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Votre avis sur La Chanson de l'éléphant ?
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Dans les années 60, le docteur Green, directeur d'un établissement psychiatrique, interroge Michael, patient à la personnalité manipulatrice, sur la disparition mystérieuse d'un médecin, ce dernier étant le dernier à avoir eu un entretien avec lui.
J'ai trouvé ce film très bien construit car il est captivant en reposant majoritairement sur un entretien entre deux personnages. Ainsi, les interprétation des deux protagonistes par Bruce Greenwood et Xavier Dolan sont impeccables. La raison sur la disparition du médecin, à savoir spoiler: le fait qu'il se soit tout simplement absenté précipitamment pour se rendre auprès de sa sœur qui a fait un infarctus
, semble par moments secondaire par rapport à l'histoire de Michael qui se révèle progressivement et rend le personnage plus attachant, tout comme les éléments sur l'histoire du docteur Green sont judicieusement dévoilés eux aussi afin de transmettre finalement une certaine empathie pour chacun.
J'ai trouvé ce film très bien construit car il est captivant en reposant majoritairement sur un entretien entre deux personnages. Ainsi, les interprétation des deux protagonistes par Bruce Greenwood et Xavier Dolan sont impeccables. La raison sur la disparition du médecin, à savoir spoiler: le fait qu'il se soit tout simplement absenté précipitamment pour se rendre auprès de sa sœur qui a fait un infarctus
, semble par moments secondaire par rapport à l'histoire de Michael qui se révèle progressivement et rend le personnage plus attachant, tout comme les éléments sur l'histoire du docteur Green sont judicieusement dévoilés eux aussi afin de transmettre finalement une certaine empathie pour chacun.
Bilan mitigé après le visionnage de Elephant Song.
Déjà, je m'attendais à un vrai huis clos, ce qui n'est pas le cas. Ensuite, au niveau du dénouement : spoiler: on s'attend soit à une vraie fin, soit à une fin qui laisse plusieurs possibilités d'interprétation. Au final, la fin n'est pas celle de l'histoire mais celle du personnage de Michael : on n'a pas plus de pistes sur lui (pourquoi a-t-il réellement été interné), et Michael meurt suite à une ingestion de chocolats
. Bref, je reste sur ma fin.
Cela dit, le film vaut d'être vu, rien que pour le jeu de Xavier Dolan, que je découvre dans ce film. On est vraiment pris par l'histoire, intrigué par la résolution du mystère de la disparition du Dr.Lawrence. Les explications de Michael, parsemées de mensonges, malmène l'esprit du téléspectateur qui ne sait plus où est la vérité. Cet aspect du film est très réussi.
Déjà, je m'attendais à un vrai huis clos, ce qui n'est pas le cas. Ensuite, au niveau du dénouement : spoiler: on s'attend soit à une vraie fin, soit à une fin qui laisse plusieurs possibilités d'interprétation. Au final, la fin n'est pas celle de l'histoire mais celle du personnage de Michael : on n'a pas plus de pistes sur lui (pourquoi a-t-il réellement été interné), et Michael meurt suite à une ingestion de chocolats
. Bref, je reste sur ma fin.
Cela dit, le film vaut d'être vu, rien que pour le jeu de Xavier Dolan, que je découvre dans ce film. On est vraiment pris par l'histoire, intrigué par la résolution du mystère de la disparition du Dr.Lawrence. Les explications de Michael, parsemées de mensonges, malmène l'esprit du téléspectateur qui ne sait plus où est la vérité. Cet aspect du film est très réussi.
Huis clos fade et pas très captivant. Les personnages n'ont pas de relief, les acteurs sont inexpressifs, et que dire de la fin qui se veut larmoyante, ridicule, j'ai juste horreur de ça. Passez votre chemin !
Dans un huit clos, un jeu de dupes, psychologique qui n'atteint ni tension, ni un intérêt flagrant au regard du point de départ de l'intrigue. Des éléments secondaires de la vie des personages ainsi qu'une temporalité alternative viennent brouiller le sujet. On peut en outre se poser des questions sur l'organisation de cet hôpital et ses conditions de sécurité... Ainsi, trop d'aspects ne permettent pas de rendre crédible cette histoire et de lui donner vie.
