Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Régina Casé, star brésilienne découverte dans la série "La cité des hommes", offre une performance éblouissante (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Marie Boscher
Une comédie tendre pour évoquer le drame de ces femmes quittant leur enfant pour gagner de quoi les faire vivre. Elle a valu au tandem mère-fille un double prix d'interprétation au Festival de Sundance.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Christophe Carrière
Ce film fort en émotions explore avec finesse la société brésilienne.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Par la stylisation de sa mise en scène et ses coups de théâtre, le film frôle parfois la comédie de situation, mais il transcende toutes les facilités grâce à des personnages complexes, vivants et bien campés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Dans le rôle de la mère, Regina Casé (...) fait flèche de tout bois (...).
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un drame familial qui est aussi un regard acéré sur la société brésilienne et sur les relations maîtres - employés.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec finesse, Anna Muylaert dissèque les rapports de domination et met en scène les contradictions d'un Brésil post-Lula en pleine mutation sociale, sur le mode de la comédie à l'humour bon enfant et à l'ironie douce-amère.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
À l'opposé du film à thèse et démonstratif attendu, une œuvre sensible, chaleureuse et juste, portée par la grande Regina Casé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Feel-good movie aérien, mêlant la caresse de la comédie de mœurs au tranchant d’une critique sociale à l’acuité redoutable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
La comédienne Regina Casé, célébrité du cinéma brésilien, nimbe l’ensemble d’une naïveté assez géniale si l’on passe outre la laideur de l’affiche façon «ravie de la crèche».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
"Une seconde mère" s'attache à exposer une architecture de la domination. Tous les lieux sont connotés socialement. La cuisine, lieu où l'on se croise sans faire des manières, n'échappe pas à la règle. (...) La bonhomie et la chaleur de la comédienne Regina Casé permettent en outre d'atténuer le choc de la lutte.
Première
par Damien Leblanc
A la fois huis clos estival, réflexion sur l'éducation et déclaration d'amour à la jeunesse brésilienne, cette habile remise en cause des mécanismes d'asservissement se vit aussi comme un savoureux récit plein de rebondissements qui doit beaucoup à son actrice Régina Casé, mémorable en nounou ayant trop longtemps passé ses envies sous silence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un drame social et une réflexion sur l'affection maternelle. Splendide. (...). Il émeut autant qu'il fait froid dans le dos, et tend un miroir peu flatteur à la bourgeoisie de gauche.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Une gouvernante brésilienne voit sa fille revenir après dix ans d'absence. Sincère et touchant.
Télérama
par Guillemette Odicino
La jeune réalisatrice serpente avec aisance dans le décor quasi unique de cette villa où passer une porte, s'asseoir sur une chaise deviennent de mini-rébellions. Surtout, elle ne quitte pas d'une semelle sa comédienne Regina Casé, star en son pays — on comprend pourquoi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
On pourra faire à la cinéaste, en quelque occasion, le reproche de "sursignifiance". Qu'importe. Le mérite de ce film passionnant tient moins à son analyse de rapports sociaux marqués par l'argent qu'à son exploration de la dimension affective débordant le rapport de classe.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette nouvelle variation sur le thème de la dialectique entre maître et serviteur met en scène la vedette brésilienne Regina Casé dans le rôle de Val (...). L'irruption de sa fille Jessica, (...) provoque des bouleversements intimes illustrant un peu mécaniquement (c'est la limite du film), ceux de la société brésilienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le film glisse du trouble séditieux à une leçon sociale visant les larmes à la façon d’un mauvais Ken Loach et abandonnant l’humour pieds-dans-le-plat des scènes avec la fille.
20 Minutes
Régina Casé, star brésilienne découverte dans la série "La cité des hommes", offre une performance éblouissante (...).
Femme Actuelle
Une comédie tendre pour évoquer le drame de ces femmes quittant leur enfant pour gagner de quoi les faire vivre. Elle a valu au tandem mère-fille un double prix d'interprétation au Festival de Sundance.
L'Express
Ce film fort en émotions explore avec finesse la société brésilienne.
L'Humanité
Par la stylisation de sa mise en scène et ses coups de théâtre, le film frôle parfois la comédie de situation, mais il transcende toutes les facilités grâce à des personnages complexes, vivants et bien campés.
L'Obs
Dans le rôle de la mère, Regina Casé (...) fait flèche de tout bois (...).
Le Dauphiné Libéré
Un drame familial qui est aussi un regard acéré sur la société brésilienne et sur les relations maîtres - employés.
Le Journal du Dimanche
Avec finesse, Anna Muylaert dissèque les rapports de domination et met en scène les contradictions d'un Brésil post-Lula en pleine mutation sociale, sur le mode de la comédie à l'humour bon enfant et à l'ironie douce-amère.
Les Fiches du Cinéma
À l'opposé du film à thèse et démonstratif attendu, une œuvre sensible, chaleureuse et juste, portée par la grande Regina Casé.
Les Inrockuptibles
Feel-good movie aérien, mêlant la caresse de la comédie de mœurs au tranchant d’une critique sociale à l’acuité redoutable.
Libération
La comédienne Regina Casé, célébrité du cinéma brésilien, nimbe l’ensemble d’une naïveté assez géniale si l’on passe outre la laideur de l’affiche façon «ravie de la crèche».
Positif
"Une seconde mère" s'attache à exposer une architecture de la domination. Tous les lieux sont connotés socialement. La cuisine, lieu où l'on se croise sans faire des manières, n'échappe pas à la règle. (...) La bonhomie et la chaleur de la comédienne Regina Casé permettent en outre d'atténuer le choc de la lutte.
Première
A la fois huis clos estival, réflexion sur l'éducation et déclaration d'amour à la jeunesse brésilienne, cette habile remise en cause des mécanismes d'asservissement se vit aussi comme un savoureux récit plein de rebondissements qui doit beaucoup à son actrice Régina Casé, mémorable en nounou ayant trop longtemps passé ses envies sous silence.
Studio Ciné Live
Un drame social et une réflexion sur l'affection maternelle. Splendide. (...). Il émeut autant qu'il fait froid dans le dos, et tend un miroir peu flatteur à la bourgeoisie de gauche.
Télé 2 semaines
Une gouvernante brésilienne voit sa fille revenir après dix ans d'absence. Sincère et touchant.
Télérama
La jeune réalisatrice serpente avec aisance dans le décor quasi unique de cette villa où passer une porte, s'asseoir sur une chaise deviennent de mini-rébellions. Surtout, elle ne quitte pas d'une semelle sa comédienne Regina Casé, star en son pays — on comprend pourquoi.
La Croix
On pourra faire à la cinéaste, en quelque occasion, le reproche de "sursignifiance". Qu'importe. Le mérite de ce film passionnant tient moins à son analyse de rapports sociaux marqués par l'argent qu'à son exploration de la dimension affective débordant le rapport de classe.
Le Monde
Cette nouvelle variation sur le thème de la dialectique entre maître et serviteur met en scène la vedette brésilienne Regina Casé dans le rôle de Val (...). L'irruption de sa fille Jessica, (...) provoque des bouleversements intimes illustrant un peu mécaniquement (c'est la limite du film), ceux de la société brésilienne.
Cahiers du Cinéma
Le film glisse du trouble séditieux à une leçon sociale visant les larmes à la façon d’un mauvais Ken Loach et abandonnant l’humour pieds-dans-le-plat des scènes avec la fille.