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Christophe M
9 abonnés
328 critiques
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0,5
Publiée le 27 décembre 2018
j'avais mis 2 pour le premier celui ci ci ne merite meme pas un. C'est lourd, ennuyeyx à la limite du supportable . Et dire qu'il y a un troisieme derriere.'
Qu'on soit bien d'accord on est pas la sur un chef d'œuvre de la comédie. On est dans le gros film franchouillard qui tâche. Et malgré tout, dans ce burlesque téléphoné et stéréotypé on trouve une certaine tendresse pour ces gentils beaufs. Et la fin avec le fils qui fait son coming-Out est finalement bien amené et fait avec une certaine justesse.
Peu convaincu par le premier volet, j'ai tout de même tenté cette suite, passant pour être plutôt supérieure et très gros succès au box-office (même si cela ne veut pas dire grand-chose, nous sommes d'accord), d'autant que voir la famille débarquer aux États-Unis pouvait laisser espérer un choc des cultures amusant. Oui... mais non. Oh, je ne dis pas que je n'ai pas souri de temps en temps, ce ton décontracté et ces personnages loufoques, sans oublier quelques répliques vachardes, ne m'ayant pas déplu. Mais bon, à côté de ça, il faudra se coltiner des situations répétitives, des moments se voulant décalés alors qu'ils sont juste lourds, une morale finalement bien peu surprenante et un quasi-éloge de la beaufitude, car au fond pleine de tendresse... Alors OK, il y a un peu de mauvais esprit (notamment sur la mentalité férocement libérale des américains), reste que celui-ci est presque uniquement là pour que les choses spoiler: rentrent finalement dans l'ordre , à l'image d'un scénario qui, s'il joue parfois de façon amusante des clichés, n'en est pas moins faiblard et d'un intérêt fort mineur. Sans oublier quelques moments extrêmement gênants spoiler: (le « discours » de Jeff Tuche sur les cartes perdues : au secours) , la grand-mère apportant, certes, un peu de folie, mais surtout pas mal d'embarras. Bref, si les acteurs se donnent assurément à fond (Jean-Paul Rouve n'a clairement pas peur du ridicule), pas grand-chose à retenir de cette énième comédie franchouillarde bien de chez nous, me laissant peu d'espoir quant à l'arrivée du quintette à l'Élysée, même si j'y jetterais sûrement un coup d'œil, par curiosité (malsaine?)...
Si au début j'avais quelques craintes à son sujet, j'avais au final bien aimé "Les Tuche", qui ne nous trompe pas sur sa marchandise. On aime ou pas le délire, c'est le genre de films facile à critiquer mais on n'a pas de surprises sur le contenu et on a le film espéré. Du coup, j'étais assez curieux de découvrir ses suites et dans l'attente de pouvoir visionner le troisième volet, j'ai profité d'un passage à la télévision pour voir "Les Tuche 2 : Le rêve américain".
Très vite, je suis retourné dans le même délire. Je pourrais faire un copier-coller de mon avis du premier film tant la suite s'inscrit dans la même logique. Le scénario écrit par Nessim Chikhaoui, Lionel Dutemple, Julien Hervé, Philippe Mechelen et Benjamin Morgaine continue de jouer la carte de la simplicité et des clichés. On prends les mêmes et on recommence avec en prime cette fois-ci, tous les stéréotypes que l'on peut avoir sur les États-Unis.
Sans surprises, cela ne m'as pas empêché de passer un très bon moment. Quelques gags se devinent très vite et je me suis beaucoup marrer devant certaines répliques qui trouvent toutes leurs saveurs dans cette famille haute en couleur. Au delà de la simple comédie potache qui s'assume à fond, ce que j'aime beaucoup aussi c'est qu'il n'y a aucune méchanceté. Les Tuche sont maladroits mais souvent bienveillant et c'est aussi pour ça que j'éprouve une certaine tendresse à leurs égards.
Pour la distribution, là aussi on est dans le copier-coller. Les Tuche vive une nouvelle aventure mais dans le fond, il n'y a rien de bien nouveau. Jean-Paul Rouve (Jeff Tuche) et Isabelle Nanty (Cathy Tuche) forme un couple très attachant, Théo Fernandez (Donald Tuche) me laisse toujours aussi indifférent, Sarah Stern (Stéphanie Tuche) fait sourire dans la peau de la bimbo écervelée, Pierre Lottin (Wilfried Tuche) m'agace toujours dans sa surenchère qui est celle qui marche le moins bien et Claire Nadeau (Mamie Suze) est toujours irrésistible dans son charabia qui ne veut rien dire. Le nouveau petit clin d’œil d'Olivier Baroux (Monier) est pour sa part sympathique.
