Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette histoire d'amour racontée avec fantaisie permet à la comédienne (Pauline Etienne) de composer une héroïne légère comme une fleur de cerisier dans une comédie romantique au charme exotique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Récit initiatique tout en légèreté, "Tokyo Fiancée" suit le parcours d’une jeune femme ouverte à la vie et décidée à trouver sa voie. La mise en scène de Stefan Liberski ménage quelques jolis moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La Rédaction
Joli pretexte à une romance branchée, ce film est tiré d'un récit autobiographique d'Amélie Nothomb. Pauline Etienne l'incarne avec une fraicheur très kawaï. Premiers pas réussis devant la caméra pour le musicien Taichi Inoue, né à Fukushima et choisi lors d'un casting.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Tokyo fiancée" traduit cette alchimie de tradition et de futurisme, d'élégance et d'exubérance, de codes et de lâché-prise, propre à la société japonaise, et que l'on retrouve chez Nothomb, elle-même. Si le film raconte une véritable histoire sentimentale entre deux êtres, elle englobe celle entre deux latitudes. Une très belle rencontre des antipodes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation qui retrouve la grâce et la fantaisie d’Amélie Nothomb.
Le Monde
par Noémie Luciani
Délestées des grincements mal maîtrisés de Stupeurs et tremblements, les situations improbables dont la romancière est friande trouvent dans ce film souriant une raison d’être plus simple et plus évidente, et s’organisent gentiment en une histoire d’amour mignonne et originale, heureusement délivrée de prétentions.
Metro
par Mehdi Omaïs
Tout en délicatesse, le cinéaste Stefan Liberski décortique dans "Tokyo fiancée" le pouvoir vertigineux du sentiment amoureux. A ce jeu, ses interprètes, Pauline Etienne et Taichi Inoue, s'en sortent avec les honneurs.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film léger donc, gracieux et gracile, porté par une Pauline Étienne dont les faux airs à la Jean Seberg montrent bien où le récit veut en venir : surprendre la vie dans ses jeux de miroir. On n'est pas dans « À bout de souffle », tant s'en faut, mais le cinéaste aime à saisir cet état de liberté, voire de lévitation, d'une jeune fille prête à toutes les audaces en terre étrangère.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette savoureuse comédie à l'humour délicat brosse, sur fond de choc des cultures, le portrait d'une femme en devenir.
Télérama
par Cécile Mury
Malentendus et fascination culturelle, de part et d'autre, sont au coeur de ce savoureux conte initiatique, illuminé par la malice de la jeune Pauline Etienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Juliette Chartier
Une fable sympathique sur la découverte de l'autre et de soi, mais à laquelle la subtilité fait parfois défaut.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Obs
par François Forestier
C'est une comédie charmante (...).
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après une première partie d'une belle fraîcheur où découvertes du Japon et de l'amour se mêlent délicieusement dans un récit gai, le film semble flotter un peu.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) On prend plaisir à se laisser guider dans les singularités de l'empire du Soleil levant grâce, notamment au charisme de Pauline Etienne, mutine et pleine de caractère, très crédible dans la peau de l'écrivain.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
L’on retrouve dans "Tokyo Fiancée", la liberté formelle des films de la Nouvelle Vague. La mise en scène, soignée, est délicieusement licencieuse. Toutefois, le réalisateur ne parvient pas complètement à immerger le spectateur dans la culture japonaise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
S’inspirant manifestement du style pop et clinquant du "Fabuleux Destin d’Amélie Poulain", cette comédie romantique regorge de clichés et de séquences gentillettes où la nunuche fait son intéressante. Hormis une séquence semi-dramatique sur le mont Fuji, c’est aussi sympa que toc.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Plaisant, léger et totalement inoffensif, ce récit d’apprentissage se contente d’aligner les vignettes exotiques sur les traditions au pays du Soleil-Levant. Si le commentaire s’avère pertinent quand il s’agit de décrire la mentalité des Japonais, notamment face à la catastrophe de Fukushima, l’ensemble reste anecdotique et reste un peu cliché.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"Tokyo Fiancée" est hélas tributaire d'un matériau de départ frôlant l'insignifiance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Eric Vernay
(...) Stefan Liberski nous (livre) une visite du Japon façon vignettes touristiques (…), tandis que la voix off, omniprésente et fleur bleue, assène des banalités sur le décalage culturel entre Occident et Orient (bières belges versus saké). Et le récit initiatique kawaii de sombrer dans la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Adrien Gombeaud
Stefan Liberski effleure le sujet, (...) il semble incapable (...) de renvoyer son personnage dans l'impasse de son narcissisme.
TF1 News
par Romain Le Vern
Liberski n'est malheureusement pas Corneau pour adapter Nothomb. Décorative et inconsistante, cette adaptation ressemble à une carte postale sèchement envoyée du Japon, reposant sur les très frêles épaules de l'actrice Pauline Etienne.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
Cette histoire d'amour racontée avec fantaisie permet à la comédienne (Pauline Etienne) de composer une héroïne légère comme une fleur de cerisier dans une comédie romantique au charme exotique.
