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    Tokyo Fiancée
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2015
    Adaptation du roman Ni d’Eve ni d’Adam d’Amélie Nothomb, Tokyo Fiancée retrace également un instant réel de la vie de l’auteur. Cette dernière est née au Japon, y a vécu petite puis à suivie ses parents diplomates. A vingt et un an elle y retournera pour y vivre sa première histoire d’amour. Le résultat à l’écran respire l’humour et la délicatesse. Illuminé par la pétillante Pauline Etienne, le film est une poésie qu’on a envie d’effleurer. Costumes atypiques, décors colorés, cadrages en plans d’ensemble, quelques ralentis bien choisis, Tokyo Fiancée est une touche de miel dans le cinéma belge. Malheureusement, l’intrigue n’est pas à la hauteur de sa photographie. Si l’actrice et Taichi Inoue apportent du charme et de la grâce à ce long-métrage de Stefen Liberski, ils n’ont pas grand-chose à raconter. Hormis une séquence dramatique sur le Mont Fuji, le reste n’est qu’une carte postale qui montre les différences de cultures avec l’Europe.
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    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2015
    Adaptation du roman autobiographique Ni d’Eve, ni d’Adam d’Amélie Nothomb ; Tokyo fiancée nous conduit au pays du soleil levant qu’on découvre sous un autre aspect. Bien sur, on retrouve ce petit coté loufoque qui caractérise si bien le peuple japonais mais on a droit aussi à une photographie moins conventionnelle que ce qu’on a l’habitude de voir au cinéma. Ajouté à ça, on a une Pauline Etienne qui est juste parfaite dans la peau de la belge / japonaise qui fait preuve d’une belle énergie à l’image de cette petite séquence façon comédie musicale. S’il ne s’agit pas d’un film incontournable, on passe tout de même un bon moment et surtout il nous offre un peu de dépaysement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Belle surprise avec Tokyo fiancé. Je n'ai pas lu le livre mais j'ai beaucoup aimé ce film. Aimant le japon depuis de longues dates je ne suis peut être pas très objectif. De beaux paysages tout au long du film avec de bons cadrages. Juste le personnage principal pouvait me déranger parfois.
    Tony L'Ambassadeur
    Tony L'Ambassadeur

    35 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2015
    Il est évident qu'un certain charme, poétique, se dégage de Tokyo Fiancée. La musique superbe et la fraicheur de l'actrice, Pauline Etienne, ne parviennent malheureusement pas à faire décoller le film ou devrais-je dire la première partie. La seconde partie, est bien supérieure au début. En effet, on découvre une Amélie, moins enjouée et finalement plus "réaliste" qui se pose des questions sur sa relation, sur cette culture japonaise qui la fascine tant mais qui parfois la dépasse et finalement la "rejette". Pour le moi, Tokyo Fiancée prend tout son ampleur et son intérêt dans cette seconde partie. Pour le coup, j'aurai vraiment aimé développé plus longuement cette partie. Dommage.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2015
    Film franco-belge sortant des sentiers battus dans laquelle on suit une jeune femme de vingt ans (Amélie, tirée du roman Ni d'Adam, ni d'Eve d'Amélie Nothomb), Belge née au Japon, qui retourne y vivre comme elle en a toujours rêvé et donne des cours particuliers de français dans des endroits décontractés comme des cafés. Elle sympathique avec un Japonais nommé Rinri avec qui elle va faire bien plus que d'échanger en français et en japonais. La romance est montrée de manière subtile avec une patte française reconnaissable, les musiques sont discrètes et bien utilisées, les traits de caractère du personnage montrés avec tact.

    La culture japonaise est mise en avant entre les trains, les passages piétons très larges, les parents très traditionnels qui vont jusqu'à dire à Amélie qu'ils ne peuvent l'accepter en short chez elle, les bains publics ou encore la nourriture locale. La romance est également montrée avec des scènes de nudité, aussi bien en plein acte au lit (non bruyant mais avec des positions assez significatives) qu'ailleurs (on la voit plusieurs fois seins nus, voire entièrement nue dans les bains, sans parler de la strip-teaseuse qu'ils vont voir dans un bar.

