Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Positif
par Bernard Génin
Précision, retenue, délicatesse, avec un regard frontal sur tout ce qui touche au désir : Sébastien Bailly fait preuve d’un talent de cinéaste très prometteur pour le jour où il passera au long métrage.
Télérama
par Jacques Morice
Trois histoires distinctes pour quatre portraits féminins. Non, ce n’est pas la Kelly Reichardt de Certaines femmes, mais Sébastien Bailly, un jeune cinéaste français qui pose un regard singulier sur le rapport des femmes à leur corps, sur leur manière de s’épanouir hors des normes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par La Rédaction
De deux courts-métrages (Douce et Où je mets ma pudeur), Sébastien Bailly a tiré un premier «long»: trois histoires autour de quatre femmes en quête de liberté qui vont jusqu'au bout de leurs désirs. Dont une aide-soignante qui s'intéresse de près à un patient dans le coma. Un réalisateur dont on dirait qu'il possède une «sensibilité féminine».
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Assemblage de trois courts-métrages, ce triptyque trouve sa cohérence dans le regard du réalisateur Sébastien Bailly et dans la solitude de chacune de ses héroïnes, des femmes singulières, peut-être ambigües mais bien décidées à s’affranchir, à prendre des risques, à envisager la désobéissance...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Marine Quinchon
De très beaux portraits de femmes, où la caméra du réalisateur saisit avec beaucoup de sensibilité les gestes et les regards de ses héroïnes, plutôt que les dialogues, pour faire avancer le récit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un triptyque sur le désir des femmes à partir de l’assemblage acrobatique de trois courts métrages attachants par le jeu des interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Sébastien Bailly évite tous les pièges du male gaze en filmant le désir et les sentiments des femmes avec un mélange hypersensible de pudeur, d’empathie et de franchise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
On oscille entre le furieusement étrange (l’héroïne nécrophile de Douce), le culturellement ambigu (Où je mets ma pudeur et son érotisme à double tranchant) et le joliment scolaire (la romance gay dans Une histoire de France).
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Clément Graminiès
On se retrouve face à un film hybride qui voudrait parler de tout mais ne dit finalement pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
Précision, retenue, délicatesse, avec un regard frontal sur tout ce qui touche au désir : Sébastien Bailly fait preuve d’un talent de cinéaste très prometteur pour le jour où il passera au long métrage.
Télérama
Trois histoires distinctes pour quatre portraits féminins. Non, ce n’est pas la Kelly Reichardt de Certaines femmes, mais Sébastien Bailly, un jeune cinéaste français qui pose un regard singulier sur le rapport des femmes à leur corps, sur leur manière de s’épanouir hors des normes.
Le Figaro
De deux courts-métrages (Douce et Où je mets ma pudeur), Sébastien Bailly a tiré un premier «long»: trois histoires autour de quatre femmes en quête de liberté qui vont jusqu'au bout de leurs désirs. Dont une aide-soignante qui s'intéresse de près à un patient dans le coma. Un réalisateur dont on dirait qu'il possède une «sensibilité féminine».
Le Journal du Dimanche
Assemblage de trois courts-métrages, ce triptyque trouve sa cohérence dans le regard du réalisateur Sébastien Bailly et dans la solitude de chacune de ses héroïnes, des femmes singulières, peut-être ambigües mais bien décidées à s’affranchir, à prendre des risques, à envisager la désobéissance...
Le Parisien
De très beaux portraits de femmes, où la caméra du réalisateur saisit avec beaucoup de sensibilité les gestes et les regards de ses héroïnes, plutôt que les dialogues, pour faire avancer le récit.
Les Fiches du Cinéma
Un triptyque sur le désir des femmes à partir de l’assemblage acrobatique de trois courts métrages attachants par le jeu des interprètes.
Les Inrockuptibles
Sébastien Bailly évite tous les pièges du male gaze en filmant le désir et les sentiments des femmes avec un mélange hypersensible de pudeur, d’empathie et de franchise.
Première
On oscille entre le furieusement étrange (l’héroïne nécrophile de Douce), le culturellement ambigu (Où je mets ma pudeur et son érotisme à double tranchant) et le joliment scolaire (la romance gay dans Une histoire de France).
Critikat.com
On se retrouve face à un film hybride qui voudrait parler de tout mais ne dit finalement pas grand-chose.