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Votre avis sur Le Labyrinthe : La Terre brûlée ?
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J'ai bien aimé le film complet mais se qui ma surtout les c'est
spoiler:
que les victime du virus ne meurt pas tout de suite mais qu'elle soit transformer en zombie.
que les victime du virus ne meurt pas tout de suite mais qu'elle soit transformer en zombie.
Après un premier tome sans surprise et curieusement prenant, me voilà déjà devant le deuxième du nom. Et puisqu’on parle patronyme, sachez qu’il n’y a déjà plus vraiment de labyrinthe ici. La terre brûlée, elle, est bien là en revanche, tout comme sa cousine la braise, grand mal en ces temps lointains. Malheureusement Wes Ball aussi, et avec lui tous les rouages d’une mise en scène calibrée autant que parfaitement plate. Ce à quoi s’ajoutent – si on les voit, temps de cerveau disponible réduit au néant oblige – nombre d’incohérences et d’invraisemblances, que par décence (et surtout paresse) on ne listera pas ici. Le réalisateur voudrait faire monter la sauce, créer l’émotion ; mais à cet exercice il est tout sauf adroit : musique pompeuse, faits d’armes idiots, morts imbéciles, rien n’est laissé au hasard pour partir on ne sait où, comme si c’était chaque fois l’action qui devait tout rattraper. Elle s’y prête bien, au demeurant, mais difficile de sortir satisfait de ces deux heures un brin lourdaudes. A ce jour on attend toujours le troisième volet, et chaque heure qui passe je suis à vrai dire moins motivé.
Ce n’est pas dans mes habitudes compte tenu du genre de films dont il s’agit mais je m’étais montré plutôt enthousiaste vis-à-vis du premier volet du “Labyrinthe� : toute franchise pour teenagers qu’il soit, j’avais trouvé le concept fondateur de la chose suffisamment simple et porteur pour qu’il suscite un légitime intérêt. Voyez plutôt : des adolescents amnésiques ont établi un société de castes dans une clairière-refuge au centre d’un labyrinthe à la géographie changeante qui les coupe du monde extérieur. Arrive alors une fille, ce qui ne donne heureusement lieu à aucun triangle amoureux à la con. S’ensuit l’exploration du labyrinthe, fertile en scènes d’action et, cerise sur le gâteau, un twist final du meilleur effet qui révélait l’envers du décor et la raison d’être de ce dédale :
spoiler:
cloîtrer, pour analyse ultérieure, les “antidotes vivants� qui pourraient sauver l’humanité laminée par un virus destructeur.
D’une certaine façon, les promesses contenues dans cette conclusion ont été tenues mais, privé de son High concept de départ (malgré le titre, il n’est absolument plus question de labyrinthe dans cette suite) on se rend compte que cette franchise n’est, en fin de compte, pas meilleure qu’une autre. C’est sûr, on prend un relatif intérêt à découvrir cette Terre post-apocalyptique sous domination militaro-scientifique, ses clans de réprouvés, ses rebelles retranchés dans les montagnes et ses contaminés transformés en mutants sanguinaires. Potentiellement intéressants sur le papier, tous ces développements échouent pourtant à dessiner un ensemble solide et à densifier les enjeux du scénario : traités avec moins d’efficacité que dans les franchises “Hunger games� ou “Divergente�, ils se retrouvent relégués au statut de simple trame de fond et s’effacent devant la nécessité d’aligner les inévitables morceaux de bravoure visuels (dont l’ampleur demeure limitée, teenage-movie oblige). En augmentant son terrain de jeu à l’échelle de la planète, “Le labyrinthe� y aura beaucoup perdu en cohérence, échangeant un dynamique qui fonctionnait très bien en milieu confiné contre une banale succession de rencontres, d’épreuves et de pseudo-révélations. On s’en serait accommodé si les relations entre les personnages avaient été développées en profondeur mais ce n’est même pas le cas. Sans compter que si “Hunger games� pouvait se raccrocher à la figure charismatique de Katniss Everdeen en cas de creux, “Le labyrinthe� serait bien embarrassé de faire de même avec les figurants interchangeables qui tiennent lieu de rôles principaux. Une fois encore, on se retrouve dans la configuration d’un univers prometteur qui ruine la plupart de ses potentialités en se soumettant aux impératifs du système hollywoodien, même si j’attendrai tout de même l’ultime volet de la série pour l’affirmer avec certitude.
