In the Fade
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227 critiques spectateurs

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Shelby77
Shelby77

173 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 juillet 2018
Le film ne brille pas vraiment par son scénario ni sa mise en scène. Tout repose sur le personnage principal en quête de justice. Diane Kruger nous offre ici une interprétation nickel. Le spectateur vit sa douleur, sa peine, sa haine, sa soif de vengeance.
PaulGe G
PaulGe G

114 abonnés 607 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 19 janvier 2018
film en deux temps . l'affaire - la "suite" je ne dis pas le thème de la 2eme partie car se serait annuler le suspens. Diane est fabuleuse et son avocat magistral. la première partie filmée en contre jour ou clair obscure pour donner plus de force, a l'image, tres peu de musique juste quelques notes presque"invisibles" une émotion terrible et un sujet malheureusement si d'actualité . un film tres fort .
Dydywa
Dydywa

12 abonnés 51 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 janvier 2018
Du grand Diane Kruger������
Un film tellement touchant , qui prendre aux tripes
La vengeance Magnifique
lhomme-grenouille
lhomme-grenouille

3 397 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 18 janvier 2018
Fatih Akin, depuis « De l’autre côté » moi c’est un gars que j’ai toujours à l’œil. Je l’ai toujours à l’œil parce que ça me surprend à chaque fois que, malgré une forme qui ne me convient guère d’habitude, son cinéma peut parvenir à me toucher. Je viens tout juste d’évoquer « De l’autre côté » et ce n’est pas un hasard. Pour moi ce film c’est la quintessence de ce qu’Akin est capable de produire. C’est cru, voire presque un peu poisseux, mais au final il y a quand même une véritable force qui ressort de cette sécheresse là ; de cette réalisation à fleur de peau. Et si je vous dis tout cela avant de vous parler de « In The Fade », c’est parce que je pense que ce film a l’air d’être pensé plus ou moins dans la même veine. On prend des personnages lambdas plongés dans un monde bien banal, et puis un enchainement d’événements qui les dépasse les amènent à se bouffer dans la tronche une réalité du monde bien rude ; quelque-chose qui n’est qu’une réalité abstraite et qu’on ne connait qu’aux informations mais qui là devient une réalité qui s’ancre dans la chair des gens. D’une certaine manière, « In The Fade » n’échoue pas vraiment sur ce point là. Si le début m’a totalement laissé indifférent (mais bon, ça c’est comme chaque film d’Akin), je dois bien avouer qu’à partir du moment où l’élément perturbateur est posé, je me suis globalement laissé prendre. Pour moi, ça a marché quand le film savait être sobre et cru ; quand les éléments tombaient sèchement sans préliminaires ni emphase. La partie II est d’ailleurs pour moi la plus réussie parce que, aussi bien dans le fond que dans la forme, on est dans ce genre de démarche très froide et brutale. Seulement voilà, si au final je ne mets que deux étoiles à ce film, c’est parce que malheureusement il ne remplit pas entièrement cette promesse là et, surtout, je trouve qu’il se perd dans son dernier tiers. Parce que oui, j’avoue qu’en termes de sobriété, il y a quand même quelques moments qui auraient pu être évitables. Les scènes de pleurs et de désarrois, moi, je n’ai pas besoin qu’on m’en mette des tonnes pour que je sois en empathie avec le personnage. Du coup, quand un réalisateur s’attarde sur des moments de pathos, je ne peux m’empêcher de le percevoir comme une facilité qui peut vite m’énerver. Heureusement, ces excès sont ici modérés, mais ils sont là, et ils ont quelque peu nui à mon immersion. Mais bon, comme je le disais à l’instant, pour moi le vrai problème, ce fut surtout ce dernier tiers durant lequel on se rend compte qu’en fait… bah on ne pas vraiment nous dire ou nous révéler grand-chose de plus que ce qui a été montré lors de la partie II. Pour le coup, j’ai vraiment vécu ce dernier tiers comme une évidence qu’on a délayé pendant un temps bien trop long, si bien que j’ai accueilli la fin d’un « ouf de soulagement », ne ressentant rien par rapport à ce qui m’avait été montré et qu’avait anticipé depuis un petit bout de temps déjà… Alors du coup, quand est venu le moment de faire le bilan au sujet de ce film eh bah j’avoue que ça a été compliqué pour moi d’en tirer de bonnes choses. Certes, j’avais quelques bons moments en tête, mais d’un autre côté je tombais un peu des nus face à une histoire qui, au final, ne m’a que très peu dit de choses sur l’humain et m’a très peu requestionné. C’est bête, parce que pour le coup je trouve que c’était aussi là-dedans que se trouvait la force des films de Fatih Akin. Cette force, malheureusement, je ne l’ai pas retrouvé dans ce « Ijn The Fade », et ce n’est pas l’interprétation propre mais quelconque de Diane Kruger qui a pu changer quoi que ce soit à cette donne… Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
lillysouf
lillysouf