CNews
Récit initiatique tout en légèreté, "Tokyo Fiancée" suit le parcours d’une jeune femme ouverte à la vie et décidée à trouver sa voie. La mise en scène de Stefan Liberski ménage quelques jolis moments de grâce.
Femme Actuelle
Joli pretexte à une romance branchée, ce film est tiré d'un récit autobiographique d'Amélie Nothomb. Pauline Etienne l'incarne avec une fraicheur très kawaï. Premiers pas réussis devant la caméra pour le musicien Taichi Inoue, né à Fukushima et choisi lors d'un casting.
Franceinfo Culture
"Tokyo fiancée" traduit cette alchimie de tradition et de futurisme, d'élégance et d'exubérance, de codes et de lâché-prise, propre à la société japonaise, et que l'on retrouve chez Nothomb, elle-même. Si le film raconte une véritable histoire sentimentale entre deux êtres, elle englobe celle entre deux latitudes. Une très belle rencontre des antipodes.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation qui retrouve la grâce et la fantaisie d’Amélie Nothomb.
Le Monde
Délestées des grincements mal maîtrisés de Stupeurs et tremblements, les situations improbables dont la romancière est friande trouvent dans ce film souriant une raison d’être plus simple et plus évidente, et s’organisent gentiment en une histoire d’amour mignonne et originale, heureusement délivrée de prétentions.
Metro
Tout en délicatesse, le cinéaste Stefan Liberski décortique dans "Tokyo fiancée" le pouvoir vertigineux du sentiment amoureux. A ce jeu, ses interprètes, Pauline Etienne et Taichi Inoue, s'en sortent avec les honneurs.
Sud Ouest
Un film léger donc, gracieux et gracile, porté par une Pauline Étienne dont les faux airs à la Jean Seberg montrent bien où le récit veut en venir : surprendre la vie dans ses jeux de miroir. On n'est pas dans « À bout de souffle », tant s'en faut, mais le cinéaste aime à saisir cet état de liberté, voire de lévitation, d'une jeune fille prête à toutes les audaces en terre étrangère.
Télé 7 Jours
Cette savoureuse comédie à l'humour délicat brosse, sur fond de choc des cultures, le portrait d'une femme en devenir.
Télérama
Malentendus et fascination culturelle, de part et d'autre, sont au coeur de ce savoureux conte initiatique, illuminé par la malice de la jeune Pauline Etienne.
L'Ecran Fantastique
Une fable sympathique sur la découverte de l'autre et de soi, mais à laquelle la subtilité fait parfois défaut.
L'Obs
C'est une comédie charmante (...).
La Croix
Après une première partie d'une belle fraîcheur où découvertes du Japon et de l'amour se mêlent délicieusement dans un récit gai, le film semble flotter un peu.
Le Parisien
(...) On prend plaisir à se laisser guider dans les singularités de l'empire du Soleil levant grâce, notamment au charisme de Pauline Etienne, mutine et pleine de caractère, très crédible dans la peau de l'écrivain.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
L’on retrouve dans "Tokyo Fiancée", la liberté formelle des films de la Nouvelle Vague. La mise en scène, soignée, est délicieusement licencieuse. Toutefois, le réalisateur ne parvient pas complètement à immerger le spectateur dans la culture japonaise.
L'Humanité
S’inspirant manifestement du style pop et clinquant du "Fabuleux Destin d’Amélie Poulain", cette comédie romantique regorge de clichés et de séquences gentillettes où la nunuche fait son intéressante. Hormis une séquence semi-dramatique sur le mont Fuji, c’est aussi sympa que toc.
Le Journal du Dimanche
Plaisant, léger et totalement inoffensif, ce récit d’apprentissage se contente d’aligner les vignettes exotiques sur les traditions au pays du Soleil-Levant. Si le commentaire s’avère pertinent quand il s’agit de décrire la mentalité des Japonais, notamment face à la catastrophe de Fukushima, l’ensemble reste anecdotique et reste un peu cliché.
Les Inrockuptibles
"Tokyo Fiancée" est hélas tributaire d'un matériau de départ frôlant l'insignifiance.
Première
(...) Stefan Liberski nous (livre) une visite du Japon façon vignettes touristiques (…), tandis que la voix off, omniprésente et fleur bleue, assène des banalités sur le décalage culturel entre Occident et Orient (bières belges versus saké). Et le récit initiatique kawaii de sombrer dans la mièvrerie.
Positif
Stefan Liberski effleure le sujet, (...) il semble incapable (...) de renvoyer son personnage dans l'impasse de son narcissisme.
TF1 News
Liberski n'est malheureusement pas Corneau pour adapter Nothomb. Décorative et inconsistante, cette adaptation ressemble à une carte postale sèchement envoyée du Japon, reposant sur les très frêles épaules de l'actrice Pauline Etienne.