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    Mademoiselle
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    4,2
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    335 critiques spectateurs

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    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Park Chan-wook est un des plus grands cinéastes de sa génération, et un des rares metteurs en scène sud coréen à avoir une reconnaissance internationale grâce notamment à son tryptique sur la vengeance avec en son sein le chef d'oeuvre incontesté, Old Boy. Désormais, lorsqu'un de ses films sort en salles, il y a une vraie attente autour de celui-ci et il attire un public varié tout en connaissant un succès modeste par rapport aux autres productions du genre. Avec son dernier film, le réalisateur crée encore plus de curiosité. S'attaquant pour la première fois au thriller érotique, il promet un film fou et sans limites qui devrait s'imposer comme un gros morceau de cinéma. Et comme souvent avec le cinéaste on sera totalement pris à revers dans nos attentes par une démarche audacieuse aussi déstabilisante que fascinante.

    Librement inspiré du roman Fingersmith de Sarah Waters, le film de Park Chan-wook va au delà de l'intrigue intime de l'oeuvre de Waters pour venir exposer la situation entre deux pays qui s'alimentent tout en se rejetant ainsi que la difficulté d'une époque et d'une société où la censure est maîtresse et les libertés limitées. Servant de toile de fond passionnant aux parcours des trois personnages principaux, cette opposition entre la Corée et le Japon va amuser le réalisateur au point qu'il pioche dans les deux styles cinématographique pour alimenter son histoire mélangeant habilement l'hyper-réalisme coréen pour un thriller implacable au baroque japonais pour la délicatesse de l'histoire d'amour. Il va même jusqu'à puiser dans le Pinku eiga dit "Roman porno", un sous genre de l'érotisme japonais pour venir traiter de la sexualité interdite de l'époque. Ici le sexe est mystifié, traité comme un élément presque surnaturel par les personnages qui trouve en lui quelque chose d'aussi abject que fascinant. Ensuite il serait criminel de dévoiler les tenants et aboutissants de l'intrigue mais ici le cinéaste prend un malin plaisir à jouer avec le spectateur pour venir constamment le déstabiliser avec le déroulement du récit. Brillamment découpé en trois actes, le tout est d'une précision et d'une maîtrise qui laisse pantois. Des personnages à l'univers dans lequel ils évoluent, tout est d'un soucis du détail imparable et tout paraît authentique. La relation amoureuse qui se forme entre Mademoiselle et sa servante est d'une délicatesse infinie et elle parait totalement convaincante car écrite avec finesse et subtilité. Même si certaines mécaniques peuvent paraître cliché, le film est d'une rare intelligence pour venir la justifier dans les petits détails comme l'humour savoureux entre les deux personnages plutôt que dans les éléments les plus évidents ou qui peuvent sembler forcés.

    On se retrouve face à une véritable émancipation de la femme face à une société patriarcale qui veut leurs dicté leurs désirs. C'est une libération des femmes par leurs propres corps, leurs sexualités étant ici libérez des hommes. Hommes au tempérament abjectes et autoritaires qui n'ont soif que de soumission et de fantasmes érigeant la femme en objet sculpté par leurs désirs, à la fois être de pudeur qui tient du fruit défendu mais aussi en opposition des figures hyper-sexuées. Et même si le film s'encre dans une époque qui appartient au passé, le propos est encore d'actualité d'où l'importance de son message. Surtout que le tout est sublimé par la mise en scène vertigineuse de Park Chan-wook, qui a travers une sobriété impeccable cache un sens du cadrage qui tient du génie. Les plans sont parfaits, il suffit de voir comment il met en scène les scènes de sexes pour s'en convaincre. Invitant le spectateur au sein du rapport, loin de la froideur didactique que ce genre de scènes font généralement véhiculer, on ressent la passion des personnages. Le rythme est pensé de façon magistrale et soutenu par un montage qui déstabilise par sa façon de nous montrer des choses capitales sans trop attirer notre attention dessus, pour que l'on soit surpris quand ces éléments reviennent être utilisés. De formidables set-up/pay-off au service d'un travail de composition remarquable qui laisse admiratif. Park Chan-wook n'ayant jamais été aussi précis dans sa manière de raconter son récit mais n'ayant jamais aussi bénéficié d'une réalisation technique aussi abouti avec une photographie somptueuse mais aussi des compositions musicales inspirées qui accompagne à merveille le lyrisme de l'oeuvre. Un savoir-faire d'exception qui tire aussi le meilleur de son talentueux casting, avec Kim Min-hee et Kim Tae-ri en tête, toute deux très attachantes dans leurs rôles d'amantes en quête de liberté.

