Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Critikat.com
par Benoît Smith
(...) la force de "La Vallée" tient dans cette faculté de rendre à chaque plan cette tension du regard en partageant l'attrait de son objet.
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
"La vallée" ne se dessèche pas en une parabole de l’anéantissement mais croît dans la poésie fertile, à ce hors champ secret qu’il n’a de cesse d’explorer et en bon passeur, aux vertus de l’ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film le plus dépouillé, singulier et stylé du mois.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Superbe film que "La Vallée", d'une beauté, d'une langueur, d'un désespoir criants.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Dutrieux
Une œuvre pessimiste et étrange, portée par une musique impeccable et des acteurs précis.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une symphonie du réel se joue dans cet environnement libanais déphasé qui concilie la modernité stylistique d’un thriller sixties avec l’actualité du monde.
Positif
par Yann Tobin
La direction d'acteurs est exemplaire, cultivant le non-dit et les échanges de regards, en même temps qu'une jubilation presque théâtrale à s'approprier un dialogue fleuri.
Première
par Isabelle Danel
Tourné par le réalisateur de "Beyrouth fantôme", ce magnifique OVNI aux images brûlées traite de la guerre et de la mémoire. En refusant de donner toutes les clés de lecture, il reste énigmatique et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Sidy Sakho
Entre trivialité et abstraction, gigantisme et minimalisme, "La Vallée" est une actualisation hypnotique du grand cinéma moderne des années soixante. Antonioni n'est pas loin.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Cette histoire d'amnésique recueilli par des trafiquants de drogue sert de métaphore assez réussie sur l'état actuel du Liban.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans cet univers étrange, souvent envoûtant, mis en scène avec une précision extrême, le symbolisme des images peut devenir trop cérébral. Mais l'inquiétude n'est jamais univoque. Elle est aussi bien celle de l'homme amnésique que celle de tout le Moyen-Orient.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Après un premier tiers prometteur, le film stagne et s’enferme dans un formalisme stérile et de plus en plus exaspérant. La tension se dilue dans une esthétique arty qui finit par perdre le spectateur en route.
Critikat.com
(...) la force de "La Vallée" tient dans cette faculté de rendre à chaque plan cette tension du regard en partageant l'attrait de son objet.
Culturopoing.com
"La vallée" ne se dessèche pas en une parabole de l’anéantissement mais croît dans la poésie fertile, à ce hors champ secret qu’il n’a de cesse d’explorer et en bon passeur, aux vertus de l’ailleurs.
L'Humanité
Le film le plus dépouillé, singulier et stylé du mois.
Le Monde
Superbe film que "La Vallée", d'une beauté, d'une langueur, d'un désespoir criants.
Les Fiches du Cinéma
Une œuvre pessimiste et étrange, portée par une musique impeccable et des acteurs précis.
Les Inrockuptibles
Une symphonie du réel se joue dans cet environnement libanais déphasé qui concilie la modernité stylistique d’un thriller sixties avec l’actualité du monde.
Positif
La direction d'acteurs est exemplaire, cultivant le non-dit et les échanges de regards, en même temps qu'une jubilation presque théâtrale à s'approprier un dialogue fleuri.
Première
Tourné par le réalisateur de "Beyrouth fantôme", ce magnifique OVNI aux images brûlées traite de la guerre et de la mémoire. En refusant de donner toutes les clés de lecture, il reste énigmatique et envoûtant.
Transfuge
Entre trivialité et abstraction, gigantisme et minimalisme, "La Vallée" est une actualisation hypnotique du grand cinéma moderne des années soixante. Antonioni n'est pas loin.
Studio Ciné Live
Cette histoire d'amnésique recueilli par des trafiquants de drogue sert de métaphore assez réussie sur l'état actuel du Liban.
Télérama
Dans cet univers étrange, souvent envoûtant, mis en scène avec une précision extrême, le symbolisme des images peut devenir trop cérébral. Mais l'inquiétude n'est jamais univoque. Elle est aussi bien celle de l'homme amnésique que celle de tout le Moyen-Orient.
Cahiers du Cinéma
Après un premier tiers prometteur, le film stagne et s’enferme dans un formalisme stérile et de plus en plus exaspérant. La tension se dilue dans une esthétique arty qui finit par perdre le spectateur en route.