    Pauline Etienne joue surtout très bien le rôle d'une fille naïve bien que connaisseuse de la culture qui se fait tout un cliché du Japon, comme l'attestent les scènes à part où on la voit en geisha ou en samouraï, et surtout cette fameuse chanson volontairement ridicule où elle crie son amour pour le Japon avec plein de petits cœurs autour d'elle et son T-shirt à l'effigie du Japon. spoiler: Rinri voulant lui mettre la bague au doigt assez vite et Amélie ne parvenant pas à lui dire qu'il n'est finalement pas le Japonais parfait qu'elle pensait (lui qui fait partie d'un groupe vénérant la France), la fin se révèle assez triste alors qu'elle doit retourner en Europe suite à un tremblement de terre.
    Un bon film du genre qui parvient à ne pas trop en faire !
    Raphaël O
    Raphaël O

    146 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2015
    Adaptée du roman d'Amélie Nothomb, cette comédie romantique légère, élégante et savoureuse dépeint un voyage initiatique à travers le Japon, où le duo Pauline Etienne/Taichi Inoue fournit de très convaincantes prestations.
    Un bon divertissement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2015
    J'avais adoré le livre et le film ne m'a pas déçu, bien au contraire. La belle Pauline Etienne campe à merveille la jeune Amélie, indépendante, croquant la vie, qui essaye de devenir japonaise.
    Belle alternance de gros plans et de plans de rues/paysages.
    On se prend vraiment au jeu en se demandant ce que l'on ferait nous-même dans les diverses situations incongrues dans lesquelles elle se retrouve. Une immersion dans la culture du Japon.
    J'ai aussi beaucoup aimé ses vêtements et le Big in Japan interprété par Ane Brun.
    Plein d'émotions !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mars 2015
    Film intéressant . Parfois très onirique , ce qui lui donne une touche particulière.
    Mélange de fiction, de biographie, savamment équilibré
    Plongée dans la tradition nipponne et légèreté des acteurs.
    Ne manquent plus que les effluves des repas japonais, des parfums des onsen et l’on est parti en voyage....loin des turpitudes. Une bonne évasion qui donne la pêche. Jeepee
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 mars 2015
    Tokyo Fiancée, cinquième film de Stefan Liberski, sort en salles le 4 mars 2015. Il s’agit d’une adaptation cinématographique de Ni d’Ève ni d’Adam, roman d’Amélie Nothomb paru en 2007, récompensé par le Prix de Flore.

    Tout d’abord, faisons un détour par le roman. La jeune Amélie Nothomb retourne au Japon en 1989, après 16 ans d’absence. Désirant s’y établir, elle prend des cours de japonais des affaires et tente tant bien que mal de s’intégrer dans la mégapole tokyoïte. Là, elle rencontre Rinri, japonais de bonne famille, à qui elle donne de laborieux cours de français.

    Commence alors une somptueuse histoire sur le sentiment amoureux. Rinri et Amélie deviennent amants, mais ne vivent pas leur liaison de la même manière. Tandis que Rinri tombe éperdument amoureux, Amélie éprouve pour lui des sentiments profonds de tendresse, certes, mais pas d’amour. Là est la différence, finement expliquée par l’auteur, entre le “koi” et l’”ai”, nuance intraduisible en français. Le premier désigne le goût, le “koibito” étant alors une personne de plaisante compagnie : la compagnie de Rinri est au goût d’Amélie. Quant à “ai”, « mot si beau que je regrettais parfois de n’avoir pas à l’employer », il désigne l’amour fou, malmené par l’extrême pudeur japonaise. Rinri, qui met un point d’honneur à rejeter les traditions nipponnes, se grise de ce sentiment jusque-là jamais éprouvé.
    De cette différence entre “koi” et “ai” naît la conception « nothombienne » de l’amour. « Entre ces deux mots, “koi” et “ai”, il n’y a pas de variation d’intensité, il y a une incompatibilité essentielle ». Pour elle, l’amour est indissociable de la perversité, du danger, de l’horreur, du terrifiant sublime. Ici se trouve la clé de compréhension de certains de ses romans, comme Attentat ou Mercure.

    Le quiproquo grandit entre les deux amants, jusqu’au jour où Rinri la demande en mariage, en décembre 1989. Le ciel tombe sur la tête d’Amélie. Le mariage japonais, à ses yeux, détruirait toute la beauté de leur relation, les enfermerait dans un carcan de coutumes et de pressions sociales. Plus de liberté alors ! Amélie serait alors bridée dans son désir d’inconnu, comme le sont les « êtres d’eau » de son espèce. « Si je suis eau, quel sens cela a-t-il de te dire oui, je vais t’épouser ? Là serait le mensonge. On ne retient pas l’eau. » Toutefois, refuser correspondrait à une rupture. Quel dilemme !
    Une seule solution, et encore temporaire : les fiançailles, période de ni-ni bénie pour gagner du temps. L’année 1990 se déroule difficilement, en raison de l’embauche d’Amélie dans l’entreprise Yumimoto. Cette année de fiançailles est ainsi la face cachée et personnelle du célèbre Stupeur et Tremblements, dans lequel Amélie est finalement affectée aux toilettes, à cause de ses méfaits dus à son ignorance des codes, us et coutumes du monde professionnel japonais.

