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    Manchester By the Sea
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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Ce film, je n’étais même pas au courant qu’il sortait. Je l’avais zappé parmi tant d’autres : ni l’affiche, ni le pitch, ni le casting n’avaient su attirer mon attention. J’en avais jusqu’à oublié le titre… Et puis voilà qu’un proche m’en a parlé, puis un autre, puis un autre encore… Très rapidement je me suis retrouvé avec je ne sais pas combien d’échos autour de moi de ce « Manchester by the sea », tous plus contradictoires les uns des autres. Entre ceux qui hurlaient au chef d’œuvre émouvant et ceux qui vilipendaient la soupe tire-larmes, les positions de chacun étaient tellement extrêmes que je me suis dit qu’il fallait absolument que j’aille le voir en salle ce film, histoire de me faire mon avis… J’en reviens justement. Et bah au final, tout ce que j’en retire, c’est que… bah ni l’affiche, ni le scénar, ni le casting, ni quoi que ce soit n’a su attirer mon attention… Bref, je suis resté sur mon sentiment de base quoi… Pour moi, il n’y a juste rien dans ce film. Pas de quoi s’enthousiasmer. Pas de quoi s’énerver. Juste de quoi s’ennuyer… Tous les clichés du ciné indé s’empilent les uns sur les autres. Le scénario essaye à un moment de nous poser un petit mystère, mais ça s’évente vite. Franchement, c’est parce que la réa est sobre que mon propos reste plutôt mesuré (et encore, niveau musique, case ta surenchère), mais sinon, tout pue la caricature et le surlignage. Moi je n’y ai pas cru une seconde. Le seul Casey Affleck m’a paru affligeant dans son jeu stéréotypé à l’extrême. Du début jusqu’à la fin, j’avais l’impression d’être assis dans un train touristique qui me faisait la visite d’Indéland, le parc d’attraction reconstituant tous les clichés du film indé. Du coup, difficile de s’émouvoir de quoi que ce soit, malgré la volonté du film à aborder des thèmes fortement chargés émotionnellement. Alors après – je le conçois – pour qui se sent comme un poisson dans l’eau avec ce genre de cinéma, peut-être que toute cette mécanique peut marcher du tonnerre. Enfin je suppose… Parce que moi, des films aussi fades et insignifiants que ceux-là, d’habitude, je les zappe… Après, vous concernant, c’est à vous de voir…
    floflo2204
    floflo2204

    81 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Cela faisait depuis Sundance que l'on attendait l'arrivée de Manchester By The Sea sur les écrans et l'intérêt autour de ce film n'a cessé d'augmenter du fait des discussions grandissantes autour de la saison des récompenses. On est pris aux tripes du début à la fin, l'histoire que raconte ce long-métrage n'a rien de très originale mais elle sait tirer pleine capacité de tous les détails qui la ponctuent. Ainsi, on est pleinement entraîné dans la vie de cet homme qui tente de redonner un sens à sa vie après des événements tragiques. Les acteurs sont tous au summum de leur art, Casey Affleck est absolument incroyable et méritera toutes les récompenses qu'on lui donnera, Michelle Williams est également impressionnante de justesse dans son rôle. Le jeune Lucas Hedges (déjà très bon dans Moonrise Kingdom) nous surprend de la plus belle des manières en ajoutant des petites nuances très intéressantes au film. La réalisation de Kenneth Lonergan est visuellement parfaite, on se plaît à suivre les moindres mouvements de caméra mais aussi les décors qui collent parfaitement à l'ambiance du long-métrage et à son scénario. La musique est aussi une part importante du film qui nous transporte dans des endroits qu'on n'aurait pas forcément imaginés mais qui nous conduit avec force et beauté à travers l'histoire éprouvante qui se déroule sous nos yeux. Manchester By The Sea s'avère être un véritable chef-d'oeuvre qui sait séduire son spectateur par tous les aspects de son long-métrage dont on suit avec grande attention les développements. Il ne va pas sans dire qu'on n'en sort pas forcément indemne puisque certaines scènes ont tendance à nous faire rire, d'autres à nous faire inévitablement pleurer mais à chaque fois cela est réalisé avec beaucoup de justesse et tout en nuance. Exit les gros clichés tire-larme, ici c'est le jeu d'acteur mêlé à une histoire brillamment écrite qui sait séduire le spectateur au plus profond de lui-même. On est face donc à un grand film qui saura séduire tout le monde et qui se place directement comme un des meilleurs films de l'année.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    « On commence 2017 comme on a fini 2016 », c’est-à-dire avec de très bons films qui nous brisent le cœur. Magnifique, puissant et intriguant, le récit du film nous tient en haleine du début à la fin. On se questionne, on est en complète empathie avec les personnages sans jamais tomber dans le pathos. « Manchester by the Sea » est l’exemple parfait qu’on peut raconter une histoire tragique avec des personnages brisés, sans tirer sur la corde de l’émotion. Les petits traits d’humour, les silences et les regards ont beaucoup plus d’impact que les larmes. Un film simple mais puissant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Superbe film intimiste qui prend son temps pour révéler par petites touches, via des flash back parfaitement construits, le drame qui a dévasté à jamais la vie de son héros.
    Le réalisateur évite le piège du mélo et réussit même à injecter ça et là des moments comiques, sans oublier pour autant l'émotion, qui monte graduellement, et la direction d'acteurs est au diapason. Casey Affleck en tête, qui trouve là un des rôles de sa vie, et Michelle Williams, dont les apparitions sont sublimes. Les seconds rôles sont également tous parfaits.
    Sans conteste l'un des meilleurs films de l'année.
    jacquesecret
    jacquesecret