FaRem
Si le réalisateur voulait créer un vrai huis clos, il fallait qu'il aille au bout de son idée et ne proposer que cela pour ainsi montrer toute la tension psychologique qui s'installe entre les deux personnages, mais au lieu de ça, il multiplie les allers-retours, un coup vers le passé et un coup vers un autre entretient ce qui à tendance à laisser échapper tout l’intérêt et la tension qu'il pouvait y avoir. C'était une idée risquée surtout que pour une histoire de disparition ça limite les possibilités de plus l'histoire est très mystérieuse pour au final pas grand chose. Il reste une bonne interprétation des acteurs, mais ça reste insuffisant pour moi.
Audrey L
Un docteur d'un asile psychiatrique disparait sans laisser de mot, on interroge Michael, la dernière personne à lui avoir parlé pour savoir où est le Doc', sauf que, celui qui sait tout, dira le moins. Car Michael n'est pas un témoin comme les autres : il est patient de l'asile, accessoirement obsédé par les éléphants, et prend un malin plaisir à faire tourner en bourrique son interrogateur qui perd patience. On se prend vite à vouloir savoir, nous aussi, et à essayer de deviner le prochain coup tordu que fera le cynique patient au soignant placide qui force notre respect (à sa place... heureusement qu'on n'est pas garde-fou). Xavier Dolan brille comme à son habitude dans les rôles de composition (on est ultra-fan, on avoue) et parvient à nous faire sentir tantôt de la compassion (on se doute que son obsession ne vient pas de nulle part, et la révélation finale nous a brisé le cœur...) tantôt une envie de le secouer pour lui faire cracher le morceau. On avait d'ailleurs vu venir le "coup de la boîte de chocolats", ce qui n'en a été que pire : on en beugle devant son téléviseur, comme si le médecin pouvait nous entendre, et les dernières scènes de nous faire encore un peu plus mal au cœur pour le fou qu'on savait plus fracassé que méchant... La fameuse chanson de l'éléphant est un petit privilège que nous fait le film, amis francophones, puisqu'il s'agit de la comptine "Un éléphant, ça trompe, ça trompe..." qu'on connaît tous pour l'avoir serinée dans notre enfance, en rigolant du double-sens, mais pour les américains, il faudra quand même une petite scène d'explication finale ("nous, on savait" : on se sent comme Einstein, étrangement). Si la résolution de l'enquête déçoit un peu, on comprend vite qu'il ne s'agissait pas vraiment du propos du film, préférant monter un duel entre un patient et un médecin aux antipodes, qu'on a envie de découvrir au fur et à mesure des piques verbales, des mensonges et coups de bluff, et dont l'apothéose dramatique passe finalement devant l'intrigue du Doc' perdu. Un duel à l'ombre, sensible et brillamment interprété, qui nous a beaucoup plu.
Bonjour à tous :) Magnifique film, remarquablement interprété et filmé. C'est un Film qui a une très grande délicatesse, une très grande finesse et une très grande intelligence et c'est bien sur celle du cœur. D'ailleurs il m'a touché en plein cœur. C'est un film que je garde en moi pour longtemps si ce n'est pour toujours, ce n'est pas un film que j'ai envie d'oublié. c'est une histoire, comme une tranche de vie... vraie, forte, sincère mais aussi douloureuse. On fait la connaissance de Michael, une très belle âme tourmentée, remarquablement interprété par Xavier Dolan, une âme que j'ai profondément aimé et qui m'a changé à l'intérieur. cette âme nous marque au fer rouge. Je ne vous en dis rien de plus, si ce n'est voyez le, c'est fort, c'est prenant.... Magnifique et Sublime, d'une très grande humanité, abordant beaucoup de choses avec beaucoup de véracité, mais aussi de pudeur. Tous sont excellents, Mr le metteur en scène Charles Binamé maîtrise tout en douceur et aussi en force son film. Je le remercie profondément pour ce moment d'amour, pour cette rencontre bouleversante avec son héros (les autres aussi) pour son intelligence, la délicatesse avec laquelle il a narré et filmé. Je ne sais comment vous le conseiller... je viens de le voir et je respire mieux ouf, je ne suis pas passée à coté bien qu'il date de 2016, merci à une personne, ici sur allociné qui en parlant de la filmographie de Carrie Anne Moss, que j'adore, demandait pourquoi ce film n'était pas dans sa filmographie, un merveilleux film... adorant Carrie Anne Moss, je cherche le film, la suite vous l'a connaissez. Merci à toi (je ne me souviens malheureusement pas de son nom mais un Grand merci) je ne peux que vous dire cela pour vous convaincre :) Prenez soin de vous. Karine
ps: ne lisez pas le synopsis, ne lisez rien, moi j'avais rien lu et l'émerveillement fut immense :)
ps: ne lisez pas le synopsis, ne lisez rien, moi j'avais rien lu et l'émerveillement fut immense :)
Un drame qui laisse sur sa fin. On part dans divers voies sans clarté et aucun traitement de la situation, on survol.