    Après cette longue digression, revenons au film de Stefan Liberski. Celui-ci est assez fidèle au roman, du moins au début du film, allant jusqu’à en puiser certaines répliques. (« J’ai toujours eu le lyrisme mégalomane »

    Pauline Etienne est incontestablement un élément clé de la réussite de ce film. Elle rayonne dans son rôle de jeune fille exubérante. Taichi Inoue est également convaincant dans le rôle de Rinri, et on ne peut que saluer sa performance, sachant qu’il a appris en phonétique tous ses dialogues en français, ne comprenant pas cette langue.

    Les décors sont soignés, ainsi que les cadrages, le réalisateur s’attardant sur différents paysages tokyoïtes. De Shibuya aux parcs verdoyants, en passant par les abords bruyants du métro, c’est une visite de la ville qu’on nous propose, au rythme des promenades d’Amélie et Rinri. Aux intérieurs japonais, froids et géométriques (maison des parents de Rinri) dans lesquels les traditions sont omniprésentes, s’opposent les montagnes et les espaces enneigés invitant à l’émerveillement. Les images sont colorées, collant parfaitement avec la légèreté de l’héroïne.

    La bande-son, composée par le fils du réalisateur, est éclectique et très adaptée. Se suivent des titres pop et des mélodies minimalistes d’instruments à vent japonais.

    En bref, des épisodes légers et cocasses se succèdent, emprunts de tendresse. Le film est fidèle au roman, reprenant même le concept du koi, formant un ensemble très plaisant. Jusqu’au drame.

    spoiler: Dans le roman, Rinri pense qu’Amélie a enfin accepté sa main, suite à un quiproquo. Cette dernière, effrayée et ne pouvant s’y résoudre, utilise un prétexte pour s’enfuir en Belgique… et ne pas revenir. Dans le film, un tremblement de terre violent a lieu, envoyant verres et bibelots se fracasser au sol. Suivent des images d’archives… du tsunami de 2011 ayant frappé la côte est du pays. L’histoire, sensée se dérouler au début des années 1990, est donc transposée dans les années 2010. Le réalisateur n’a pas pu s’empêcher de parler du tsunami et de la centrale de Fukushima dans un film sur le Japon. Encore un terrible cliché, qui détruit la fin du film. En effet, les japonais, Rinri le premier, pressent Amélie de partir, de fuir le danger nucléaire. Amélie s’enfuit donc, cédant aux injonctions de ses proches. Et cette fin me dérange. En effet, dans le roman, Amélie choisit de partir. Elle aurait pu rester et refuser la main de Rinri, mais elle part, obéissant à son instinct. Dans le film, nulle part de libre-arbitre, elle n’a pas le choix. Stefan Liberski, se trouvant dans la salle de cinéma, a eu cette justification : le tournage avait commencé en 2010 et s’est vu arrêté par la catastrophe de 2011. Il lui semblait impensable de ne pas mentionner cet évènement dans son film. Ensuite, même dans le roman, selon lui, Amélie ne peut que fuir. Elle n’est pas japonaise et n’a donc pas sa place dans ce pays. En outre, il s’agit d’un clin d’œil à son départ du Japon à l’âge de 5 ans, décidé par ses parents.


    Est-ce convaincant ? Sûrement. Cependant, cette fin spoiler: « tragique », ces deux amants malheureux séparés par le destin, reste assez dérangeante. Et
    entache légèrement ce film pourtant si bien commencé.
    Lunettes noires
    Lunettes noires

    32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2015
    Le ton de la bande-annonce avait l'air plutôt tendre et poétique ; le rapprochement avec "Amélie Poulain" s'imposait : le thème musical est dans le même registre. Et, au cas, où le spectateur ne s'en soit pas rendu compte par lui-même (faudrait être un peu niais !), cette bande-annonce se charge de le rappeler lourdement en précisant bien que ce film est un mix entre "Amélie Poulain" et "Lost in Translation" (n'importe quoi !…Ah non, en fait, je pense avoir trouvé LE seul et unique rapport avec "Lost in Translation" : l'action se déroule au Japon !) La première partie du film est plutôt drôle, délicate et drôle. L'héroïne empreinte de douceur et de fraicheur, un peu Tintin sur les bords (du moins, dans cette partie du film), va nous faire découvrir de jolies cartes postales sur le Japon, même si on n'évitera pas les clichés habituels et inévitables du Japon moderne (karaoké et gadgets/robots un peu débiles à nos yeux). Malheureusement, la suite ne m'a pas convaincu. L'histoire évolue au fur et à mesure que l'héroïne prend conscience des difficultés pour s'acclimater à ce monde qu'elle a du mal à comprendre : finie la poésie, la fraicheur, la douceur…place à une histoire d'amour un peu bancale entre deux êtres que tout oppose. Voilà, voilà…

