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Un visiteur
1,5
Publiée le 5 novembre 2017
Le film avait tous les éléments pour être réussi mais la fin, qui tombe comme un cheveux sur la soupe, ne fait que dégrader l'impression générale que l'on peut se faire sur ce film. Beaucoup de détails et d'allusions sont passés sous silence etspoiler: l'apparition des aliens donne l'impression que les scénaristes ont pondu cette fin seulement après avoir tourné les trois quarts du film... Dommage.
Avis Bref ; 10 Cloverfield Lane, est un huit clos assez tendu et bourrées de questions. Jusqu'à la fin du métrage ont finira par toujours douté des dire de nos personnages. Tous es bien mis en scène et se met en place des les premières minutes du métrage. Ont ne s'ennuie à aucun moment et Mary Elizabeth Winstead tient son rôle parfaitement ainsi que John Goodman. Ce film fait figure de second volet Cloverfield, un troisième est en préparation si il es aussi bon je signe de suite ! Enfin bref, un film vu pour sa première fois en salle une fois revu je resort toujours autant convaincu.
N'a rien à voir avec "Cloverfield" dont il est sensé être une suite ou du moins une autre vision d'une même situation apocalyptique (les deux films peuvent se voir indépendamment). La partie thriller occupe un long moment et, dans ce huis clos au fond d'un bunker où survivent 3 personnes, on ne cesse de se demander si le personnage joué par John Goodman est un spoiler: psychopathe retenant contre son gré l’héroïne et qui a inventé cette histoire d'attaque chimique à l'extérieur ou si tout est vrai . En gros on ne sait pas si le danger est dedans ou dehors. Et ça nous maintient en haleine. Aussi un peu de déception de ma part quand j'ai spoiler: compris qu'il n'avait rien inventé et qu'on a basculé du thriller au fantastique . Mais l'ensemble n'est pas mal.
Une bonne suite de Cloverfield. Mary Elizabeth Winstead incarne Michelle , une femme emprisonné dans un bunker . John Goodman interprète un ancien marine. Une belle fable horrifique sur les abris antiatomiques . Un bon huit clos.
TAKE SHELTER. Trèfle de plaisanteries, chacun cultive sa folie avec soin. Voici une famille heureuse dans un huit clos réussis où les fous sont au paradis. Merci à John le Goodman qui anesthésie le jeu pas fufute de la miss Mc Gyver M.E Winstead.
"10 Cloverfield Lane" est un long-métrage auquel on ne s'attend pas du tout. La scène d'ouverture instaure déjà un malaise par la présence uniquement de la bande-son sans aucune parole des personnages qui va s'amplifier tout au long du film. D'ailleurs, les inserts du titre du film m'ont énormément plu car ils créent à la scène une atmosphère particulière. En effet, le personnage de Michelle interprétée par Mary Elizabeth Winstead se retrouve dans un bunker avec deux autres hommes suite à un accident de voiture, et doute des raisons de sa présence. Howard, joué par John Goodman, sème alors le doute. Est ce une attaque chimique, nucléaire, etc qui l'a poussé à se réfugier ici ou alors est-ce un prétexte pour les maintenir en captivité ? Durant tout le film, nous sommes dans ce doute parfaitement maintenu par des acteurs excellents. Le personnage de Goodman nous met mal à l'aise tandis que Winstead enchaîne des actions particulièrement intelligentes pour se sauver. Ce qui est particulier, c'est d'avoir cette impression de regarder deux films complètement différents: un thriller claustrophobe et un film SF. Le mélange des deux donne un long-métrage vachement intéressant. Cependant, la fin ne colle pas vraiment avec l'ensemble du film, elle semble beaucoup trop dissocié au reste ce qui est dommage mais pas vraiment dérangeant. Un très bon divertissement avec une tension et des rebondissements maîtrisés.
J'ai passé un formidable moment cinématographique, le fil conducteur de l'intrigue prend une tournure surprenante, je ne m'y attendais pas, un thriller dramatique de qualité où le mystère est bien entretenu jusqu’à la fin, laissant une porte ouverte, la tension est palpable, j'en ai des frissons, par les idées de l’intrigue, la bienveillance inquiétante de l'homme intelligent, paranoïaque, ses mauvaises intentions, des motivations ambiguës, la méfiance est dans la nature de la conscience, la captivité ne se fait pas sans raison, les monstres peuvent prendre forme humaine.
