Derniers Avis : In the Fade - Page 5

Un film plutôt lourd , une impression de "déjà vu" , l'attentat qui tue des êtres chers et la douleur de la mère.Et en plus on a une sorte de dramatisation manichéenne de l'ensemble. Les vilains "néo nazis" , les juges trop soft, le méchant avocat de la défense , balafré , à la tête de nazi. L'héroine qui prend de la drogue avant d'être interrogée par la police; beaucoup d'invraisemblances , très caricatural. Du cinéma "politique" à l'ancienne , qui défend sa thèse , avec beaucoup de loudeur. Diane Kruger est bien , mais en rajoute aussi souvent dans le trémolo et le drama , trop de pleurs et d'hystérie.... Rien d''exceptionnel dans son jeu.. Une palme d'interprétation bien politique...

Les invraisemblances du scénario ne nous font pas croire à cette histoire. .La trame est sirupeuse et tout le pathos de Diane Kruger ne parvient pas à faire décoller cette ode du multiculturalisme.

une vengeance parmi tant d 'autres films de ce genre avec comme spécificité d 'être est faite par une femme .
c 'est plutôt bien écrit avec une réalisation dépouillée mais efficace .
un bon rôle d 'acteurs sans plus les sentiments et les ressenties ont visiblement eu qu'un second rôle
la fin est originale au vu de ce style de film

Vu totalement par hasard, on se voit devant un film au sujet vaguement déjà vu mais traité de façon différente. Un attentat, des victimes qui n'ont demandé et ceux qui restent endeuillé ou non.. Nous voilà devant un film réalisate et pleine de mouvement. On a l'impression que le tout est vécu de l'intérieur par la familles des victimes. Abordant dans ce drame inqualifiable, le moindre détails de ce drame qui est de plus en plus au cœur de l'actualité. APrès un début légèrement prenant, on reste peu à peu happé par le propos. Des scènes s'alignant (mais étant inévitable pour remplir le cahier des charges de l'histoire mais légèrement froide pour le public. On mettra donc un peu de temps avant d'entrer dans le sujet. Avec pour exemple, le procès qui en lui-même n'est guère convaincant. MAis soit on va passé outre (un manque d'émotion notamment dans celui-ci, un manque de réelle surprise qui fait défaut au spectateur. Mais également la dernière partie qui est assez ; voir beaucoup trop rapide. MAis surtout maladroite et relativement simpliste. Un réhaussement auquel on n'attendait plus grand chose, vient conclure le film avec la scène final assez magnifique. Une production à l'européenne qui prend son temps (peut être parfois un peu trop^^) et qui ne joue pas globalement sur le même équilibre (ce qui peut jouer sur l'ensemble du film, d'autant qu'il détaille un peu trop ; oubliant un peu l'essentiel du film (et ainsi le plaisir du spectateur) Une production regardable pour les amateur du genre, et tout autre public ; qui même s'il subsiste quelques défauts ; arrive à se laisse regarder. Même si on en gardera pas un souvenir inoubliable. Pour passer une première partie de soirée. Pourquoi pas.

Le succès de « In The Fade » est plutôt limité, lorsque l’on considère l’hyper activité de l’équipe responsable de la promo, et les moyens qu’elle a déployés pour accompagner la sortie du film. On l’a vue défiler des semaines durant sur de nombreux plateaux télé, y compris Diane Kruger, dont la performance est exceptionnelle et méritait son 1er prix d’interprétation cannois. L’accueil relativement timide du public ne vient donc ni des acteurs, ni des promoteurs. Il vient surtout du metteur en scène-scénariste Fatih Akin, lui-même. Sa réalisation a un rythme de corbillard, alourdie par de longs silences, et des scènes étirées à l’extrême. Son suspense manque d’intensité, et son intrigue est présentée de manière un peu simpliste, à la limite du crédible. Comment avec tous ce faisceau de preuves, un procès peut-il avoir une telle issue? La réticence d’une certaine partie du public vis à vis du film, vient aussi de sa gêne à voir une oeuvre dénonçant unilatéralement un activisme néo-nazi Européen, sans évoquer une seule fois la montée en puissance d’un islamisme radical de plus en plus ostentatoire et vindicatif, avec sa courbe exponentielle de victimes d’attentats de masse. « Head On » avait été bien mieux accueilli, car la réalisation d’Akin était plus dynamique, et son intrigue avait un aspect plus réaliste.