    Mademoiselle est un grand film, probablement le plus abouti de Park Chan-wook. Une oeuvre qui tire le meilleur de ses inspirations pour les élever au rang d'art. Rien n'est laissé au hasard et le cinéaste offre un jeu de manipulation jubilatoire et passionnant qui trouve dans son propos une triste vérité sur le monde tel qu'il est encore aujourd'hui. Un film qui aurait pu facilement céder à la froideur picturale au service d'un travail d'esthète calculateur mais il n'en est rien, grâce à une intelligence de tout les instants, on reste devant une oeuvre généreuse qui se permet d'être souvent hilarante mais surtout totalement authentique et sincère. Que ce soit dans la finesse de son écriture, la précision de sa mise en scène et l'excellence de son casting, on ne peut rien reprocher à ce film qui fait de la perfection une norme. On est constamment surpris dans les directions qu'il nous emmène et on reste bouche bée devant les claques successives qu'il nous octroie. Le cinéma coréen reste le maître incontesté de cette année cinématographique, venant encore une fois prouvé son audace face à la fadeur de plus en plus systématique d'Hollywood, et il vient clairement livré ici son chef d'oeuvre, le sommet de la carrière de Park Chan-wook.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Un très très bel écrin - images magnifiques, musique superbe, mise en scène élégante - qui ne renferme pas grand-chose au bout du compte, sinon des scènes saphiques très crues dont la moitié des plans sont inutiles.

    C'est long, les personnages, tous antipathiques, ne sont pas intéressants, et l'intrigue finit par ennuyer car on a compris bien avant la fin où ça va.

    Du coup le procédé de retour sur les scènes avec changement de point de vue devient de la répétition systématique sans grande saveur. Alors on regarde les images et on écoute la musique. De loin.

    On a le sentiment assez agaçant que le réalisateur a trouvé un prétexte pour s'offrir un plaisir de voyeur salace et devait se donner de la joie en solitaire en y repensant le soir une fois rentré chez lui.

    Bref c'est un porno chic assaisonné de sadisme (âmes sensibles, attention aux images finales), dans un climat très malsain.

    Haute couture pour habiller un mannequin désincarné qui ne m'a pas touché un instant.
    llafaye
    llafaye

    6 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Superbe film, belle photographie, on se retrouve dans le Japon ou plutôt la Corée des années 50. Costumes, décors, parfaits. Actrices et acteurs formidables, esthétique, sensuel, avec un scénario très habile. Un jeu de dupe qui tourne au thriller, c'est délicieux. À voir sans tarder.
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Des grelots et des boules de geisha, voire les deux à la fois. Park Chan-wook nous invite à un jeu dans ce film qui lorgne autant du côté du thriller psycho-érotique que de la comédie de mœurs. Sur fond d'occupation japonaise de la Corée à la veille de la seconde guerre mondiale, un coréen peu scrupuleux tente à l'aide d'une de ses comparses de séduire une bourgeoise japonaise pour bénéficier de son compte en banque. Bien sûr, ça ne se passera pas comme prévu et on peut même dire que ça ne se passera pas comme ça se passe (je vous jure que cette phrase à un sens). La première partie du film est remarquable en tout point. Des couleurs et une lumière magnifiques, des mouvements de caméra amples qui décrivent très bien le milieu dans lequel évoluent les personnages, des effets séduisants, une intrigue rondement menée. En somme, tout ce qu'il faut pour nous faire tomber dans le piège. Et on y saute à pieds joints. La suite restera d'un bon niveau mais viendra se greffer la désagréable sensation qu'on se moque de nous. Le réalisateur y complète les scènes qu'il a volontairement tronquées dans le premier tiers. Il affiche les grosses ficelles de son numéro de marionnettes avec délectation et bien peu de finesse, ce qui rompt le charme qui opérait jusqu'alors. On tentera aussi d'oublier la dernière scène, kitsch et grotesque. Néanmoins, les 2h30 passent bien vite et la première partie du film ainsi que certaines scènes (lecture) valent largement le déplacement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Incroyable, grandiose, malsain, fantasmagorique... tant d'autres adjectifs qui pourrait qualifier cet ovni. Le réalisateur de Old Boy nous ballade comme il l'entend et enchaîne rebondissements sur rebondissements, le tout avec une esthétique sublime et un rythme haletant. La thématique de la sexualité y est traitée de façon singulière et sauvage, sans pour tomber dans la vulgarité.
    Catherine d
    Catherine d

    4 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Je n'ai pas compris les 5 étoiles des spectateurs
    Film long aux belles images sans sentiments ni intrigue
    Florian V.
    Florian V.