D’une certaine façon, les promesses contenues dans cette conclusion ont été tenues mais, privé de son High concept de départ (malgré le titre, il n’est absolument plus question de labyrinthe dans cette suite) on se rend compte que cette franchise n’est, en fin de compte, pas meilleure qu’une autre. C’est sûr, on prend un relatif intérêt à découvrir cette Terre post-apocalyptique sous domination militaro-scientifique, ses clans de réprouvés, ses rebelles retranchés dans les montagnes et ses contaminés transformés en mutants sanguinaires. Potentiellement intéressants sur le papier, tous ces développements échouent pourtant à dessiner un ensemble solide et à densifier les enjeux du scénario : traités avec moins d’efficacité que dans les franchises “Hunger games� ou “Divergente�, ils se retrouvent relégués au statut de simple trame de fond et s’effacent devant la nécessité d’aligner les inévitables morceaux de bravoure visuels (dont l’ampleur demeure limitée, teenage-movie oblige). En augmentant son terrain de jeu à l’échelle de la planète, “Le labyrinthe� y aura beaucoup perdu en cohérence, échangeant un dynamique qui fonctionnait très bien en milieu confiné contre une banale succession de rencontres, d’épreuves et de pseudo-révélations. On s’en serait accommodé si les relations entre les personnages avaient été développées en profondeur mais ce n’est même pas le cas. Sans compter que si “Hunger games� pouvait se raccrocher à la figure charismatique de Katniss Everdeen en cas de creux, “Le labyrinthe� serait bien embarrassé de faire de même avec les figurants interchangeables qui tiennent lieu de rôles principaux. Une fois encore, on se retrouve dans la configuration d’un univers prometteur qui ruine la plupart de ses potentialités en se soumettant aux impératifs du système hollywoodien, même si j’attendrai tout de même l’ultime volet de la série pour l’affirmer avec certitude.
Cette deuxième partie du film "Le Labyrinthe" ressemble pour beaucoup à la première. Mêmes personnages, même décors, beaucoup d'action et d'adrénaline... Cette fois seul le scénario change, plus question de courses effrénées dans le labyrinthe mais un véritable combat contre la toute puissante Wicked. Cette suite est quelque peu différente, on est plus dans une ambiance à la "Resident Evil" avec l'apparition de zombies mais c'est toujours aussi prenant et déroutant.
même si c'est appréciable de changer complètement de scénario par rapport au 1, il n'en reste pas moins que ce deuxième épisode est un peu moins réussi. Nos héros fuient Wicked, et il y a plein de péripéties... mais on est moins dans le mystère ou l'originalité, plus dans l'aventure SF classique, et une course-poursuite sans véritable intrigue. Bref, c'est assez bon mais décevant.
Un excellent deuxième volet plein de rebondissements et bourré d'idées visuelles épatantes avec une intrigue bien ficelée, un scénario très bien construit, des acteurs excellents dans leurs rôles (Dylan O'Brien, Kaya Scodelario et Ki Hong Lee), des effets spéciaux époustouflants et une fin magistral.
Après le gros succès du Labyrinthe, c'est repartit pour un tour ! Et ce n'est pas pour me déplaire même si quelques détails m'ont déplût . Mais bon commençons par le positif ! Dans cette suite l'action est largement plus au rendez vous car là où dans le premier nous pouvions avoir tout de même quelques longueurs et moments d'ennuis ici c'est moins le cas ! Le triangle amoureux offre aussi un angle intéressant entre notre héros beau gosse Thomas , Brenda et bien sûr notre petite Theresa. Ce deuxième volet répond également plus à nos questions car il faut bien se l'avouer le premier résidait surtout dans le mystère de l'intrigue et on sortait de la salle avec beaucoup d'interrogations. Frustrant ? Oui bien évidemment mais ce mystère marche et pousse le spectateur à aller voir la suite donc un pari réussi ? Non pas tout à fait car ce deuxième volet à tout de même quelques soucis à mon sens . Tout d'abord cette suite est bien moins originale que le premier volet qui nous offrait un coup de frais dans le cinéma et comme je le disais reposais principalement dans son intrigue . Ici le scénario se veut bien plus classique et plus dans le'' cliché " dommage . La première partie est aussi plus travaillé que la deuxième durant lequel les personnages se trouvent sur la terre brûlée traine un peu en longueurs. Concernant les acteurs , ils sont plutôt bons. Dylan O Brien encore une fois est impressionnant de le rôle de Thomas, c'est le nouveau talent de notre génération ! Kaya Scodelario est fascinante dans son rôle même si certains lui reproche de manquer d'expressions faciales mais justement à mon sens ça permet de ne pas savoir ce qu'elle pense, d'accorder un peu de mystère à cette suite qui en manque en peu. Les autres acteurs sont également très bon comme Aiden Gillen qu'on est habitués de voir dans la série Game Of Thrones et qui nous livre une bonne prestation dans le rôle d'un méchant qui lui va à ravir ! J'irais voir la suite sans hésitation de cette saga pour avoir le fin mot de l'histoire.