3 abonnés 38 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 17 janvier 2018
l'interprétation de diane kruger vaut le detour, drame prenant et haletant à la fois. tiré d'histoires vraies une véritable surprise.
cylon86
cylon86

2 605 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 18 janvier 2018
Quand Katja perd son mari et son fils dans un attentat à la bombe, c'est tout son monde qui s'écroule. En quête de justice, elle réalise l'impuissance de la justice allemande à l'aider et décide de se venger à sa façon... Film profondément politique et terriblement d'actualité, "In the Fade" a rapidement créé la polémique lors de sa présentation au Festival de Cannes. Il faut dire que le manichéisme du cinéaste, délaissant la subtilité pour essayer de faire efficace, n'aide pas vraiment le film. Construit en trois parties s'imbriquant assez mal, sois trop sensationnaliste et démonstratives soit carrément douteuses, "In the Fade" ne parvient jamais à apporter l'émotion recherchée. Il faut dire que la morale du film, assez douteuse et prenant trop facilement le spectateur par la main, laisse un peu circonspect. Le sujet était casse-gueule, Fatih Akin en récolte les conséquences. Si son ambition est louable, sa façon d'imposer sa vision des choses a du mal à passer et peine à totalement convaincre. Seule Diane Kruger, incandescente en femme qui voit le monde s'écrouler autour d'elle, parviendra à mettre tout le monde d'accord. Son prix d'interprétation à Cannes n'est pas volé. Le reste du film est plus discutable et d'autant plus dérangeant que sur un sujet similaire, "3 Billboards" est sorti le même jour chez nous avec un regard infiniment plus nuancé et subtil. Difficile dès lors d'accorder du crédit au film, sa fin ayant franchement du mal à passer.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 20 janvier 2018
Diane Kruger est impressionnante de justesse dans cette terrible histoire d'attentat... Elle irradie l'écran de sa force, de ses douleurs, elle encaisse les coups, elle lâche prise, elle s'effondre puis se redresse... Elle a amplement mérité son prix à Cannes...
Stefan R
Stefan R

26 abonnés 226 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 21 janvier 2018
IN THE FADE, un thriller dramatique réussi, divisé en 3 parties (Famille, Justice, Mer) !!! En effet, ce film allemand est à la fois touchant, divertissant, surprenant par son dénouement et joué par une actrice de talent : Diane Kruger !!!
Cinéphiles 44
Cinéphiles 44

1 436 abonnés 4 287 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 1 juin 2017
Dans In the Fade, Diane Kruger tient le rôle d’une femme dont la vie a été brisée suite à un attentat à la bombe sur son mari et son enfant. Le deuil et la justice n’étant pas de son côté, elle va tout mener pour se venger d’elle-même. Si l’actrice est convaincante, nous sommes fortement étonnés que celle-ci obtienne le prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes 2017. En effet, tout semble écrit pour que le spectateur soit touché et perd alors en spontanéité. C’est la première fois que l’actrice joue dans son pays natal, l’Allemagne. Il est question de racisme entre néonazis et turques. Pourtant ce cœur de sujet est vaguement exposé et se concentre davantage sur ce que traverse notre protagoniste. D’ailleurs avec ses yeux bleus et sa chevelure blonde, celle-ci est loin de ressembler à une femme d’origine turque. Finalement In the Fade se résume à être un excellent thriller, mais s’éloigne complètement de son sujet initial.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
Serge V
Serge V

86 abonnés 446 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 janvier 2018
les critiques négatives que j ' ai lues dans la presse portent presque exclusivement sur le fond , on lui reproche son manichéisme , son rapport avec l ' idée de vengeance , ..., mais pour moi j ' ai vu un film qui , après un début un peu faible , la douleur de l ' héroïne après la perte de son mari et de son fils dans un attentat , devient vraiment passionnante dès la venue du procès et jusqu ' à la fin du film. diane kruger est extraordinaire et mérite bien son César !
Nad Eau
Nad Eau