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Les États-Unis ont David Fincher, la Corée du Sud a Park Chan-Wook. Si les similitudes entre les deux artistes ne vous sautent pas immédiatement aux yeux, c'est qu'il faut davantage vous pencher sur l'approche cinématographique des deux, et avant tout leur conception du thriller sur grand écran. En plus d'une esthétique qui enjôle le spectateur, les deux mènent la narration avec une maîtrise de la mise en scène de bout en bout. Ils transcendent leur art quand il leur vient l'idée d'adapter une histoire pré-existante. Pour Fincher, c'était Gone Girl. Pour Park Chan-Wook, c'est le magistral Mademoiselle sorti en salle ce 2 Novembre 2016. La qualité est à tous les niveaux et c'est à ne pas comprendre comment il a pu repartir de Cannes sans un prix.

    Adapté d'un roman de la galloise Sarah Waters paru en 2002, Chan-Wook transpose son histoire dans les années 30 en Corée alors occupée par les japonais plutôt que de conserver l'angleterre victorienne du roman. Sook-Hee, jeune voleuse d'un groupe de receleurs, est amenée à changer d'identité et entrer au service de Hideko, riche demoiselle qui vit avec son oncle. Celui-ci la forme d'une bien étrange manière depuis son enfance et espère bien l'épouser. Mais Sook-Hee a été placé par un soi-disant Comte qui vise l'héritage de la demoiselle et compte bien utiliser la servante comme complice. Un rapprochement imprévisible entre les deux jeunes femmes va changer la donne alors que le piège se referme sur les personnages...ou sur les spectateurs.

    Pour que cette histoire de machination et de faux semblants fonctionne, Chan-Wook utilise tous les éléments en son contrôle. Le scénario se joue des spectateurs en l'amenant à déduire certaines choses qu'il croit maîtriser pour ensuite leur montrer sous un nouveau jour. Le film est découpé en trois grands actes qui se suivent, s'enrichissent, se mélangent ou se contredisent. A l'image d'un roman policier, le scénario nous ébranle dans nos certitudes et nous assène de grosses révélations pour nous tenir en haleine. La réalisation sert cette écriture complexe en la rendant fluide et aisée à suivre. Mais elle joue aussi sur ce qui est visible ou non. Il y a parfois des éléments dans l'image qu'on ne remarque qu'après coup. C'est la force d'un bon conteur et c'est essentiel pour un thriller.

    Au delà de la machination, la sexualité est un des moteurs du film. Pour être plus juste, il s'agit de la sexualité comme un interdit qu'on brave. C'est probablement une des raisons qui a poussé le réalisateur à situer son histoire dans la Corée des années 30. Tout devient plus sulfureux, plus interdit. A notre époque, les événements seraient anecdotiques. L'oncle de la demoiselle possède une collection de livres érotiques évoquant le sado-masochisme, ce qui est déviant pour l'époque. La relation entre les deux femmes n'en est pas moins interdite et c'est ce goût de transgression qui donne au film ses scènes les plus belles et les plus sensuelles. Du simple effleurement aux étapes supérieures, tout est filmé avec retenue et souci de l'esthétique qui rendent ces instants d'une beauté terrassante. La caméra est l'image des personnages : très timide au départ puis elle prend de l'assurance jusqu'à les suivre dans leurs égarements. Le sexe est tout d'abord outil de la machination, pervers pour finir par être libérateur.

    Mademoiselle est un plaisir de tous les instants et comble le spectateur sur tous les tableaux : thriller, réalisation, jeu d'acteurs. Il se pose comme un des plus beaux films de cette fin d'année 2016 et totalement inratable.
    Newstrum
    Newstrum

    47 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2016
    Les images sont belles, les scènes d'amour saphique sensuelles, mais ce Mademoiselle n'est rien d'autre qu'un énième récit de vengeance sadienne et de manipulation pour Park Chan-wook, certes par instant contrarié dans sa mécanique par l'amour que se portent les deux héroïnes. Le film recèle quelques belles scènes, mais la fin est gâchée par la scène de torture finale, tout à fait gratuite : une scène de torture a beau être soit-disant "raffinée", cela reste une scène de torture, donc une scène abjecte. Voir ma critique complète sur mon blog :
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    203 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    La première partie est un véritable délice de raffinement, de subtilité et de beauté, servi par une photo et des acteurs magnifiques. La seconde est un peu répétitive, avec des scènes trop longues et inutiles, notamment une nouvelle séquence de sexe. En montrer trop finit par tuer l'érotisme. Et, dans la dernière partie, on a l'impression que Park Chan Wook a expédié son intrigue assez vite. Il en résulte un déséquilibre un peu gênant, d'autant que le scénario, en dépit de ses rebondissements, reste très classique. On aurait aimé aussi que les caractères des personnages masculins soient un peu plus développés. En dépit de ces faiblesses, Mademoiselle reste un film somptueux qui se déguste avec volupté, même si ce n'est peut-être pas le meilleur film du réalisateur d'Old boy. Et on attend avec impatience son prochain film.
    Requiemovies
    Requiemovies

