religieuse"...
Excellente comédie tout simple et toute fraîche.
J'ai beaucoup apprécié cette histoire qui nous change un peu des autres films très "prise de tête" actuellement à l'affiche.
J'ai beaucoup apprécié cette histoire qui nous change un peu des autres films très "prise de tête" actuellement à l'affiche.
Pétillant ! Épatant ! Actrice géniale, histoire poétique et drôle! A voir très vite
Heureusement, l'acteur japonais est très beau... parce que l'histoire, elle, n'est pas des plus passionnantes. On en apprend plus sur le Japon dans un documentaire télévisé. Reste les états d'âme de la jeune Belge, en l'occurrence pas grand chose.
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