Un film sur le deuil, l’injustice et la vengeance. La douleur de Katja est absolument insoutenable. Le jeu de Diane Kruger et absolument parfait.
Du début à la fin on ressent la souffrance et on sait que peu importe la tournure, les actes de la mère en deuil, on sera capables de comprendre.
Un très bon film, à regarder en VO pour plus d’émotions .

Malgré que c’est triste j’apprécie bien la fin.
Diane Kruger assure vachement
Elle ne pouvait pas survivre à tel douleur

Ce film est totalement raté pour moi. Les 2 étoiles sont pour l'actrice qui sauve en quelque sorte le film.
Cependant il y a divers problème dans celui ci.
Premièrement le film ne nous permet de nous attacher aux personnages y compris la mere qui a perdu son fils et son mari. Cela deja je trouve ca assez étrange vu qu'on suivra toutes ses émotions ensuite. La famille réunie on ne l'a voit que tres peu dans le film donc la mort du père et du film me paraît tres éloignée de moi. Je n'ai pas du tout été touchée ou émue dans ce film car les personnages restent des personnages.
Ensuite le deuxième chapitre est absolument pas réaliste... On découvre d'un coup qui sont les coupables.Le procès n'est pas du tout réaliste, les émotions sont trop sur jouées. Tout me paraît superficiel.

Et enfin, il y a aucune ambiguïté: les méchants sont très très méchants et les gentils sont très gentils... Voila, rien ne bouge, on ne comprend pas vrmt l'idéologie de ces deux criminels mais ils sont très méchants, c'est comme ca.

Tracer votre route...

4 thèmes dans ce drame (pas thriller). Le terrorisme, le deuil, la justice, la vengeance. Ces 4 sujets mis à l'écran ne sont pas d'égales intensités, d'où une certaine déception.
La prestation magistrale de D. Kruger sur l'item du deuil "écrase" de par sa prestance la suite de l'histoire, devenant assez insipide et attendue au final. Quelques longueurs. A voir ! 3.5/5 !!!

Un film pour certains des retournés du cerveau situés généralement à l'extrême gauche politiquement.

un drame puissant qui se déroule en trois temps. empreint de gravité et de lourdeur au regard du thème politique évoqué, ce récit accroche le spectateur jusqu'au dénouement incertain. D. Kruger justement couronnée du prix d'interprétation à Cannes. un film choc!

Diane Kruger a reçu à Cannes le prix d'interprétation féminine, peut être pour faire connaître le film car sa performance n'est pas exceptionnelle. Le film ne doit pas être jugé pour son message politique ou le comportement de Katja. Donc si on retire cela, il reste un style cinématographique classique d'un film de vengeance. Le scénario est très réaliste mais triste et banal.

Excellent film, mettant en scène une Diane Kruger plus convaincante que jamais. "In the fade" est découpé en trois parties de niveau égal, que j'ai autant apprécié. C'est un film qui brasse nombre de sujets, du deuil d'une mère à la quête de vengeance, en passant par le système judiciaire allemand. Tout est traité avec une grande justesse de ton et avec une mise en scène de qualité, qui est surtout mise en évidence dans la troisième et dernière partie.

Des nazis, lol. Alors que les attentats sont à 100% - ces derniers temps - des attentats islamistes, on nous ressert la vieille bonne soupe des attentats nazis. Risible et pitoyable. Visiblement on a peur de nommer un chat un chat.

Joli petit navet en forme de téléfilm où l'on s'ennuie ferme. Acteurs plats et caricaturaux. Evénements montrés avec le dos de la cuillère, scénario exsangue. La douleur suscitée par les attentats est détournée au profit d'une actrice désirant son grand prix à Cannes. Ce qui conforte le dévoiement de ce festival pompeux et nauséeux.