    207 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    (...) il est vrai vers un fétichisme de plus en plus présent et laisse parfois circonspect une certaine partie des spectateurs (voire d’une certaine presse bienpensante). Mais là où certains voient d’un œil coquin non assumé (Freud doit être dans le coin) un cinéma pour « pervers pépères » (sic. !) il est beaucoup plus intéressant d’élever son regard et de voir sous des airs faussement lisses un thriller très bien adapté du roman anglais de Sarah Waters. Là où le récit, certes, ne tente rien par rapport à l’œuvre originale mais se veut fidèle. Pour une fois que l’adaptation narrative est soignée, difficile de le reprocher, et se dessine un miroir de(s) sens et de formes. Thriller-romance, érotisme-violence psychique, beauté-noirceur, tout s’oppose et tout se compose dans une même unité. Le tout dans un écrin de mise en scène 4 étoiles et d’une grande technicité, musique, photo (son chef opérateur est encore au rendez-vous), décor, costume, tout contribue à ce que Park Chan-Wook soit le maître d’œuvre d’un objet cinématographique magnétique. En jouant habilement des codes d’un genre et les conjuguant à un autre il amène le spectateur au centre d’une histoire où la pureté (de fond et de forme) finira par remporter la mise.
    Tout juste peut on lui reprocher de faire un peu traîner son récit en longueur (plus de 2h30) ou de se répéter dans son traitement, mais comme ses ainés les plus doués du passé, ce serait lui faire un procès trop facile de s’attarder sur une forme que seul lui maîtrise à ce point et qui le définit en tant qu’auteur. Et au final dans cette valse visuelle et de tons divers, c’est un discours assez classique mais nécessaire sur la différence des classes qui prend forme au détour d’une histoire d’amour aux frontières de la moral et du bienpensant. Ancré en plein milieu des années 30, « Mademoiselle » est finalement une œuvre actuelle, au discours très moderne, d’un raffinement rarement trop rare. Et c’est finalement sur ses dernières notes que le film laisse sa meilleure impression, celle d’un ressenti, d’une certaine douceur après une tempête de sentiments violents ; là où un doux lyrisme prend place et est bien plus intéressant que de longs discours et interminables tergiversations.
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    Après Stoker, non dépourvu de qualités mais pas une totale réussite cependant, Park nous emmène ici dans une visite pleine de surprises d'une certaine mystique traditionnelle asiatique. Les relations maître - domestique (on se souvient de Housemaid par exemple), l'érotisme, la violence, la ruse forment la trame d'un film peu avare de rebondissements.
    L'image est toujours magnifique, les plans soignés et aucune situation n'apparaît comme inutile. Tout s'emboite parfaitement dans un puzzle complexe dont on ne finit par entrevoir l'ensemble qu'à la toute fin. Du travail d'artiste dû à scénario très organisé et à un montage précis.
    Interprétation superbe même si les acteurs en font parfois un peu trop et si leurs postiches semblent "too much". Une certaine impression de malaise nous envahit toutefois au fur et à mesure de l'avancement du film, la manipulation du spectateur ayant quelques limites...
    Herve L.
    Herve L.

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Quelle déception pour ce mauvais remake de Les Diaboliques de Clouzot.
    On n'en retire absolument rien. Aucun esthétisme, des scènes de sexe à n'en plus finir pour voyeurs lubriques, Ce sont presque 2h d'ennuis.
    Je ne le recommanderai à personne.
    Un des plus gros navet de 2016.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    168 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Un bon film dont la mise en scène sophistiquée est bien servie par des acteurs félins comme l'exige le scénario. Cependant la structure en "double twist avec changement de point de vue" est un procédé cinématographique assez fréquent et donc l'histoire qui se veut complexe et inattendue ne l'est pas tant que cela. Résultat : on passe un bon moment (surtout dans la première partie du film) mais on oublie tout dans les heures qui suivent la projection... "Old Boy", avec son demi-étage et son twist final, restait plus durablement dans les mémoires ; la preuve, tout le monde s'en souvient encore.
    Shinny
    Shinny

    41 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2016
    un bon film divertissant qui aurait pu être un chef d'oeuvre s'il avait été moins naïf moins niais et si les écrans verts pr y faire défiler des paysages s'étaient faits plus discrets.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 novembre 2016
    Je ne trouve pas qu'il y ait de quoi crier Oh Chef-d'oeuvre! car même si visuellement il est très beau, l'histoire ainsi que les sentiments sont passés un peu à la trappe comparés à l'originale. Quant aux scènes de sexe je les ai trouvées à la limite du ridicule... c'est dommage.
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