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Pauline G.
40 abonnés
561 critiques
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2,5
Publiée le 24 novembre 2015
Difficile de maintenir la barre aussi haute après un premier volet novateur et pour lequel Wes Ball semble d'ores et déjà avoir misé toutes ses cartes. Si, dès le départ, on entre dans un cadre qui se veut dynamique en suscitant le doute et la révolte chez les jeunes, on sent presque tout aussi immédiatement qu'on ne va pas du tout être cuisiné de la même manière dans ce second opus spoiler: dès l'apparition des zombies , qui ne sont significatifs à mes yeux que d'un cruel manque de créativité. Ce qui, justement, avait fait toute la qualité de cette nouvelle franchise était sa capacité à proposer une intrigue jamais vue auparavant et qui reposait sur la lutte contre une entité d'autant plus fascinante qu'elle était laissée dans l'ombre. Ici, au contraire, on nous montre le visage de l’ennemi bien rapidement et en plus de ça, on a le sentiment en le voyant de retrouver une bonne vieille connaissance. Et il en va de même des personnages, qui tiraient leur intérêt de leur tempérament et qui, dans cette suite, se contentent de rester ce qu'ils étaient devenus à la fin du premier volet sans évoluer d'un iota entre le début et la fin du second. Alors, Soit Wes Ball a abattu toutes ses cartes dans le premier film et ça ne présage rien de bon pour la suite, soit, au contraire, il préserve ses ressources pour offrir un final des plus grandioses. Seul l'avenir nous le dira...
Moi personnellement j'ai préfère celui la, au premier car il a eu plus de rebondissements que dans le premier par contre on peut si perdre très facilement car les scènes ne sont pas bien placées. Je n'ai pas encore lu le livre donc je ne peux pas faire de comparaisons en attendant je trouve qu'il ont copié sur certain film comme: -les zombies me font penser à ceux dans World War Z -ainsi que le vaisseau qui me fait pensait a ceux dans Avengers Après je trouve que nous en apprenons plus sur WEEKND et sur le virus. Globalement les scènes sont bien tournées et les arrêt image sont géniaux malgré des enchainements pas très cohérants et quelques images trop sombres!
Beaucoup moins convaincus par ce second volet de Labyrinthe que par le premier. Le film démarrait pourtant très bien mais l’on atteint assez rapidement les limites du film. Après, il ne s’agira que d’une longue traversée de l’ennui avec quelques sursauts d’intérêts mais pas de quoi tenir à la base pour 2h13 de film. Avec un budget de 61 millions (le premier était de 34 millions), le budget a dû passer dans la conversion du film en 3D vu tous les efforts mis en œuvre par le réalisateur pour faire un film avec des décors tout en profondeur. Malheureusement, tout le reste a été mis de côté et de voir ce film en 2D donne l’impression que l’on est retourné en arrière car les plans pour la 3D donnent un résultat très floue en 2D. Il ne reste pas grand-chose dans ce second volet qui avait permis d’apprécier le premier volet, il y a une baisse assez significative de qualité, qui n’a certainement pas uniquement la précipitation de vouloir sortir un film un an après. Cela fait penser au second volet de Divergente fait également à la va-vite avec un scénario tout aussi vide et plat.
Osons l'avouer tout de suite : on attendait ce film avec quelque intérêt. Car Le Labyrinthe premier du nom, sorti l'année dernière, à défaut d'être un chef d’œuvre, contenait assez de scènes prenantes pour être captivant de bout en bout, loin des codes et standards usités et ringards auxquels on s'attendait avec cet énième teen movie. Un an plus tard débarque donc sa suite qui, pour un blockbuster de cette envergure, se pare d'un petit budget (''seulement'' 60 millions de dollars). Comme avec Hunger Games, l'on aurait pu s'attendre à un épisode bis repetita, mais le concept est bien plus malin qu'on ne le pense. Ainsi arrive-t-on dérouté dès les premières minutes de cette Terre Brûlée (The Scorch Trials, très bon titre par ailleurs) dont l'esthétique froide et géométrique contraste avec le foisonnement coloré du premier film. En réalité, l'on va vite se rendre compte que cette suite se découpe en plusieurs chapitres, comme plusieurs niveaux d'un jeu vidéo ou parties d'un roman. Le problème est que, pour un public qui un temps soi peu n'est pas familié à l'univers de la saga, ces différentes parties ne semblent jamais reliées entre elles et peuvent facilement désorienter le spectateur. La première partie, la plus faible, est en réalité le piège de la facilité dans lequel est tombé Wes Ball : s'il ne cesse de balancer références sur références pendant tout le film, cette (longue) ouverture tombe dans les stéréotypes caractéristiques du genre et enchaîne les incohérences. Heureusement, sorti de cet enfer (sic) claustrophobique, le film débute sa meilleure partie qui transforme le teen movie en véritable survival bardée de références cinématographiques et télévisuelles entrées dans l'inconscient collectif, de l'esprit post-apo de Mad Max aux zombies de Walking Dead, les clin d'oeil sont là mais ne servent jamais le film à une quelconque explication d'éléments narratifs restant flous jusqu'au bout. Cependant, ce Labyrinthe numéro 2 a pour lui un joli décorum qu'il exploite intelligemment, quelques séquences rythmées bien prenantes, une mise en scène (très) sobre qui ne se permet jamais quelque folie et surtout une jolie thématique du retour à la civilisation appuyé par l'évolution du paysage, désert, ruine avant d'arriver sur une route goudronnée. C'est ainsi que, malgré quelques baisses de régimes évitables, Le Labyrinthe : La Terre Brûlée reste un blockbuster d'honnête facture, bien ficelé et prenant de bout au bout. Ça n'en fait pas pour autant un chef d’œuvre, mais quand on s'attendait vraiment au pire, ça fait plaisir.