Si la base (non révélée) du scénario est la finalité du film, les chemins mis en scène pour y arriver restent discutables. Dommage ! 2.5/5 !!!
Si la base (non révélée) du scénario est la finalité du film, les chemins mis en scène pour y arriver restent discutables. Dommage ! 2.5/5 !!!
Elephant song ou en français la chanson de l éléphant ! Film plus réputé pour avoir Xavier Dolan dans son casting que le film lui même !
En même temps après voir vu le film je comprend mieux il fallait au moins ça pour attirer des gens !
J aime bien les films sur le milieux psychiatrique il y a moyen de faire des super film ( shutter island et vol au dessus d un nid de coucou )
Qu en est il de celui là tirer d une pièce de théâtre et bah bof ! Alors oui il y a des surprises mais c est tellement déjà vu ! Et déjà mieux fait ! J avais deviner la fin et les mécanismes le réalisateur s evertuant à faire des zooms sur les éléments clés qui vont intervenir plus tard dans le récit !
Bon ça se regarde dans trop de mal étant un huis clos ! Déjà la dans la formule le film se perd avec des retour arrière et décalage futur ! En très peu de temps on sait plus trop où en est avnt le début du recit !
Le gros point du film c est quand même la prestation de Xavier Dolan jouant avec des acteurs en pertes de vitesse Carrie Anne Moss bonjour ! Et de meme pour Bruce greenwood!
UN film bon mais pas sensas l histoire aurait sûrement mérite un meilleur traitement !
En même temps après voir vu le film je comprend mieux il fallait au moins ça pour attirer des gens !
J aime bien les films sur le milieux psychiatrique il y a moyen de faire des super film ( shutter island et vol au dessus d un nid de coucou )
Qu en est il de celui là tirer d une pièce de théâtre et bah bof ! Alors oui il y a des surprises mais c est tellement déjà vu ! Et déjà mieux fait ! J avais deviner la fin et les mécanismes le réalisateur s evertuant à faire des zooms sur les éléments clés qui vont intervenir plus tard dans le récit !
Bon ça se regarde dans trop de mal étant un huis clos ! Déjà la dans la formule le film se perd avec des retour arrière et décalage futur ! En très peu de temps on sait plus trop où en est avnt le début du recit !
Le gros point du film c est quand même la prestation de Xavier Dolan jouant avec des acteurs en pertes de vitesse Carrie Anne Moss bonjour ! Et de meme pour Bruce greenwood!
UN film bon mais pas sensas l histoire aurait sûrement mérite un meilleur traitement !
Yves G.
Un médecin a disparu d’un hôpital psychiatrique. L’un de ses collègues interroge un patient (Xavier Dolan) pour découvrir l’insoupçonnable vérité.
Xavier Dolan est l’enfant terrible du cinéma canadien. Surtout connu pour ses réalisations (« Laurence Anyways », « Mommy »), il passe volontiers devant la caméra. Dans les deux cas, il manifeste les mêmes qualités et les mêmes défauts : une énergie débordante, une violence difficilement canalisée, une immaturité revendiquée.
Son personnage est presque sobre, qui affronte à fleuret moucheté, le psychiatre qui l’interroge. Le problème de « La chanson de l’éléphant » vient moins du jeu des acteurs que de la mise en scène. Inspiré d’une pièce de théâtre, « La Chanson de l’éléphant » est du théâtre filmé qui ne s’échappe quasiment jamais des quatre murs du bureau du praticien.
Le théâtre filmé produit parfois des chefs d’œuvre : « Macbeth » de Welles, « Le Limier » de Mankiewicz, « Dogville » de Lars Von Trier. Mais trop souvent hélas il s’agit d’adaptations paresseuses d’une pièce dont on espère prolonger le succès en touchant un plus large public : « Dîner de cons » « Le prénom ». Même « La Cage aux folles » ou « Le Père Noël est une ordure » (dont je connais, comme toute ma génération, la moindre réplique par coeur) sont des films sans qualités.
« La Chanson de l’éléphant » présente hélas toutes les tares du mauvais théâtre filmé. Aussi brillant soit-il le dialogue du médecin et du patient finit par lasser. Aucun rebondissement ne vient sortir le spectateur de sa torpeur. Jusqu’à un épilogue inutilement dramatique et vaguement ridicule.