    7 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    C'est le premier film de l'année nouvelle que je viens de voir mais si je devais le rattacher à 2016 ce serait, de mon point de vue, l'un des meilleurs, sinon le meilleur.
    Fort habilement - il faut attendre la moitié du film ... - pour comprendre cet homme brisé qu'est devenu Lee et son côté "survivant" qui n'attend plus rien de l'existence, qui se sent incapable, voire indigne même, de devenir le tuteur de son jeune neveu de 16 ans...
    C'est une histoire poignante, un mélodrame dans le meilleur sens de terme, servi par des acteurs remarquables de justesse dans les personnages qu'ils incarnent.
    Pour une fois, ce film est salué par une presse unanime. C'est un bon signe. C'est surtout mérité !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Impossible de ne pas reconnaître la grande qualité de ce film!
    L'écriture est juste et intelligente. Les acteurs poignants.
    Un film sur la survie, à défaut de rédemption, d'un être irrémédiablement détruit et pourtant toujours vivant...
    Sujet de film pas "sexy" en soit, pas "banckable", et qui vaut d'être salué dans le contexte atroce du cinéma contemporain...
    Reste quelques longueurs peut-être, et une mise en scène un brin froide, sur une musique (Albinoni) trop pressante...
    Mais quand-même. Quelle film !
    ouadou
    ouadou

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Avec un sujet aussi dur et fort, ce sublime mélo tape dans le mille. Une finesse, une humilité face aux personnages. Des moments bouleversants, des scènes magnifiques. Affleck incroyable et que dire de son neveu, épatant. Grande claque
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    La plupart des critiques professionnels, sauf celui des « Cahiers du cinéma », ont crié au chef-d’œuvre, mais c’est un peu exagéré, car ce film, qui avance très lentement, réunit un certain nombre de clichés (sur la famille, sur le traumatisme, sur l’incompréhension, sur la jeunesse, sur la solitude, et ainsi de suite), qui font de ce mélo interminable un film un peu surfait, et lui ont valu, sans aucune surprise, d’être sélectionné pour une présentation au festival de Sundance, la Mecque du politiquement correct.

    Par ailleurs, le comportement bizarre de ce personnage mutique, qui ne sait pas parler aux femmes et fait volontiers le coup de poing dans les bars, déroute un peu.

    Bref, Lee, ancien champion sportif, est devenu plombier à Boston et passe sa vie à déboucher des canalisations dans des appartements modestes, lui-même vivant dans un studio sans meubles ni confort. Beaucoup de temps s’écoulera avant que l’on comprenne qu’il a spoiler: été traumatisé par l’incendie de sa maison, dans lequel ses enfants sont morts, ce qui a provoqué aussi le départ de sa femme
    . Le déclencheur de cette histoire est la mort de son frère, dont le testament fait de lui le tuteur de son neveu Patrick, un garçon de seize ans tout à fait normal, qui n’accepte pas de quitter la ville où il vit, ses copains, son lycée, son groupe de musique, son équipe de hockey, ses petites amies, pour aller vivre à une centaine de kilomètres de là.