Beaucoup de questionnements spoiler: (notamment celui de sa fille décédée dont la photo s'avère être en réalité celle d'une jeune fille kidnappée) qui nous tiennent en haleine pendant 1h20 et qui sont finalement balayés par une fin décevante, complètement ratée en ce qu'on nous vend le film comme un thriller dans lequel il s'agit de savoir si Howard est un ravisseur ou un protecteur spoiler: et on se retrouve finalement face à des aliens, une Michelle à peine décontenancée et voilà.
10 Clovefield Lane est un film bien intéressant en offrant un huis-clos oppressant et intriguant jusqu’à sa scène finale plus spectaculaire.
La plupart du film se déroulera dans un bunker qui regroupe trois personnages. Il est vrai que ça m’a paru parfois un peu long par moment mais l’idée est bonne. La sensation donnée aux spectateurs est excellente : on doute sans cesse sur ce qu’il se passe réellement (dedans comme dehors). Lorsqu’on se fait une idée sur une situation et que la confiance gagne, on est de nouveau reperdu. Pour ma part, j’ai eu vraiment du mal à tout accrocher ce qu’il se passe à l’intérieur car l’excitation de voir ce qui a l’extérieur est trop grande. Tout comme pour Michelle, le sentiment d’étouffement marche aussi pour le spectateur.
La scène finale est une délivrance mais pas moins inquiétant (la vérité tombe au sujet de l’extérieur). Critiquée par certains, sur un rythme différent, cette fin un peu action et nerveuse aussi (sous une forme différente), est une séquence qui permet vraiment de sortir de l’étouffement du bunker. Il est vrai que c’est un poil too much ce que réalise Michelle mais j’apprécie quand même ce bouquet final jouant plus sur l’action et le spectaculaire. Les images sont très belles et sombres pour une ambiance apocalyptique : la dernière image du film est glaçante.
10 Cloverfield Lane est donc une bonne petite production qui met dans le doute le spectateur jusqu’au bout. L’atmosphère est nerveuse et oppressante. La fin, sous un décor différent, offre un changement de rythme différent et surtout libératoire (sur la vérité de ce qu’il se passe réellement et par rapport à l’enfermement dans le bunker).
Deuxième opus un peu sorti de nulle part de ce qui pourrait constituer un futur "Clover-verse", ce film suit le personnage de Michelle, une jeune femme qui, quittant son domicile et son petit ami par la même occasion, va avoir un accident de voiture et va se réveiller prisonnière dans une pièce peu accueillante, son geôlier lui disant l'avoir sauvée d'un apocalypse qui a décimé toute forme de vie. Je trouve très intéressant le parti pris de se baser sur le concept de la catastrophe posé par le premier film Cloverfield et de le revisiter de manière totalement nouvelle (que ce soit dans sa mise en scène, son ambiance ou ses personnages). Toute la partie à huis clos dans le bunker est très bien gérée au niveau de la tension ; on s'attache assez rapidement à cette jeune femme et on comprend vite à la fois sa claustrophobie liée au fait qu'il semble impossible de remonter à la surface, mais aussi sa méfiance à l'égard de ce gros nounours qui semble cacher quelque chose (incarné par un immense John Goodman).. La thématique du monstre est centrale dans 10 Cloverfield Lane : spoiler: je pense au moment où Michelle découvre le message "Help" avec la boucle d'oreille puis le mensonge d'Howard au sujet de sa fille.. D'ailleurs cet élément ne sera jamais expliqué dans le film, ce qui laisse le spectateur totalement dubitatif . Certains retournements de situation sont vraiment inattendus et font sursauter spoiler: (le pétage de câble à table, ou encore le moment où Emmett se fait flinguer..) ! Le film semble critiquer une Amérique qui se replie trop sur elle-même, s'inventant des ennemis à travers une théorie du complot et devenant paranoïaque à cause de ça (on ne sait jamais vraiment si Howard est un fermier plein de bonnes intentions ou un psychopathe qui a décidé de se couper du monde et de former une sorte de famille de substitution souterraine) et préférant fuir les problèmes au lieu de les affronter (ce qui est illustré par le bunker et symbolisé par la fuite en voiture au début du film). spoiler: On pourrait toutefois reprocher au film ses 5 dernières minutes car on passe dans un registre beaucoup plus classique et bien moins surprenant, mais c'était nécessaire pour relier le film à celui dont il porte le nom.. Reste un film dense et tendu qui nous happe dans une atmosphère oppressante et qui est plein de réflexion sur la dérive de nos angoisses.
