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Kap d.
4 abonnés
18 critiques
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0,5
Publiée le 9 janvier 2018
Nul nul nul comme la plupart des films que j’ai pu voir avec emma roberts qui en plus de jouer mal a vraiment un tres mauvais agent pour la mettre tjs ds des films d’horreur pourri. Il n’y a pas d’histoire.tres mauvaise realisation. Les effets visuels sont tjs tres sombres. Le film met des heures a commencer. l’intrigue de l’histoire au final est vue et revue. On a pas peur une minute et puis surtout on dort on dort on dortttt! Je deconseille . Les roles secondaires ne sont pas brillants non plus.
Film avec une atmosphère noire, une étrange sensation parcoure ce film. Les ellipses sont ingénieuses et crédible via les interprétations des actrices. Une découverte
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12 478 critiques
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1,5
Publiée le 15 novembre 2017
Des images hivernales pour une histoire de possession à l'esthètique glaçante qui frise l'incomprèhension la plus totale! Tout ça est passablement confus comme puzzle horrifique pour ne pas dire ennuyeux! Un jeu de piste signè Oz Perkins, le fils du cèlèbre Anthony Perkins qu'il est inutile de prèsenter ici! On compare volontiers le petit Oz au grand Anthony! Comme lui, il semble aimer les personnages perturbants et inquiètants! Même si son premier long-mètrage en tant que rèalisateur a chaleureusement ètè accueilli à sa sortie, il n'en demeure pas moins une petite dèception! Un regard sur trois jeunes femmes diffèrentes d'une institution pour jeunes filles, lièe par une peur constante, où le spectateur est en manque cruel de repères! C'est dommage car la jeune Kiernan Shipka nous glace le sang! Et sa froideur comme sa cruautè sont bien l'aspect le plus terrifiant de ce film à l'atmosphère pesante et dèroutante qui demande au spectateur une attention très particulière! Et ça dès son introduction...
Je suis tombé par pur hasard sur ce film et bien m'en a pris. Dans une production actuelle ou le gore et la tension répondent à des critères organiques formatisés, February nous propose une autre approche du cinéma d'horreur. Par le choix du rythme, sa froideur, sa déconstruction et une belle bande son, Oz Perkins parvient à créer une vrai tension palpable avec des scènes de violence rapides et sèches. Le comparaison avec le cinéma de Lynch repose plus sur la façon d'intégrer les personnages connexes très caricaturés à l'histoire que le traitement scénaristique de la schizophrénie. Un film qui n'est pas sans défaut :spoiler: était-ce vraiment nécessaire Kate nous lâche "Je suis le daible!!" et que l'on passe par la phase d'exorcisme maladroitement balancée? mais qui mérite beaucoup mieux que la moyenne qui lui est attribuée. Avec It Follows voilà deux films récents qui oxygènent un genre terriblement en manque de souffle. Un réalisateur à suivre......
February ou le talent des actrices ne parviens pas a sauver le scenario, ni même le montage. Alors c'est l'histoire d'un demon qui habite une chaudière et qui viens posséder une pauvre jeune fille. Ce demon aime assassiner les gens et leur couper la tête. Un prêtre parviens à l'exorciser. Parti on ne sais où, il reviens 9 ans plus tard dans le corps d'une autre jeune fille retrouver sa chaudière.
Ouch.... franchement on ne mérite pas ça et encore moins les auteurs de ce ratage.
Les mauvaises critiques sur ce film ne sont guère surprenantes. On lui reproche son manque d'action, sa lenteur, son absence de scénario et ses détracteurs n'hésitent pas à le descendre, signalant au passage qu'ils ont vu bien pire en terme d'horreur. Sur ce point donnons leur raison, leurs arguments ont de quoi faire peur ! Depuis quand un "bon" film d'horreur doit être forcément démonstratif dans sa violence et devenir lisible grâce à des sensations fortes ? L'horreur n'est il pas aussi cette incompréhension de l'homme face à un événement ou une peur qui le dépasse, devenant cette présence métaphysique que le cinéma peut retraduire en plusieurs manières et non en une structure fixe issue d'une logique marketing sensée "rassasier" le spectateur dont l'habitude de visionnage s'est transformée en un cannibalisme culturellement morbide ? Avec February, le réalisateur ne prend pas le public pour des pigeons : il le laisse pénétrer dans une intrigue faussement décousue, avec un montage proche de l'atemporalité ressentie dans les rêve et le laissant face à ses peurs les plus profondes. Aussi, derrière chaque plan montrant un reflet de miroir, l'embrasure d'une porte, le fond d'un couloir s'exprime en nous une crainte de ce qui peut advenir... dès lors il ne s'agit plus d'une peur démonstrative et visuelle, mais d'une peur suggérée et spectrale. Là réside le véritable horreur de ce film, que beaucoup nomment à tort "erreur".