    Ce thème est longuement développé, le dilemme est résolu par spoiler: l’adoption envisagée de Patrick par un ami de son père et la réconciliation probable de Lee avec son ex-femme
    . Mais il faut noter la lourdeur de la musique, certes classique, mais peu subtile : toute la séquence de l’incendie et de la tentative de suicide de Lee est musiquée par l’Adagio dit « d’Albinoni » (lequel n’est pas de lui), passé intégralement, ce qui semble interminable et bien peu subtil dans le style tire-larmes. On aurait préféré un dialogue de meilleure qualité.

    Techniquement, le scénario qui introduit en douceur de nombreux retours en arrière, est bien pensé, et les acteurs, Casey Affleck et Lucas Hedges, sont très bons, permettant de supporter la durée exagérée de ce film ultra-délayé, deux heures et dix-huit minutes !
    Maimouna L.
    Maimouna L.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    La mort traverse tout le film, le jeu de Casey Affleck est fort, mais tout le film est tire-larmes. Cela fait penser à une série télé. Cet homme cassé par la douleur et la culpabilité ne sait que faire de sa vie, essaye mais n'y arrive pas, quel programme ! Affligeant...
    thierry H
    thierry H

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    sujet fort magnifié par le réalisateur. quelques scènes sont inoubliables
    cases Affect est parfait

    .
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    Voilà un film dont une fois sortie de la salle, on a énormément de choses à dire, à commenter, à interpréter,… Un film d’une richesse et d’une finesse rare dans un cinéma américain marchant habituellement à la testostérone ; on a du mal à faire le pitch de peur d’en dévoiler, pire, d’en réduire le contenu. Essayons mais succinctement : Lee est un factotum taiseux à Boston sans vie sociale, on sent l’écorché vif en survie. Il est appelé à retourner à Manchester by the Sea suite à la mort de son frère pour s’occuper de son orphelin de neveu ado. Le retour dans sa ville de cet homme donnant l’image de quelqu’un d’à moitié déjà mort, fonctionnant plus que vivant, semble déjà un traumatisme. Le jeune ado a une vie bien sociale bien remplie dans sa ville ; Lee a un passif avec cette ville qui l’empêche de se projeter comme tuteur de son neveu dans une ville synonyme de souffrances.
    Autour du thème fort de la survie après un drame, Kenneth Lonergan renoue avec les grandes heures du cinéma américain autour d’un genre oublié : le mélodrame. Coup de maître, genre propice à faire pleurer dans les chaumières ; Lonergan redonne ses lettres de noblesse au genre : jamais putassier, jamais larmoyant ; mais extrêmement bien écrit et pudique. Aucune facilité ni de scènes inutiles, il s’appuie sur un scénario solide où toutes les situations et les rapports humains respirent le réalisme. Digne, élégant et bouleversant ; ce film traite du deuil, du retour à la vie, de la résilience autour d’une chronique familiale bien sentie. Et pour porter le rôle de Lee, l’homme anéanti par son lourd passé, Casey Affleck est d’une puissance incroyable. Pour lui donner la réplique, façon de parler, car ses dialogues sont rares ; Michelle Williams est tout aussi parfaite. Ce film recèle de belles scènes éprouvantes et parfois autour de moments pratiquement insignifiants. Lonergan sublime la banalité.
    Un des beaux films de l’année 2016
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    Trois anges passent..

    Réalisation Kenneth Lonergan 2016

    Casey Affleck se dépasse, il est subtil avec tout la misère du monde sur ses épaules, pas de pathos, de la colère contre lui-même. Son jeu est tout en nuance, parfois taiseux. Il manifeste sa rage avec ses poings, il cherche la bagarre dans les bars, pour recevoir des coups et se punir d’être en vie. Une histoire de vie dévastée, un destin qui refuse d’aller plus loin. On attend la fin en payant le prix fort d’une vie anéantie.

    Le portrait est poignant, la réalisation prend le temps comme la mélancolie qui l’accompagne. Une musique parfois pompeuse plombe l’ambiance mais on aime tant Lee Chandler que que l’on garde le coeur serré.

    Retour à Manchester pour Lee, suite à la mort de son frère Kyle, une souffrance que de revenir sur les lieux du drame. Son frère l’a désigné comme tuteur de son neveu Patrick. Un gamin rebelle avec un comportement d’adolescent mais le coeur brisé. Il vivait seul avec son père depuis toujours. Patty sa mère est partie vivre sa vie et ses excès loin d’eux. L’oncle Lee ne veut pas de cette responsabilité dans cette ville qui le ramène à ses pires souvenirs. Mais la rencontre des ces deux là est à fleur de peau, chargée d’amour et de maladresse.