    Mais pourquoi ai-je voulu me fier à une bande-annonce ?
    円造.P
    円造.P

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2020
    Étant né à Tokyo et venu en France à 5 ans donc à peu comme l'héroïne du film (cependant j'ai grandi avec ma mère japonaise). Je croyais trouver là un film intéressant, ce fut le cas contraire. L'héroïne arrive avec des idées reçues très stéréotypées et même raciste parfois des japonais. Presque toutes les scènes sont tellement malaisantes, le fait qu'elle se considère comme japonaise alors qu'elle ne le parle pas est vraiment dénué de sens. Mon pic de malaise a été atteint lors de la chanson de l'héroïne... Comme stéréotypes bine dégueulasses on peut citer: les japonais s'excusent pour rien, prennent un nombre incalculable de photos, tout est robotisé au Japon les japonais sont soit des yakuzas ou des samouraïs... J'ai du mal à croire que l'équipe de tournage soit partie au Japon mais ne fasse que présenter le pays sous bien des représentations clichées et inintéressantes. FILM À ÉVITER
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 mars 2015
    Un voyage tout à fait charmant à travers Tokyo et ses alentours, une immersion totale dans la culture japonaise.
    Christophe G
    Christophe G

    4 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2015
    " Tokyo Fiancée "

    Etant dans la vingtaine, ayant vécu une histoire d'amour franco-japonaise au Japon, à Tokyo avec une vie qui n'était pas totalement "mienne" comme Amélie, je trouve le fond et la forme de ce film beaucoup trop bâclé. Pas assez d'esprit, pas assez de profondeurs dans le ressenti des 2 cultures. La forme est saccadée avec des passages "on vous amène à la montagne voir le Mont Fuji" et "on vous amène à Odaiba dans un appart luxueux mangé de la fondue en plastique ..." Le seul mérite que ce film a eu pour moi, c'est de bien retranscrire l'esprit rêveur, puéril, brouillon et indécis qu'Amélie Nothomb a du avoir en étant au Japon à l'époque. Par contre, les hommes japonais comme Rinri, ça ne court pas les rues au Japon ...

    Il y a tellement d'émotions, de messages à faire passer à travers des films d'amour sur des histoires de "couples modernes internationaux". Ce film aurait pu être un bon exemple de ce qu'est l'élan du nouvel "amour mondialiste" ... Le nectar, l'essence même des relations internationales (et dans tous les sens du terme) aurait pu être retranscrit dans ce film de manière un peu plus poussé ... Mais non, on s'est cantonné à une simple amourette entre une jeune belge un tant soit peu niaise, écervelé et rêveuse, et un japonais et sa famille stéréotypés riches et de bonne éducation amoureux "de la France" ...

    Un film a consommé avec un paquet de chips et un coca à la main, une pause pipi ne gâchera pas votre plaisir du film.
    On' naku
    On' naku

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 novembre 2021
    Dès les deux premières minutes du film on entend Claire Fabienne dire qu'elle de retour dans son pays pour 1000 d'union, (racle la gorge) "elle n'est pas vraiment née au japon", et ses paroles mégalomanes, je sentais déjà la mouise arrivé pour elle... De fil en aiguille on découvre une fille qui est pas très Claire dans sa tête, elle se dit féministe et ne veut pas se marier et une semaine plus tard elle fait l'amour à son élève, ses paroles se contredisent les une après les autres, "le japon le pays du ni non ni oui pour elle", durant la fin du film j'ai tellement voulu lui tapé dessus avec un éventail tellement j'étais furieuse après elle, Tokyo fiancé? Ce film aurais dû s'appelé Tokyo Raté pour Claire Fabienne!
    PS: Wasabi la petite moutarde qui monte au nez est meilleur que cette daube.
    Olivier
    Olivier

    30 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 décembre 2021
    Après avoir lu le très bon roman un peu autobiographique d' Amélie Nothomb, ce film m'a beaucoup déçu. J'en attendais sûrement trop d'un si bon livre. Des imprécisions énormes, une chronologie parfois non respectée des évènements, un jeu d'acteur médiocre... Bref, même si le physique de Pauline Etienne colle bien au personnage d'Amélie, ce film est un désastre, à des années lumières de l'adaptation de Stupeur et tremblements qui est quant à lui excellent avec une Sylvie Testud incroyable et une très belle réalisation !
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