En 2008 sortait un petit film de science-fiction en found-footage (relativement à la mode alors) où New York se retrouvait envahi par des extraterrestres dont les motivations étaient inconnues et l’apparence peu claire. Huit ans plus tard on retrouve sur les écrans « 10 Cloverfield Lane » qui outre le titre a en commun le même producteur que son putatif prédécesseur. La rumeur veut que le deuxième soit donc la suite du premier. C’est cependant peu évident à la vue du synopsis, le film étant un huis clos à trois personnages où on ne sait pas si on a affaire à un survivaliste qui a sauvé une jeune fille d’une attaque mystérieuse de grande envergure ou un psychopathe qui a kidnappé et retient prisonnière cette malheureuse jeune fille. Le film est donc un thriller dont les questions principales, qui tiennent plutôt en haleine, sont : qui est cet homme, que veut-il, dit-il la vérité ou ment-il ? John Goodman incarne parfaitement cet homme très borderline qui passe de gentil samaritain à geôlier colérique en un clin d’œil. Aussi ignorant que la jeune femme, on regarde comme des poissons dans un bocal ces personnages évoluer entre crises et périodes de calme, avec au-dessus d’eux le monde et le mystère des événements qui les ont conduit dans ce huis clos. Le film n’est outrageusement oppressant, mais le suspense reste néanmoins suffisant pour vous accrocher pendant l’heure quarante qu’il dure. Un sympathique thriller qui fait passer un bon moment et qui dès le départ offre une question (est-il la suite du film de 2008 ou pas ?) et déjà cela lui donne un certain intérêt.
Un huit-clos très bien mené, malgré des longueurs et un manque de frissons. Bonne interprétation du maître des lieux : un ancien marine dérangé dont on ne connait pas vraiment les intentions. Par contre la fin... Aïe aïe aïe, quelle catastrophe... une déception !!! Franchement, je ne m'attendais pas à une scène pareille, digne d'un grand blockbuster comme les américains savent si bien le faire au niveau visuel, mais s'y prennent vraiment mal sur tous les autres points : héroïsme à deux balles, solidarité patriotique qui donne des frissons, explosions, etc... Les 15 dernières minutes du film sont vraiment mal venues et gâchent l'ensemble.
Un belle réussite. Le réalisateur arrive à maintenir une tension et un doute jusqu'au bout de l'histoire. Difficile de faire un dénouement convaincant mais c'est plutôt réussi !
Le premier long métrage de Dan Trachtenberg doté d'un petit budget (15 millions de dollars) est selon moi et comme pour d'autres un excellent thriller psychologique d'une intrigue efficace bien que le film se déroule principalement dans un bunker.
Ce film est inscrit dans l'univers du film "Cloverfield" de J.J Abrams mais fait office de séquelle indirecte à ce même film. "Ten Cloverfield Lane" dévoile tout son potentiel par la diversité des psychologies de chaque personnage.
John Goodman dévoile tout son talent en prenant la personnalité d'un personnage à la fois étrange et effrayant. Les prestations de Mary Elisabeth Winstead et de John Gallagher Jr sont excellentes.
Le personnage d'Howard est très intéressant car il est protecteur mais potentiellement instable. En effet, sa vie est lié a son bunker le protégeant de toute menace imminente mais la situation l'a rendu à la fois froid, solitaire et manquant de compagnie c'est pour cela qu'il est intéressé par Michelle. spoiler: (il rase sa barbe pour être beaucoup plus élégant) . Il instaure aussi la crainte et l'intimidation par sa carrure.
Ce film souligne le fait qu'il n'y a pas d'équilibre dans un groupe d'individus sans l'application et le respect de normes (règles). L'intérêt du film est de dévoiler le fait que les monstres peuvent aussi être des humains.
spoiler: Howard est le parfait exemple du monstre car son instabilité psychologique et sa violence font de lui un être effrayant et choquant. De plus, le monstres se caractérise par une apparence de créature ou une apparence humaine présentant des difformités. En effet, Howard prend les traits du monstre en se faisant défigurer et ronger par l'acide et en modifiant son comportement ( il tente de poignarder Michelle dans les conduits puis il tente de la convaincre de rester avec lui).
J'ai trouvé ça très prenant, et les acteurs sont bons. Je ne vois pas en quoi le fin n'est pas plausible pour certain... Elle est tout à fait recevable quant aux hypothèses avancées durant l'histoire. Pour moi, la boucle est bouclée, et le film se termine sans me laisser perplexe.