Xavier Dolan est l’enfant terrible du cinéma canadien. Surtout connu pour ses réalisations (« Laurence Anyways », « Mommy »), il passe volontiers devant la caméra. Dans les deux cas, il manifeste les mêmes qualités et les mêmes défauts : une énergie débordante, une violence difficilement canalisée, une immaturité revendiquée.
Son personnage est presque sobre, qui affronte à fleuret moucheté, le psychiatre qui l’interroge. Le problème de « La chanson de l’éléphant » vient moins du jeu des acteurs que de la mise en scène. Inspiré d’une pièce de théâtre, « La Chanson de l’éléphant » est du théâtre filmé qui ne s’échappe quasiment jamais des quatre murs du bureau du praticien.
Le théâtre filmé produit parfois des chefs d’œuvre : « Macbeth » de Welles, « Le Limier » de Mankiewicz, « Dogville » de Lars Von Trier. Mais trop souvent hélas il s’agit d’adaptations paresseuses d’une pièce dont on espère prolonger le succès en touchant un plus large public : « Dîner de cons » « Le prénom ». Même « La Cage aux folles » ou « Le Père Noël est une ordure » (dont je connais, comme toute ma génération, la moindre réplique par coeur) sont des films sans qualités.
« La Chanson de l’éléphant » présente hélas toutes les tares du mauvais théâtre filmé. Aussi brillant soit-il le dialogue du médecin et du patient finit par lasser. Aucun rebondissement ne vient sortir le spectateur de sa torpeur. Jusqu’à un épilogue inutilement dramatique et vaguement ridicule.
Un bon huis clos avec de bons acteurs et une esthétique très année 50.
On ne sait pas vraiment où le récit nous mène mais on suit ce dialogue entre les 2 acteurs principaux, un psychiatre et un patient, comme une enquête policière, parfois interrompu par l'infirmière inquiète.
Tout est comme assourdi par la neige.
On ne sait pas vraiment où le récit nous mène mais on suit ce dialogue entre les 2 acteurs principaux, un psychiatre et un patient, comme une enquête policière, parfois interrompu par l'infirmière inquiète.
Tout est comme assourdi par la neige.
Elephant Song s’avère finalement assez brouillon dans son ensemble et manque d’une certaine cohérence. Tout d’abord, j’ai noté qu’il y avait beaucoup trop de déplacements, de mouvements de manière générale. En effet du bureau du Dr Lawrence, à l’enfance de Michael, en passant par la maison Directeur de l’établissement, Dr Greene ou bien le couloir de l’hôpital, le public est beaucoup trop amené à voyager dans ce film. J’aurais aimé me sentir plus enfermé, moins libre. Le réalisateur en se focalisant sur un seul endroit aurait vraiment accentué l’atmosphère, un peu suffocante, que le « huis clos » produit. Toujours dans le thème du déplacement, j’ai noté que le patient et suspect Michael avait beaucoup trop de liberté pour quelqu’un de psychologiquement instable, il bouge sans arrêt, touche à tout, ouvre les portes, etc. Aussi, j’ai noté que le rythme et l’intrigue sont beaucoup trop longs à s’installer. Enfin, je dois bien l’avouer, je n’ai pas trouvé M. Dolan très convaincant. Le problème vient selon moi plus du directeur de casting que de Xavier Dolan lui-même qui est très bon acteur, mais qui n’était pas assez effrayant à mon avis. En conclusion, beaucoup trop de choses qui perdront le public en cours de route et qui feront dire que la bande-annonce était bien plus réussi que le film.
Le film souffre de personnages parfois invraisemblables et d’une intrigue un peu molle mais offre l’observation de l'impressionnant acteur Xavier Dolan sous toutes les coutures.
Un personnage charismatique et un duel intéressant.
Le film manque de rythme mais l'ambiance pesante rend le tout sympathique.
Le film manque de rythme mais l'ambiance pesante rend le tout sympathique.
Pour tout avouer d’emblée, j’ai été perdu par une intrigue qui a été bien longue à s’installer. Avec un montage qui m’a, en parallèle peu convaincu, l’intérêt du film est retombé très vite. Si bien que je n’ai pas vraiment accroché malgré la performance de Xavier Dolan. Les multiples pistes sans clarté ont achevé de me détourner de toute sensibilité autour de « la chanson de l’éléphant ». Je reconnais ponctuellement quelques qualités intrinsèques de cette adaptation d’une pièce de théâtre mais ce huis-clos où les dialogues omniprésents m’ont saoulés, dévoile progressivement une histoire de manipulation qui est quand même peu crédible.
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