Parmi les petits nouveaux, Ken Samuels (Ron Carrington) tire son épingle du jeu grâce à son charisme même si il n'y a rien d'exceptionnel et Maurice Barthélémy (Thierry) me fait sourire dans un rôle qui est taillé sur mesure pour lui. Après, le reste est assez anecdotique à l'image de Ralph Amoussou (Georges Diouff), grotesque dans sa caricature, Christian de la Cortina (Juan) qui est un peu trop fade ou Alice Morel-Michaud (Jennifer Carrington) qui est transparente et aurait peut-être mérité de voir son rôle un peu plus présent aux côtés de Théo Fernandez.
Du côté de la réalisation, il n'y a pas de grandes nouveautés également. Dans la même lignée que le premier opus, hormis l'expatriation aux États-Unis, il n'y a pas de grandes différences. Et encore, je trouve que le côté américain aurait pu être davantage appuyé. La caricature est là, il y a toujours pleins de couleurs, on ressent toujours la folie et le potache de cet univers mais je suis convaincu qu'on aurait pu apporter une identité plus forte aux États-Unis, là où au contraire, on ressentait vraiment bien l'identité de Monaco (dans sa caricature) dans le premier film.
Quoiqu'il en soit, on est dans du divertissement pur, de la comédie potache qui une nouvelle fois s'assume complètement. Si l'on adhère au délire, on peut passer un très bon moment sinon, on risque de trouver le temps long. Pourtant, le montage dynamique fait que l'on a pas trop le temps de s'ennuyer et la bande originale composée par Martin Rappeneau colle bien. Il y a bien quelques petites incrustations qui font taches mais le film ne se prend tellement pas au sérieux qu'il m'est difficile de vraiment lui en tenir rigueur.
Pour résumer, "Les Tuche 2 : Le rêve américain" s'inscrit dans la continuité de son prédécesseur. Rien de bien nouveau à l'horizon que ce soit dans le fond ou dans la forme, on déménage juste de Monaco pour aller vers les États-Unis. Personnellement, ça me fait toujours marrer. C'est léger, on passe un bon moment et malgré tout, je sympathise assez vite avec cette famille pas méchante pour un sou qui véhicule autour d'elle de la tendresse dans sa maladresse. Un très bon moment pour moi.
Quelle déception, j'avais trouvé le premier film drôle, bien joué, j'avais été très agréablement surprise, Là tout est caricature, on y croit pas, au point que les acteurs donnent l'impression de très mal jouer, Les dialogues qui se veulent drôles sont souvent très agaçants; après 40 mn j'ai zappé; Quel gâchis! Comme disait Gabin : un film, c'est un bon scénario, un bon scénario, un bon scénario...Ce film démontre malheureusement,la véracité de ses propos..
Les aventures des Français en Amérique sont rarement bonnes. Les Tuche confirment la règle. Les gags tombent à côté. Les personnages manquent d'éclat. Quelques longueurs. La scène du mariage à Vegas sauve l'ensemble par l'émotion qui se dégage.
Le seul reproche que l’on peut vraiment faire à ce 2ème opus est de recycler le précédent épisode sans rien y ajouter de neuf. Nous connaissons maintenant la famille loufoque, ses attitudes franchouillardes, et retrouvons même la tendresse que le film nous avait déjà généreusement apporté, et qui l’avait sauvé malgré son humour ras-les-pâquerettes. On prend la même recette et on recommence donc. Si vous avez aimé les “Tuche I“, vous aimerez à nouveau ce “Tuche II“. Et si vous avez détesté, vous ne devriez normalement pas lire cette critique. Le voyage aux Etats-Unis n’apporte pas grand-chose à cette grande carte postale de clichés. Mais O.Baroux réussit une nouvelle fois une comédie efficace et pleinement assumée au plaisir encore coupable.