5 abonnés 13 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 19 janvier 2018
Enorme déception pour ce film aussi caricatural, dualiste dans sa construction dramaturgique, que convenu sur le plan esthétique et idéologique (un plan en trois parties laborieux digne d'une mauvaise copie de collège). Les méchants nazis contre les gentils turcs. Cousu de fil blanc, et malsain (racialisé, nunuche et dans le pathos facile, donneur de leçon). La partie consacré au procès est particulièrement manichéenne, forcée et ennuyeuse. Aucune profondeur.
abcdetc
abcdetc

4 abonnés 38 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 21 janvier 2018
In the Fade est donc le titre “français� d'un film nommé Aus dem Nichts dans sa version originale.
Fade en effet, ce film dont rien n'émerge. Un manichéisme insupportable et tellement d'invraisemblance et d'incohérences pour un film qui se veut inspiré de la réalité,
D'autant plus déçu par ce ratage et naufrage que j'avais tellement aimé d'autres films de Fatih Akın.
Quant au prix d'interprétation de Diane Kruger…
Michaël L.
Michaël L.

11 abonnés 28 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 21 janvier 2018
Diane Kruger a beau être exceptionnelle dans ce film nous permettant de se laisser prendre au film, on a l'impression d'avoir déjà vu ce film des dizaines de fois. De plus, le titre ne laisse que peu de doute à la fin de ce film et tout se déroule de manière totalement longiligne sans réel rebondissement. Cepandant, hors sujet purement cinématographique, une très bonne bande son ave Courtney Barnett et Lykke Li
colombe P.
colombe P.

135 abonnés 695 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 janvier 2018
Film remarquable en tous points : message véhiculé, réalisation, interprétation.
Film coup de poing, très maîtrisé, très réussi.
L'AlsacienParisien
L'AlsacienParisien

647 abonnés 1 411 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 20 janvier 2018
Sans doute l'un des films les plus attendus de la croisette 2017, "In the Fade" trace le destin fatal d'une mère de famille allemande qui perd son mari et son enfant dans un attentat à la bombe. Le sujet est on ne peut plus d'actualité et Diane Kruger mène avec émotions fortes et conviction ce parcours du combattant pour que justice soit faite. Fatih Akin s'est basé sur des meurtres qui ont lieu en Allemagne par des groupes nazis envers des turcs, qui n'étaient la cible juste à cause de leurs origines. Le sujet est fort et d'un réalisme déconcertant. Coupé en trois parties distinctes, la première se focalise sur l'attentat et sur les jours qui suivent. Tout comme le vivent les personnages, le temps semble s'arrêter, se figer pour laisser place au choc et au deuil soudain. Les scènes sont violentes, intenses et pleinement vécues, et l'émotion nous gagne inéluctablement, sans qu'on la voit arriver, tellement la situation fait écho à notre réalité. La deuxième partie, elle, se concentre sur l'aspect judiciaire de l'affaire, de la condamnation des coupables, toujours avec l'insolite Diane Kruger en ligne de mire qui assiste à l'injustice de ne pas pouvoir agir face à la justice. S'ensuit une dernière partie, qui porte en elle tout le parti-prix du film, et dont je ne dirais rien au risque de gâcher la surprise. Mais c'est cette dernière partie qui m'a moins convaincu et qui m'a en quelque sorte sorti de mon identification au personnage principal. Cette partie se veut plus personnelle et romancée, coupant tout écho avec nos références. Néanmoins, "In the Fade" est un regard poignant et crucial sur notre ère soumise à rude épreuve face à l'imprévisibilité de notre quotidien, de la menace qui nous guette et nous guettera pour encore longtemps. Je ne dirai pas que le film de Fatih Akin est pessimiste, mais il rentre dans cette vague de films à regarder, en mémoire aux victimes d'événements similaires. Bien sur, le jeu de Kruger est saisissant et mérite amplement son prix d'interprétation, mais "In the Fade" dépasse l'intérêt banal qu'on pourrait avoir sur d'autres films. Ca va au-delà, ça nous touche et ça nous parle.
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