Je n'ai pas lu les livres mais après avoir été agréablement surprise lors du premier volet, j'apprécie autant le second. C dernier est plus sombre, plus noir mais aussi plus émouvant. Les personnages sont attachants et fraternels entre eux, on ressent cette amitié à l'écran contre tout obstacles! De nouveaux arrivants qui pimentent le scénario. Une vrai complexité est face à nous...Un peu trop d'effets spéciaux mais de l'action, on ne s’ennuie jamais, de l'émotion et une envie de voir la suite!
Surfant sur la nouvelle vague des blockbusters dystopiques pour adolescents du genre "Hunger Games" ou "Divergente", la suite du très sympathique "Labyrinthe", est une belle bouse qui nous fait regretter d'avoir perdu deux heures de notre vie et par la même occasion sept euros durement gagné. Reprenant là ou le frustrant final du film original se clôturait, nous retrouvons Thomas et toute sa clique qui vont devoir faire face à leur plus grand défi, rechercher des indices à propos de la mystérieuse et puissante organisation connue sous le nom de WICKED. Peinant franchement à démarrer et flanqué d'un rythme poussif et plus qu'étiré, "La Terre brûlée" n'est qu'un pauvre nanard de 61 millions de dollars, simpliste à l'extrême et dénué de tout enjeu. Pourtant, après la belle surprise qu'on avait eu du premier opus, qui se démarquait par l'intelligence de son propos et son originalité bienvenue, on était en droit à s'attendre à une suite digne de ce nom, mais l'équipe technique à préféré réaliser un énième film de zombies afin de renflouer les caisses et satisfaire des adolescents à l'encéphalogramme plat. Pur opus de transition dynamique, bancal et peu prenant, sorte d'aventure post-apocalyptique de série Z, le long-métrage n'a pas la moindre qualité et s'intéresse beaucoup trop à ses zombies hideux alors que de nombreuses thématiques valaient la peine d'être exploités. Montrant très vite ses limites, le film de Wes Ball jouit toutefois d'une réalisation convenable avec quelques scènes d'actions réussies mais rien n'évite pas le naufrage, pas même le casting ( Dylan O'Brien, Thomas Brodie-Sangster, Ki Hong Lee et Barry Pepper). Par conséquent, "Le Labyrinthe : La Terre Brûlée" est une énorme déception ennuyeuse à la fois pathétique et manichéenne, bien loin de la grâce de son prédécesseur.
deuxième volet du film le labyrinthe que dire? Beaucoup plus action mais ont perd de l'originalité dans cet suite, ont apprend davantage sur ce monde post apocalyptique et quelque réponse qu'ont attendais dans le premier film. les jeunes acteur joue toujours aussi bien. coter réalisation la seul chose que je reprocherais ses les infecter qui rassemble un peut trop au jeux vidéo The last of us qui n'ais pas un mal vrai dire car il sont vraiment très bien fait. A voir car bon divertissement
J'ai apprécié le premier et également le second. Limite mieux ,enfin différents vu qu'il n'y a pas les épreuves du premier. Au vu des critiques et par chance, je n'ai pas lu les bouquins. Vivement le troisième. .. Et je précise que je ne suis pas un ados boutonneux .
Une suite qui nous permet d'avoir un peu plus d'indices sur cet univers tortueux. Les personnages s'enrichissent encore un peu plus et l'histoire avec eux. Vivement la suite !
Je commence par les regrets du film concernant en premier les incohérences de survie : manger, boire (une gourde qui sort de je ne sais où pour toute l'expédition), la vitre c'était un classique mais Ball aurait du s'en passé c'était trop vu ailleurs et pis la CGI avec des décors "d'action" en fond vert râté, quand même ils craignent (je parle pas des superbes reconstitution des ruines d'immeuble mais lorsque Thomas echappe à plein de chose ou qu'il évite des obstacles etc.) Parcontre les infectés au top ,"toutes" les séquences de poursuite où tu es scotché au fauteuil avec les zombies qui cavalent, j'adore. Les acteurs restent dans la continuité de ce qu'il nous avait proposé dans le premier soit dommage qu'on n'a pas fait de lien "clair" avec la fin du premier volet (la relation Thomas et Theresa surtout), j'admet que j'étais perdu par moment avec leurs explications scientifiques ou relation complexe. A part tout çà ce fut juste un très bon divertissement de plus, il n'a pas eu le même impact que pour le premier.
au secours. film bien mal agencé. des longueurs soporifiques entre deux séquences d'actions intenses. des actions très réchauffées, du déjà vu, des incohérences, un gros manque de structure logique, et le pire c'est que le film se termine quand ça commence à être intéressent. le jeu des acteurs est nul et trop décalé face à ce qu'ils vivent. bref du montage commercial, la carotte au bâton : si vous voulez voir la fin du film retournez-y à la prochaine sortie. trop décevant à l'image de la suite d'hunger game. a éviter
Bien, mais sans plus… Dans la lignée du premier; se regarde sans trop réfléchir. On attend, bien évidemment la suite. Sinon, première fois de ma vie où je suis tout seul dans une salle de cinéma, le grand luxe, quoi…