En 2011, "Les Tuche" avait été une vraie bonne surprise qui, de surcroît, s’est bonifiée avec le temps. Une suite apparaissait, dès lors, inévitable… et était presque souhaitée tant il semblait avoir encore des choses à dire sur Jeff et sa tribu. Ce souhait aurait dû rester un vœux pieu... Car, "Les Tuche 2" confirme ce qu’on craignait un peu depuis "Mais qui a re-tué Pamela Rose" : Olivier Baroux a perdu son mojo et, plus précisément, son formidable sens de la mise en scène comique. Exit la pertinence du propos, la richesse des vannes ou encore l’humanité des personnages. Avec cette suite, Baroux se contente de faire dans le réchauffé (on reprend les mêmes personnages mais dans un environnement différent) et, pour ce faire, caricature à outrance tout ce qui peut l’être. Les Tuche vont aux Etats-Unis ? On aura, donc, droit à un melting pot de tous les poncifs de la culture américaine, de la Route 66 à "Alerte à Malibu", en passant par les Indiens, le libéralisme décomplexé, les Amishs, les hamburgers, la chirurgie esthétique, Las Vegas et, bien évidemment, l’acteur Ken Samuels qui est visiblement le seul américain du cinéma français ! Dans l’absolu, cet état des lieux fait sens dans la mesure où "Les Tuche", premier du nom, ne faisait pas autre chose. Mais force est de reconnaître qu’il le faisait avec infiniment plus de talent et de subtilité. Tout est poussif dans "Les Tuche 2", que ce soit le scénario (peu structuré), les dialogues (bien moins drôles malgré quelques amusantes punchlines), voire même le jeu des acteurs. Certes, Jean-Paul Rouve et Isabelle Nanty sont toujours aussi parfaits en parents Tuche. Mais les autres montrent certaines limites… à commencer par Pierre Lottin en fils aîné qui a visiblement oublié la voix qu’avait son personnage dans l’opus précédent et craque complètement ici ! Le reste du casting est invraisemblablement pauvre (tout au plus retiendra-t-on, un Maurice Barthélémy inutile !), qui plus est au vu de l’incroyable richesse du premier opus à ce niveau. C’est d’ailleurs un des points forts du cinéma d’Oliver Baroux qui a totalement disparu ici ! Moins structuré, moins pertinent, moins drôle, "Les Tuche 2" ne vaut, donc, que par la prestation de son duo vedette… mais n’appelle pas forcément une nouvelle suite. L’avenir m’aura donné tort, un troisième opus devant prochainement sortir !
Le deuxième volet est toujours aussi marrant, j aime cet humour, c est loin d être un chef d'œuvre mais je ne m ennuie pas, les répliques sont toujours aussi cultes, toujours aussi décalé que le premier. Rouve est excellent !
La même équipe se réunit pour surfer sur le succès des Tuches. Les mêmes ingrédients sont repris avec du cinquième degrés a fond les ballons, mais le succès est moins au rendez vous avec des gags un peu lourds et surtout une fin un peu bâclée. Je pouvais encore adhéré au premier, la beaucoup moins et j’ai peur que le troisième opus soit la goutte d’eau...
Un film pas terrible. J'ai jamais trop aimé les tuches, je me suis jamais attaché à la famille, pourtant il y a de super acteurs, mais le scénario ne m'a pas plu... mais j'ai quand même voulu le regarder pour voir ce que sa donner en entier. Puiis même si le film me plaît pas je préfère le voir jusqu'à la fin parce que ça peut changer, bon là c'est pas le cas mais j'aurais essayer.
Beaucoup entendu parler de ce film mais je n'ai pas vu le premier. Je connaissais un peu l'histoire de la famille quand même. Cette comédie fait rire mais il y a des passages qui sont trop poussés. Ça ne m'a pas empêché de passer un bon moment pour autant mais ce n'est pas un film que je voudrai revoir une deuxième fois pour ma part.
Du gros, du gras du lourd, à l'instar du registre dans lequel s inscrit la série des Tuche. Il faut aimer. Pour ceux qui ont nostalgiques de la série des "7ème compagnie", cela ira, pour les autres, ...
C'est nul, c'est beauf, c'est cliché, c'est lourd, ... mais en contre partie ça occupe, à condition de faire autre chose en même temps (oui avec ce film c'est possible et même conseillé, le temps passe plus vite).
Oui c'est un copié collé de ma critique du premier, mais je l'ai regardé avec le même état d'esprit. On perd ceci dit le peu de magie du premier donc il est moins bon.
Il est clair que ce second volet se repose beaucoup sur ses acquis. Mêmes blagues, même mimiques, scénario indigeste... Mais Olivier Baroux et les interprètes parviennent tout de même à rendre cette famille attachante et le Rêve Américain ne se transforme finalement pas en cauchemar.