    Kenneth Lonergan nous présente un film sans effet de manche, sauf la musique peut-être, mais il soigne les images. Il sublime les coeurs brisés et nous bouleverse avec délicatesse et pudeur. Du très bon cinéma.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Depuis une semaine, j’écoute régulièrement la bande son très classique et chorale de ce film. Elle parait solennelle par rapport à la simplicité des personnages de ce drame. Casey Affleck en homme à tout faire, habitant dans un sordide entresol, grand comme une cellule de prison, mérite-t-il cette beauté musicale qui l’accompagne ses tribulations, de son neveu,de son ex-femme et de son frère ? La réponse est oui.
    Après Paterson, nous voilà donc à nouveau dans une petite ville du nord-est des USA, moins glauque, reposante, avec l’appel de la mer et des parties de pêche en mer en fond d’écran.
    Plus question de poésie et de petits plaisirs du quotidien, cette fois on plonge dans le drame absolu, le genre d’histoire dont que la littérature américaine aime affronter et nous détailler par le menu quand la sidération l’emporte sur la douleur. Ici, la mise en scène de cette lente remontée vers la surface imaginée et tournée par un Lonergan inspiré est une vraie réussite. Et surtout portée avec une infinie retenue par Affleck, accablé et portant en silence sur ses épaules tout le malheur de la terre. La nouvelle responsabilité qui lui tombe dessus, être le tuteur de son neveu, pourrait le faire couler définitivement ou lui ouvrir une échappatoire salutaire.
    J’avoue ne pas avoir été saisi par l’émotion que devrait susciter le rôle de Lee, mais peut-être justement la subtile vérité de cette homme, révélée par un acteur talentueux, est au-delà de la compassion primaire et sans lendemain.
    Grand écran VO - décembre 2016
    Charles R
    Charles R

    51 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2017
    Et voici Manchester. Non pas la grande cité anglaise, mais une cousine éloignée, en l'occurrence un ravissant port de pêche du Massachusetts. L'histoire contée dans le film de Kenneth Lonergan a tout du mélodrame. Une histoire de famille - les Chandler - touchée par le décès d'un homme encore jeune dont le frère, Lee, sera violemment éprouvé et qui prendra alors en charge son neveu, Patrick, un garçon à la fois hypersensible et jeune donjuan sans scrupules. Un des points marquants du film sera l'analyse du lien de plus en plus fort entre le père de substitution et son neveu. Au passage, splendide interprétation d'une jeune recrue du cinéma américain, Lucas Hedges, qui joue son rôle avec une émotion contenue et parfois un humour qu'on ne peut qu'apprécier. Mais l'autre versant du scénario consiste en un travail de mémoire douloureux qui amène Lee Chandler à se remémorer de la façon la plus intense un épisode crucial de son existence qui a coûté la vie à des êtres chers. C'est donc une interrogation du passé à laquelle va se livrer le personnage principal et qui explique l'abondance des flashbacks. La succession des rebondissements qui marque le scénario s'inscrit bien dans la structure d'un mélodrame. Et pourtant Kenneth Lonergan - cinéaste peu connu en France, mais scénariste entre autres de "Gangs of New York" - réussit le courageux pari d'épargner à son film de 2h15 les pleurnicheries d'usage et les appels au sentimentalisme facile. Seule réserve que nous ferons : l'usage de l'Adagio pour cordes le plus célèbre d'Albinoni - et ultra rebattu - dans une séquence où culmine le caractère impulsif du personnage de Lee. Pour le reste, la bande son témoigne d'un beau travail et d'un souci constant d'adéquation aux émotions ressenties. Enfin si l'on a parlé de Lucas Hedges, révélation de ce film, il faut bien sûr saluer la prestation de Casey Affleck qui donne à son personnage une dimension profondément humaine en jouant sur une psychologie d'écorché vif. Saluons aussi les apparitions peu nombreuses mais ô combien émouvantes de Michelle Williams, ainsi que le jeu maîtrisé de tous les acteurs qui ont participé à cette belle aventure. Réservons une dernière mention pour la qualité de la photographie qui illumine à merveille ce coin du Massachusetts d'où une certaine sérénité se dégage malgré la violence des sentiments.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 janvier 2017
    Décevant et surcoté : voilà ce qui me vient à l'esprit pour qualifier ce film. Cette chronique sociale ne décolle jamais et si l'ambition du film est perceptible, le traitement et le rythme de l'histoire sont d'une constance au final rébarbative : je suis désolé mais je me suis globalement emmerdé
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