La suite qui n’a plus aucun intérêt , le scénario part dans tous les sens et on est très loin de l’idée de départ . Les protagonistes ne me plaisent plus vraiment et les rebondissements sont vraiment très simples pour finir sur une conclusion douteuse. Le cadre post apocalyptique , la lové story naissante et la chasse à l homme sont moyens et le labyrinthe n existe même plus dommage car pour moi il est à la base de l intrigue. Le film ne ravira que les ados qui s accrochent à l histoire de départ mais vite ennuyeux pour ma part
Film très différent du premier et c'est un bon point. On est dans un univers post cataclysmique d'une part conventionnel et d'autre part assez complexe qui donne une profondeur à l'histoire. Je trouve assez convaincant que ce soit un groupe de jeunes adultes qui se retrouve au milieu de conspirations et mystères qui donnent de l'intensité au film avec un univers très visuel bien qu'assez sombre. Malgré un bon nombre de cliché le tout s'agence de façon originale et donne de la matière.
J'avais adoré le premier volet, mais là non j'adhère pas du tout ! Ça n'a rien à voir avec le premier opus !! Autant le début laissait présager quelque chose de bien, mais alors les "zombies"m'ont donné envie d'arrêter de regarder au bout de 35 minutes de visionnage ! Ça s'améliore avec le moment où ils arrivent dans la "Terre brûlée" mais ça reste faible. Je reste déçue !
Après l'excellent premier volet , Le Labyrinthe de 2014 qui explorait fort intelligemment le thème de la sexualité brimée chez les jeunes avec le désir sexuel inassouvi et fallacieux à cause du monde virtuel (internet), et d'autres thèmes tout autant passionnants comme la claustrophobie ou l'incommunicabilité (les jeunes enfermés dans les réseaux sociaux et leurs difficultés de communiquer avec les adultes et mêmes avec les autres jeunes, si ce n'est qu'à travers la violence avec leurs partenaires des jeux vidéos avec leurs univers retranscrit dans le labyrinthite). Ce second volet oublie tous ces thèmes qui auraient mérité peut-être un approfondissement, et c'est bien décevant. Fini de fouiller dans l’inconscient collectif des jeunes, Le Labyrinthe devient un produit. La Terre Brûlée est seulement un film d'action très bien fait et divertissant avec des poursuites, des combats entre gentils et méchants et des zombies (comme dans les jeux vidéos finalement, donc on est en pleine contradiction avec le premier opus de la série, qui justement disséquait cela). Alors sans doute vaut-il mieux ne pas associer les deux productions, comme si c'était deux productions distinctes, et retenir seulement le premier film: le labyrinthe de 2014. Après tout personne ne demandait une suite. D'admirables films n'ont pas de suite et c'est mieux ainsi.
ManoCornuta
Difficile de faire une critique à mettre en perspective: en effet, je n'ai pas vu le premier volet, et c'est madame qui a choisi le programme télé du dimanche soir, alors... enfin bref, le sujet, s'il n'a pas l'air si inintéressant que cela, ressemble quand même fortement à un gros mix de tout ce qui a pu faire le succès des films à suspense gore des années 2000 à la sauce teen-movie. En résumé, ça crie, ça court, ça impressionne la pellicule, ça se retrouve dans des situations improbables et ça s'en sort par miracle ou presque. Le film est dynamique mais on ne peut pas dire qu'on se sente vraiment emballé par l'histoire ou le charisme des acteurs. Du gros spectacle pour ados plutôt bien ficelé mais sans vraiment d'âme, à revoir peut-être après m'être fait mon idée sur le premier film.
La prolongation de l'histoire du premier semble loin d'être indispensable (les objectifs de chaque personnage sont pour le moins flous...).
Cependant avec une bonne dose d'indulgence on ne s'ennuie pas et en tant que film d'action c'est plutôt solide.
Cependant avec une bonne dose d'indulgence on ne s'ennuie pas et en tant que film d'action c'est plutôt solide.
Trop d’la bombe ce film! J’adore les acteurs et le décor est magnifique ! A regarder dans une chambre avec ses amis, son chien et son pop corn!
Bon film😜
Bon film😜
encore meilleure que le premier ce qui était chose impossible mais il l'on fait breff ce deuxième film
et magnifique et les effets spéciaux sont juste a tomber, un chef d'œuvre !!!
et magnifique et les effets spéciaux sont juste a tomber, un chef d'œuvre !!!
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