Youpi, c'est les vacances de février ! Toutes les élèves d'un pensionnat religieux à l'ambiance aussi charmante qu'un immense funérarium repartent chez papa et maman pour quelques jours de repos. Enfin, à part Kat, dont les parents n'ont même pas pointé le bout de leur nez pour venir la chercher. Il faut dire quespoiler: , la nuit précédente, son père est venu lui annoncer en rêve que sa mère et lui sont morts, de quoi mettre un sérieux veto sur ses beaux projets de vacances. Et puis, elle est toute bizarre aussi, Kat, elle fixe plein de trucs sans raison avec une intensité de démente en pleine croissance et passe un peu trop de tempsspoiler: dans le sous-sol du pensionnat à discuter avec la chaudière.
Mais elle n'est pas la seule à être coincée dans la bâtisse vidée de ses occupantes, il y a Rose qui, elle, a choisi de rester pour rendre visite à son petit ami. Cette dernière se retrouve obligée par les quelques adultes restants à garder un oeil sur Kat en attendant une potentielle venue de ses parents. Pendant ce temps, une troisième jeune fille, Joan, se fait prendre en stop par un couple et semble se diriger vers le mystérieux pensionnat...
Typiquement le genre de premier film qui veut trop en faire, "February" se retrouve vite submergé par des artifices narratifs qui n'ont pas lieu d'être. Démultiplication inutile des points de vue et autres stratagèmes d'écriture superficiels se côtoient pour créer sans cesse du mystère sur des détails de l'intrigue au détriment de l'impact de son point central en terme de développement spoiler: (une addiction au mal pour fuir la réalité d'un drame, si on veut rester très vague) qui ne parvient jamais réellement à être mis en relief au milieu de ces rebondissements secondaires que l'on voit arriver à des kilomètres à la ronde. En s'enfournant ainsi dans toutes les fausses pistes possibles pour pas grand chose (les deux tiers de l'histoire de Joan en sont le parfait exemple), "February" se condamne tout seul à entretenir chez le spectateur une soif de résolution complexe à tous ces mystères qui ne sera jamais hélas satisfaite. Dommage car le film partait avec de nombreux atouts dans sa manche grâce à la noirceur de son atmosphère particulièrement étouffante de départ ou encore son interprétation sans faille. "February" aura beau délivrer une merveille de séquence flippante spoiler: (la transe dans le sous-sol) et quelques scènes de violence à la froideur clinique, le fait de nous retrouver constamment dans un état mental aussi trouble qu'une de ses héroïnes sur ce qu'il a voulu nous raconter nous laissera, au final, sur un sentiment d'inachevé, voire de facilité sur les intentions recherchées.
Aucun interet, je n'y est rien compris . Quel etait le lien entre les filles du pensionnat. 3 scenes d'action si l'on peut dire en 1h40 d'ennui. Je n'ai jamais vu un film aussi nulissime
Pour son premier film, le fils d'Anthony Perkins, Osgood Perkins, nous propose une oeuvre qui possède une atmosphère bien étrange, déroutante et assez flippante sur certaines séquences. La mise en scène est de qualité, les trois principales comédiennes font une prestation très convaincante, tandis que la belle photographie et que l'anxiogène musique renforcent la malaise ambiant de l'ensemble. Un film d'horreur assez étonnant et qui mérite d'être découvert.
Un manque de rythme certainement voulus, rabaisse l'intérêt pour la mise en scène . Reste un film intriguant avec sont ambiance et scénario très bien construit
Dommage que les premières minutes du film laissaient présager un "Sinister" bis ou un film qui aura tenu en haleine toute la partie. Mais February dans le ciment totalement inutile du film d'horreur s'enfonce dans les incompréhensions (où sont-elles, où sont les parents, qui est Joan et pourquoi elle veut venir). Pourtant, tout semblait réuni pour en faire un film qui ne casse pas une brique, mais dont le résultat serait plus favorable : finalement, on se retrouve avec un film dont les personnages disparaissent en 2 secondes et encore... Gâchis !
Le problème de ce film est qu'il n'a ni début ni fin, et que le milieu est guère passionnant. J'aime pourtant beaucoup Emma Roberts, mais elle n'aurait pas été au générique que je n'aurais pas vu la différence. La jeune Kiernan Shipka en revanche est prometteuse et tient fièrement la tête d'affiche de ce film. Pour le reste, pas grand chose à retirer à part quelques scènes sanglantes spoiler: (les décapitations nous sont gracieusement épargnées) qui ne parviennent pas à emballer non plus. On se désintéresse tellement de l'histoire que les meurtres n'ont eu aucun impact sur moi. Pour parachever le tout, le fameux démon ressemble à un vulgaire lapin de Pâques. Un film à éviter si possible, que vous soyez fan d'épouvante, de thriller ou de film indépendant, je doute que vous y trouviez votre compte.