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Entièrement tourné avec des acteurs non professionnels, ce second long-métrage de Navia est une ode à la création envers et contre tout, voulu par le réalisateur comme un quasi-documentaire.
La liberté avec laquelle s’agencent tous ces univers hétéroclites pourrait paraître arbitraire si le film n’établissait des liens subtils entre eux pour les faire appartenir au même tableau d’une manière plus profonde que leur simple juxtaposition aléatoire.
Quoi de plus limpide et respectueux que de considérer qu’un personnage a le droit d’intégrer la diégèse simplement parce qu’il est là, qu’il fait partie de cet environnement et que, par essence, il l’investit, le modifie, et le complexifie rien que par sa présence ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Fiction réaliste, "Los Hongos" promène ses faux airs documentaires entre les sujets fétiches du cinéma colombien (le narcotrafic, la guérilla...) avec autant d'aisance dans l'esquive que ses protagonistes.
On peut trouver, à la limite, que le champ envisagé est trop vaste pour un seul film, mais, en même temps, cette vue en coupe de la société colombienne convainc justement grâce à son ébouriffante variété – traduite sur un mode imagé par la grande fresque que Ras et ses amis sont en train de peindre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le film est entièrement mystérieux, quoiqu’investi d’un souci d’informer ou de dire la vérité - car la tension entre la protestation et la passivité ne peut s’y résoudre qu’en une longue et hypnotique rêverie sur le devenir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Un scénario pas très assuré, qui raconte une histoire mal ficelée. Mais grâce à la mise en scène de d'Oscar Ruiz Navia, on ressent pourtant l'expression de la fougue, du talent et de la volonté d'une jeunesse en équilibre instable.
Une peinture attentive et crédible de l’amitié, des personnages dessinés avec un vrai sens de la nuance (...) un épilogue en apesanteur et onirique… Mais on peut regretter que, faute de liant, l’arborescence de péripéties et de ruptures de ton flirte avec une certaine gratuité, au point que l’empathie du spectateur s’en trouve légèrement parasitée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Malgré un scénario embrouillé, car cherchant à embrasser trop de sujets, la richesse visuelle et l'énergie de la mise en scène finissent par s'imposer.
Le réalisateur traîne avec ses héros, il filme sa ville natale, Cali, avec brio. Un charme diffus naît de ce périple permanent, un rien alangui, par moments, mais très séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le cinéaste avait obtenu le prix Fipresci à Berlin pour "La Barra" (2009). Si la vitalité symbolisée par le travail sur une fresque multicolore lui a valu un Prix spécial du jury à Locarno, l'absence de structure et de caractérisation indique, à nos yeux, un film ni fait ni à faire.
20 Minutes
"Los Hongos" séduit par sa fraîcheur et sa liberté de ton.
CNews
Entièrement tourné avec des acteurs non professionnels, ce second long-métrage de Navia est une ode à la création envers et contre tout, voulu par le réalisateur comme un quasi-documentaire.
Cahiers du Cinéma
La liberté avec laquelle s’agencent tous ces univers hétéroclites pourrait paraître arbitraire si le film n’établissait des liens subtils entre eux pour les faire appartenir au même tableau d’une manière plus profonde que leur simple juxtaposition aléatoire.
Critikat.com
Quoi de plus limpide et respectueux que de considérer qu’un personnage a le droit d’intégrer la diégèse simplement parce qu’il est là, qu’il fait partie de cet environnement et que, par essence, il l’investit, le modifie, et le complexifie rien que par sa présence ?
Le Dauphiné Libéré
Ambiance cool, apprentissage de la vie, plongée intimiste dans le quotidien, force de l’art des rues : un film de révolte, d’espoir, de liberté.
Le Monde
Fiction réaliste, "Los Hongos" promène ses faux airs documentaires entre les sujets fétiches du cinéma colombien (le narcotrafic, la guérilla...) avec autant d'aisance dans l'esquive que ses protagonistes.
Transfuge
"Los Hongos" impose un cinéaste passionnant : Oscar Ruiz Navia.
L'Humanité
On peut trouver, à la limite, que le champ envisagé est trop vaste pour un seul film, mais, en même temps, cette vue en coupe de la société colombienne convainc justement grâce à son ébouriffante variété – traduite sur un mode imagé par la grande fresque que Ras et ses amis sont en train de peindre.
Libération
Le film est entièrement mystérieux, quoiqu’investi d’un souci d’informer ou de dire la vérité - car la tension entre la protestation et la passivité ne peut s’y résoudre qu’en une longue et hypnotique rêverie sur le devenir.
Ouest France
Un scénario pas très assuré, qui raconte une histoire mal ficelée. Mais grâce à la mise en scène de d'Oscar Ruiz Navia, on ressent pourtant l'expression de la fougue, du talent et de la volonté d'une jeunesse en équilibre instable.
Première
Une peinture attentive et crédible de l’amitié, des personnages dessinés avec un vrai sens de la nuance (...) un épilogue en apesanteur et onirique… Mais on peut regretter que, faute de liant, l’arborescence de péripéties et de ruptures de ton flirte avec une certaine gratuité, au point que l’empathie du spectateur s’en trouve légèrement parasitée.
Studio Ciné Live
Malgré un scénario embrouillé, car cherchant à embrasser trop de sujets, la richesse visuelle et l'énergie de la mise en scène finissent par s'imposer.
Télérama
Le réalisateur traîne avec ses héros, il filme sa ville natale, Cali, avec brio. Un charme diffus naît de ce périple permanent, un rien alangui, par moments, mais très séduisant.
aVoir-aLire.com
Un point de vue détonnant sur la société colombienne contemporaine, à travers les yeux de deux graffeurs.
L'Express
Les personnages ont beau être attachants et la mise en scène énergique, l'ennui gagne lentement mais sûrement.
Positif
Le cinéaste avait obtenu le prix Fipresci à Berlin pour "La Barra" (2009). Si la vitalité symbolisée par le travail sur une fresque multicolore lui a valu un Prix spécial du jury à Locarno, l'absence de structure et de caractérisation indique, à nos yeux, un film ni fait ni à faire.